[Index Littérature] Que lisez-vous ?

[Cardamome]

Oui merci...
J'avoue que je suis impressionnée par vos lectures lorsque je regarde un peu le fil de discussion.

Et tu as bien résumé: je recherche actuellement des livres qui me permettent d une façon ou d'une autre de sortir de mon quotidien sans prise de tête.
J'emprunte au CDI du lycée et effectivement le classement "littérature jeunesse" qui prend parfois une tournure péjorative, comporte des livres qui me sont accessibles "par rapport à ma fatigue".
Je demande toujours des choses qui ne sont pas lugubres et ou trop tristes surtout quand j'ai pas le moral.

[Tugdual]

As-tu essayer de lire Simenon (bien présent dans les médiathèques) ?

Il est facile à lire, et en dehors des « Maigret », ses romans sont intéressants, à la fois par l'ambiance qui s'en dégage, et par le témoignage indirect sur le passé : Le grand Bob, Le Passager clandestin, Le Blanc à lunettes, Les Fantômes du chapelier, La Fuite de monsieur Monde, La Mort d'Auguste...

[lucius]

Dans ce cas de livres pas trop lugubres, il y a les bouquins de Jonas Jonasson, Pennac, teulé, extebarria (avec amour, prozac et autres curiosités), Puertolas (mais j'ai été déçu par son bouquin la petite fille qui avait avalé un nuage avec une fin ratêe), les polars de Manuel Vàzquez Montalbán (avec son détective Pepe Carvalho).

Et en cas d'insomnie, je recommande Patrick Modiano.

[Eyvor]

Et tu as bien résumé: je recherche actuellement des livres qui me permettent d une façon ou d'une autre de sortir de mon quotidien sans prise de tête.

Oui c'est tout à fait ça, je me retrouve beaucoup dans ce que tu dis.
Accro à la lecture depuis mon plus jeune âge, je lis actuellement des "livres simples" qui me permettent de m'évader et m'apaiser sans prise de tête.

[lucius]

Je lis des BD dans ce cas pour m'évader ou je regarde des tutoriels sur le net.

[PetitNuage]

@Cardamome
Je viens de finir "La carte postale" d'Anne Berest qui se lit très facilement.
Quelques passages tristes puisque l'autrice cherche à retracer l'histoire de sa famille juive à partir d'une mystérieuse carte postale.
Mais l'ambiance globale du livre n'est pas pesante.

Je lis actuellement "L'enfant de la source" de Lucille Paul-Chevance, conte initiatique, qui se lit également facilement.

J'ai acheté ces deux ouvrages dans ma librairie où ils étaient mis en avant.
Le premier m'a fait voyager dans l'histoire et la culture juive.
Le second m'a transportée dans le désert.

[hazufel]

Et tu as bien résumé: je recherche actuellement des livres qui me permettent d une façon ou d'une autre de sortir de mon quotidien sans prise de tête.
J'emprunte au CDI du lycée et effectivement le classement "littérature jeunesse" qui prend parfois une tournure péjorative, comporte des livres qui me sont accessibles "par rapport à ma fatigue".
Je demande toujours des choses qui ne sont pas lugubres et ou trop tristes surtout quand j'ai pas le moral.

C’est le but de la lecture : sortir de son monde ou plutôt entrer tout entier dans un autre.
C’est super d’avoir un CDI, si un livre ne te plaît pas, tu peux le rapporter et la documentaliste peut t’aiguiller selon ce que tu as envie de lire

Accro à la lecture depuis mon plus jeune âge, je lis actuellement des "livres simples" qui me permettent de m'évader et m'apaiser sans prise de tête.

La lecture a un grand pouvoir d’apaisement je trouve parce qu’elle permet une focalisation totale (et donc le pouvoir de mettre le reste en pause).
Il n’y a pas de livres simples à mon avis il y a des plaisirs de lectures à l’infini

Comme l’évoque PetitNuage, on peut voyager avec certains ou découvrir des univers dans d’autres.
Cardamome, tu les as déjà sûrement lus, mais je trouve que même à y revenir plusieurs fois on n’est jamais déçu chez Agatha Christie (ou Simenon comme l’évoque Tugdual, ou Maurice Leblanc, Gaston Leroux, etc).

