Ostara a écrit : ↑lundi 30 janvier 2023 à 20:10
Bah oui voilà mes migraines c'est la faute des murs je le savais Du coup faut faire un exorcisme de murs ?
Murus platrus mauditus
Oui, mais attention là, il faut des Experts !
Des experts rien que ça?ça dois coûter cher cette histoire,bon j'avais prévu de faire exorciser tous les murs,mais j'ai un budget trop serré je ferais faire juste les murs porteurs
Sinon pour un mur avec de la tapisserie c'est la même prière que pour un mur peint ou c'est pas pareil?
(Sérieusement,je suis pas du tout,fermée à l'idée qu'il y ai des choses qui nous échappent peut être,où des phénomènes qui n'ont simplement pas encore d'explications scientifiques,pour avoir vécu des choses personnellement dont j'ai jamais osé parler a personne a part mon mari^^',sans être crédule a ce genre de trucs)
Cela doit être dur de se débarrasser du slime. Mais dans ce cas, à quoi on doit faire appel: Ghostbusters!
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
J'ai éclaté de rire quand j'ai entendu "des entités qui s'accrochent à toi". Moi, ça me fait penser aux dramas coréens avec des histoires de fantômes, comme A korean odyssey ou Hotel del Luna.
lucius a écrit : ↑mardi 31 janvier 2023 à 10:44
Cela doit être dur de se débarrasser du slime. Mais dans ce cas, à quoi on doit faire appel: Ghostbusters!
Ah merci je vais faire faire un devis pour chasser les fantômes juste dans les murs porteurs
Je ferais le mur carrelé de la salle de bain en 2025
Je ferais les autres murs l'an prochain
Modifié en dernier par Ostara le mardi 31 janvier 2023 à 11:23, modifié 1 fois.
lulamae a écrit : ↑mardi 31 janvier 2023 à 10:56
J'ai éclaté de rire quand j'ai entendu "des entités qui s'accrochent à toi". Moi, ça me fait penser aux dramas coréens avec des histoires de fantômes, comme A korean odyssey ou Hotel del Luna.
C'est pas illégal en plus de déloger des entités pendant la trêve hivernale?
Ostara a écrit : ↑mardi 31 janvier 2023 à 11:21
C'est pas illégal en plus de déloger des entités pendant la trêve hivernale?
On ne peut pas vraiment dire qu'elles ne sont plus là, puisque leur mémoire reste dans le plan astral suite à l'intrication tachyonique des vibrations surharmoniques des fluctuations quantiques infinitésimales discrètes de la fonction d'onde relativiste superposée au champ électromagnétique tellurique.
Mince, je me rends compte que j'ai loupé une carrière de gourou.
Ah non, il paraît qu'il faut du charisme pour devenir gourou.
lucius a écrit : ↑mardi 31 janvier 2023 à 10:44
Cela doit être dur de se débarrasser du slime. Mais dans ce cas, à quoi on doit faire appel: Ghostbusters!
Ah merci je vais faire faire un devis pour chasser les fantômes juste dans les murs porteurs
Je ferais le mur carrelé de la salle de bain en 2025
Je ferais les autres murs l'an prochain
Attention il faut faire appel à des spécialistes car sinon cela va finir comme cela d'après le documentaire Ghostbusters II
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
Ostara a écrit : ↑mardi 31 janvier 2023 à 11:21
C'est pas illégal en plus de déloger des entités pendant la trêve hivernale?
On ne peut pas vraiment dire qu'elles ne sont plus là, puisque leur mémoire reste dans le plan astral suite à l'intrication tachyonique des vibrations surharmoniques des fluctuations quantiques infinitésimales discrètes de la fonction d'onde relativiste superposée au champ électromagnétique tellurique.
Mince, je me rends compte que j'ai loupé une carrière de gourou.
Ah non, il paraît qu'il faut du charisme pour devenir gourou.
Je t'embauche tout de suite, au moins tu parles bien !
