Cette série est de la super interprétation, parce que par rapport à l’original (le canon de Doyle et la série avec J. Brett qui en est très proche), ça n’a pas grand chose à voir. Le Mycroft moderne est très loin de l’original et ils n’ont pas de sœur, dans le canon.
Le Mycroft de Doyle a une vie réglée comme du papier à musique, passant de son appartement, au club Diogene (club dans lequel on ne doit pas parler), et à son bureau à des heures très précises. Il est au centre des affaires politiques ayant une mémoire encyclopédique de tous les dossiers mais n’en tire aucun bénéfice, sinon celui d’être indispensable.
Ça lui convient ainsi, il ne veut pas être au centre de la scène.
Lucius, Josef Schovanec dans ses conférences montre des images de Donald, parfois Picsou, Rantanplan, et aussi bien sur, le personnage principal du dîner de cons.
Il y a eu des rires plein la salle quand je l’ai écouté. J’avais envie de hurler. Josef ne riait pas non plus… et il a du expliquer en quoi ils n’étaient risibles en rien.