[Curiouser]

Et tu as bien résumé: je recherche actuellement des livres qui me permettent d une façon ou d'une autre de sortir de mon quotidien sans prise de tête.
J'emprunte au CDI du lycée et effectivement le classement "littérature jeunesse" qui prend parfois une tournure péjorative, comporte des livres qui me sont accessibles "par rapport à ma fatigue".
Je demande toujours des choses qui ne sont pas lugubres et ou trop tristes surtout quand j'ai pas le moral.

La série des Chrestomanci de Diana Wynne-Jones (qui est surtout connue pour son roman Le château de Hurle qui a ensuite donné le film de Miyazaki Le Château ambulant) est très sympathique (aventures dans un univers magique et des mondes parallèles).

Clémentine Beauvais, classée dans la catégorie "feel-good" (genre que je n'approche pas souvent), peut aussi être une bonne option. Je n'ai lu pour l'instant qu'un seul de ses romans, Brexit Romance, mais j'ai été agréablement surprise par le style, l'humour et les références culturelles déployés par l'autrice.

J'aime beaucoup également Marie-Aude Murail, mais certaines de ses oeuvres (c'est cependant aussi ce qui participe à en faire des lectures intéressantes, à mes yeux) contiennent des thématiques sombres ou tout du moins des sujets sensibles et graves. Cela étant, c'est généralement contrebalancé avec de belles doses d'humour, de fantaisie et de délicatesse, alors c'est à tenter.
Je conseillerais notamment la série Malo de Lange, et surtout celle de Sauveur et fils, la famille de Sauveur ressemblant par certains points à la famille Malaussène de Daniel Pennac (en un peu moins barré ).

Et si le monde de la fantasy ne te rebute pas, il y a la série du Paris des Merveilles de Pierre Pevel, avec des enquêtes dans un Paris de la Belle Epoque revisité à la sauce steampunk fantastique.

Toujours dans le cadre de la Belle Epoque, mais sans le côté fantasy, j'avais bien apprécié les trois romans de la saga La Cour des miracles de Jean-Luc Bizien, avec une enquête indépendante à chaque fois (mais avec les mêmes personnages principaux).

Je suis actuellement en train de lire Émissaires des morts, d'Adam-Troy Castro, qui mêle science-fiction et thématiques judiciaires (sans s'arrêter à cela : il y a des aspects philosophiques et des inventions de sociétés extraterrestres que je trouve très bien intégrés dans les textes), j'aime beaucoup mais c'est sans doute un peu trop sombre...

La lecture a un grand pouvoir d’apaisement je trouve parce qu’elle permet une focalisation totale (et donc le pouvoir de mettre le reste en pause).
Il n’y a pas de livres simples à mon avis il y a des plaisirs de lectures à l’infini

Je n'aurais pas dit mieux.

[Flower]

"L'appel du coucou" de Robert Galbraith (pseudonyme de J. K. Rowling).
Ma mère me l'a prêté et je suis plutôt conquise, le style est agréable, l'intrigue bien ficelée et on ne part pas dans le thriller ou les scènes violentes comme dans les romans policiers scandinaves, que j'ai un peu arrêté de lire pour cette raison.

Sinon en ce moment je suis très attirée par toutes les histoires de gens qui changent (plus ou moins) de vie et les romans "feel-good". J'ai notamment lu plusieurs livres de Jenny Colgan, "La librairie des jours heureux" et la trilogie autour de "La petite boulangerie du bout du monde". (D'ailleurs le premier tôme je l'ai même déjà lu deux fois...) Avec une certaine préférence pour des auteurs allemands qui situent leurs histoires sur les îles en mer du Nord. Bon je ne dois pas être la seule vu la quantité de livres dans ce genre. D'ailleurs c'est ma mère qui me les refile...

[hazufel]

"L'appel du coucou" de Robert Galbraith (pseudonyme de J. K. Rowling).
Ma mère me l'a prêté et je suis plutôt conquise, le style est agréable, l'intrigue bien ficelée et on ne part pas dans le thriller ou les scènes violentes comme dans les romans policiers scandinaves, que j'ai un peu arrêté de lire pour cette raison.

J'ai adoré les six tomes de la Série des enquêtes de Cormoran Strike ! Le sixième n'est pas encore paru en français (je l'ai lu en anglais, même si c'est un pavé, je ne pouvais pas attendre )
Joanne Rowling a, je trouve, vraiment un talent exceptionnel de construction des énigmes, décorticages des personnages, mécanique narrative. On constate déjà cette sublime construction dans Harry Potter, mais là, c'est ramené dans notre monde, avec des égratignures pas piqué des vers des milieux qu'elle n'aime pas beaucoup !

5 sont déjà traduits.
Les enquêtes de Cormoran Strike.
Il y a eu une mini série TV, des cinq premiers tomes, ils étaient vraiment bons ! Strike et Robin sont tels qu'on les imagine.

[Hector74]

Au lycée, on m'a fait lire Le Horla de de Maupassant, j'ai trouvé cela dérangeant, en plus le prof n'avait pas précisé qu'il mourrait de la syphilis (neurosyphilis qui rend fou)....
J'en ai relu plus tard, notamment ses nouvelles (tirées de faits divers) et j'ai énormément aimé. Il a ce don particulier pour raconter des histoires courtes et en tirer des morales .... !

J'ai (re)lu et/ou écouté beaucoup de nouvelles de Maupassant ces derniers temps. La plupart fonctionnent encore très bien de nos jours. Le talent d'observation et de description de cet écrivain reste vraiment exceptionnel. Certaines nouvelles sont particulièrement poignantes pour une personne présentant des TSA (par exemple celles montrant les affres de la solitude, comme "Epaves", "Mes vingt-cinq jours", "Souvenir", "Regrets", "Promenade", "Suicides"...).

Voici un extrait de l'une d'elles, qui décrit une personne que l'on pourrait considérer comme présentant des traits autistiques, à une époque où ce concept médical n'existait pas encore :

Tout à coup la barrière de bois qui donnait sur le chemin s’ouvrit, et une étrange personne se dirigea vers la maison. Elle était très maigre, très grande, tellement serrée dans un châle écossais à carreaux rouges, qu’on l’eût crue privée de bras si on n’avait vu une longue main paraître à la hauteur des hanches, tenant une ombrelle blanche de touriste. Sa figure de momie, encadrée de boudins de cheveux gris roulés, qui sautillaient à chacun de ses pas, me fit penser, je ne sais pourquoi, à un hareng saur qui aurait porté des papillotes. Elle passa devant moi vivement, en baissant les yeux, et s’enfonça dans la chaumière.
Cette singulière apparition m’égaya ; c’était ma voisine assurément, l’Anglaise d’âge dont avait parlé notre hôtesse.
Je ne la revis pas ce jour-là. Le lendemain, comme je m’étais installé pour peindre au fond de ce vallon charmant que vous connaissez et qui descend jusqu’à Étretat, j’aperçus, en levant les yeux tout à coup, quelque chose de singulier dressé sur la crête du coteau ; on eût dit un mât pavoisé. C’était elle. En me voyant elle disparut.
Je rentrai à midi pour déjeuner et je pris place à la table commune, afin de faire connaissance avec cette vieille originale. Mais elle ne répondit pas à mes politesses, insensible même à mes petits soins. Je lui versais de l’eau avec obstination, je lui passais les plats avec empressement. Un léger mouvement de tête, presque imperceptible, et un mot anglais murmuré si bas que je ne l’entendais point, étaient ses seuls remerciements.
Je cessai de m’occuper d’elle, bien qu’elle inquiétât ma pensée.
Au bout de trois jours j’en savais sur elle aussi long que Mme Lecacheur elle-même.
Elle s’appelait miss Harriet. Cherchant un village perdu pour y passer l’été, elle s’était arrêtée à Bénouville, six semaines auparavant, et ne semblait point disposée à s’en aller. Elle ne parlait jamais à table, mangeait vite, tout en lisant un petit livre de propagande protestante. Elle en distribuait à tout le monde, de ces livres. Le curé lui-même en avait reçu quatre apportés par un gamin moyennant deux sous de commission. Elle disait quelquefois à notre hôtesse, tout à coup, sans que rien préparât cette déclaration : « Je aimé le Seigneur plus que tout ; je le admiré dans toute son création, je le adoré dans toute son nature, je le pôrté toujours dans mon cœur. » Et elle remettait aussitôt à la paysanne interdite une de ses brochures destinées à convertir l’univers.
Dans le village on ne l’aimait point. L’instituteur ayant déclaré : « C’est une athée », une sorte de réprobation pesait sur elle. Le curé, consulté par Mme Lecacheur, répondit : « C’est une hérétique, mais Dieu ne veut pas la mort du pécheur, et je la crois une personne d’une moralité parfaite. »
Ces mots « Athée — Hérétique », dont on ignorait le sens précis, jetaient des doutes dans les esprits. On prétendait en outre que l’Anglaise était riche et qu’elle avait passé sa vie à voyager dans tous les pays du monde, parce que sa famille l’avait chassée. Pourquoi sa famille l’avait-elle chassée ? À cause de son impiété naturellement.
C’était, en vérité, une de ces exaltées à principes, une de ces puritaines opiniâtres comme l’Angleterre en produit tant, une de ces vieilles et bonnes filles insupportables qui hantent toutes les tables d’hôte de l’Europe, gâtent l’Italie, empoisonnent la Suisse, rendent inhabitables les villes charmantes de la Méditerranée, apportent partout leurs manies bizarres, leurs mœurs de vestales pétrifiées, leurs toilettes indescriptibles et une certaine odeur de caoutchouc qui ferait croire qu’on les glisse, la nuit, dans un étui.
Quand j’en apercevais une dans un hôtel, je me sauvais comme les oiseaux qui voient un mannequin dans un champ.
Celle-là cependant me paraissait tellement singulière qu’elle ne me déplaisait point.
Mme Lecacheur, hostile par instinct à tout ce qui n’était pas paysan, sentait en son esprit borné une sorte de haine pour les allures extatiques de la vieille fille. Elle avait trouvé un terme pour la qualifier, un terme méprisant assurément, venu je ne sais comment sur ses lèvres, appelé par je ne sais quel confus et mystérieux travail d’esprit. Elle disait : « C’est une démoniaque. » Et ce mot, collé sur cet être austère et sentimental, me semblait d’un irrésistible comique. Je ne l’appelais plus moi-même que « la démoniaque », éprouvant un plaisir drôle à prononcer tout haut ces syllabes en l’apercevant.
Je demandais à la mère Lecacheur : « Eh bien, qu’est-ce que fait notre démoniaque aujourd’hui ? »
Et la paysanne répondait d’un air scandalisé :
— Croiriez-vous, monsieur, qu’all’ a ramassé un crapaud dont on avait pilé la patte, et qu’all’ l’a porté dans sa chambre, et qu’all’ l’a mis dans sa cuvette et qu’all’ y met un pansage comme à un homme. Si c’est pas une profanation !
Une autre fois, en se promenant au pied de la falaise, elle avait acheté un gros poisson qu’on venait de pêcher, rien que pour le rejeter à la mer. Et le matelot, bien que payé largement, l’avait injuriée à profusion, plus exaspéré que si elle lui eût pris son argent dans sa poche. Après un mois il ne pouvait encore parler de cela sans se mettre en fureur et sans crier des outrages. Oh, oui ! c’était bien une démoniaque, miss Harriet, la mère Lecacheur avait eu une inspiration de génie en la baptisant ainsi.
Le garçon d’écurie, qu’on appelait Sapeur parce qu’il avait servi en Afrique dans son jeune temps, nourrissait d’autres opinions. Il disait d’un air malin : « Ça est une ancienne qu’a fait son temps. »
Si la pauvre fille avait su ?
La petite bonne Céleste ne la servait pas volontiers, sans que j’eusse pu comprendre pourquoi. Peut-être uniquement parce qu’elle était étrangère, d’une autre race, d’une autre langue, et d’une autre religion. C’était une démoniaque enfin !
Elle passait son temps à errer par la campagne, cherchant et adorant Dieu dans la nature. Je la trouvai, un soir, à genoux dans un buisson. Ayant distingué quelque chose de rouge à travers les feuilles, j’écartai les branches, et miss Harriet se dressa, confuse d’avoir été vue ainsi, fixant sur moi des yeux effarés comme ceux des chats-huants surpris en plein jour.
Parfois, quand je travaillais dans les rochers, je l’apercevais tout à coup sur le bord de la falaise, pareille à un signal de sémaphore. Elle regardait passionnément la vaste mer dorée de lumière et le grand ciel empourpré de feu. Parfois je la distinguais au fond d’un vallon, marchant vite, de son pas élastique d’Anglaise ; et j’allais vers elle, attiré je ne sais par quoi, uniquement pour voir son visage d’illuminée, son visage sec, indicible, content d’une joie intérieure et profonde.
Souvent aussi je la rencontrais au coin d’une ferme, assise sur l’herbe, sous l’ombre d’un pommier, avec son petit livre biblique ouvert sur les genoux, et le regard flottant au loin.
Car je ne m’en allais plus, attaché dans ce pays calme par mille liens d’amour pour ses larges et doux paysages. J’étais bien dans cette ferme ignorée, loin de tout, près de la terre, de la bonne, saine, belle et verte terre que nous engraisserons nous-mêmes de notre corps, un jour. Et peut-être, faut-il l’avouer, un rien de curiosité aussi me retenait chez la mère Lecacheur. J’aurais voulu connaître un peu cette étrange miss Harriet et savoir ce qui se passe dans les âmes solitaires de ces vieilles Anglaises errantes.

[hazufel]

Pas encore lu, mais j’attendais un peu de critiques, Indridason étant un de mes auteurs favoris :
Le roi et l’horloger.
Infidélité au polar mais creuset historique que j’imagine déjà passionnant. Hâte de m’y plonger.

[pluie de granit]

Oui merci...
J'avoue que je suis impressionnée par vos lectures lorsque je regarde un peu le fil de discussion.

Et tu as bien résumé: je recherche actuellement des livres qui me permettent d une façon ou d'une autre de sortir de mon quotidien sans prise de tête.
J'emprunte au CDI du lycée et effectivement le classement "littérature jeunesse" qui prend parfois une tournure péjorative, comporte des livres qui me sont accessibles "par rapport à ma fatigue".
Je demande toujours des choses qui ne sont pas lugubres et ou trop tristes surtout quand j'ai pas le moral.

Voici deux livres que j' ai adoré, il sont classé interdit au plus de 18 ans.Je plaisante, mais rangé rayon addo de ma bibliothèque publique locale.


https://www.lerouergue.com/catalogue/le ... urs-tome-1
Comment ne pas rire, des explications de cézarine ?


https://fr.wikipedia.org/wiki/Autre-Mon ... 3%A9raire)
J'en suis au tome 2, il m'accompagne chaque soir, et combien j'aurais aimé le lire adolescent. C'est
Évasion garantie.

[lucius]

On m'a passé un bouquin de Christophe andré avec le CD : "Méditer, jour après jour". Je crois l'avoir déjà lu.
Mais en général les bouquins d'André et Midal sont très très bavards. C'est toujours la même chose. trop de blabla! Pourquoi méditer, importance de la méditation, ses bienfaits, histoire de la méditation.... C'est sans fin. Je n'ai pas besoin d'être convaincu mais d'exercices ou de méthodes. C'est souvent inintéressant car cela reste des redite que l'on voit dans tous les bouquins. Ils rentrent pas réellement dans le vif du sujet selon moi. il faut écouter le CD pour réellement démarrer. je ne comprends pas le succès de ces deux auteurs. En tout cas, si je cherche un bouquin sur la méthode ou comment méditer, ce n'est pas avec eux que je peux apprendre.

Sinon, je lis "S'initier à la PNL" de Marion Sarazin que je trouve très intéressant et bien plus riche en infos que la très grande majorité des bouquins sur la PNL.

[Lilas]

En ce moment je lis "Honoré et moi" de Titiou Lecoq.