Ostara a écrit : ↑mardi 31 janvier 2023 à 11:21
C'est pas illégal en plus de déloger des entités pendant la trêve hivernale?
On ne peut pas vraiment dire qu'elles ne sont plus là, puisque leur mémoire reste dans le plan astral suite à l'intrication tachyonique des vibrations surharmoniques des fluctuations quantiques infinitésimales discrètes de la fonction d'onde relativiste superposée au champ électromagnétique tellurique.
Mince, je me rends compte que j'ai loupé une carrière de gourou.
Ah non, il paraît qu'il faut du charisme pour devenir gourou.
Je t'embauche tout de suite, au moins tu parles bien !
Yeah je me joint à votre équipe,on va se faire un max d'arge...euh aider des gens pardon
lepton a écrit : ↑mardi 31 janvier 2023 à 11:36
On ne peut pas vraiment dire qu'elles ne sont plus là, puisque leur mémoire reste dans le plan astral suite à l'intrication tachyonique des vibrations surharmoniques des fluctuations quantiques infinitésimales discrètes de la fonction d'onde relativiste superposée au champ électromagnétique tellurique.
Mince, je me rends compte que j'ai loupé une carrière de gourou.
Ah non, il paraît qu'il faut du charisme pour devenir gourou.
Je t'embauche tout de suite, au moins tu parles bien !
Yeah je me joint à votre équipe,on va se faire un max d'arge...euh aider des gens pardon
Des publicités sur les médias sociaux invitent des chercheurs à ajouter leur signature à une recherche, moyennant une somme variant entre quelques centaines et quelques milliers de dollars. On ignore s’ils sont nombreux à être suffisamment désespérés pour avoir ouvert leur porte-monnaie, mais déjà, au moins trois revues ont, en 2022, retiré de leurs archives des articles « suspects ».
Ceux qui ont mis à jour ce « marché », l’économiste allemande Anna Abalkina et l’ingénieur britannique Nick Wise avaient publié les résultats de leurs premières « découvertes » en décembre 2021 sur le serveur de prépublication ArXiv: ils avaient alors identifié plus de 1000 publicités, les unes publiées sur les sites de ces compagnies, largement situées en Russie et en Europe de l’Est, et les autres sur les médias sociaux, principalement Facebook et Telegram.
La plus visible des compagnies, International Publisher LLC, située en Russie, a été décrite depuis 2019 comme une « usine à articles » qui fournit une série de services frauduleux à des universitaires prêts à tout pour avoir leur nom publié quelque part, incluant l’écriture du texte en sous-main (en anglais, ghostwriting) et « la falsification des données », selon le blogue Retraction Watch.
[...]
Le seul fait que ces « usines à articles » existent est une autre illustration de la pression à publier qui pèse sur des chercheurs, au détriment de tout le reste, et du fait que les opportunités pour publier sont plus rares dans certains pays. « C’est payant, et c’est mené par des groupes de plus en plus organisés », témoigne dans Nature Deborah Kahn, administratrice du Committee on Publication Ethics, un organisme britannique.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Pour trois chercheurs américains —deux en psychologie et un en gestion— qui ont testé les comportements de près de 2500 usagers de Facebook, par exemple face à une série de manchettes, la façon dont a été construite « la structure de partage en ligne » des médias sociaux, « serait plus importante que le manque d’esprit critique des usagers ou que leurs biais idéologiques ». Les usagers « partagent souvent de l’information par habitude », réagissant « automatiquement » à des signaux qui leur sont familiers.
Concrètement, les usagers peuvent bel et bien partager tel ou tel contenu parce qu’il renforce leurs croyances ou leur idéologie, mais c’est avant tout le système construit autour du bouton « partage » qui est l’élément dominant : le sentiment de récompense immédiate (si nos amis ont aimé le partage), crée « l’habitude » de partager des contenus qui attireront à nouveau l’attention. Et comme dans tout ce processus, il importe peu que l’information soit vraie ou fausse, il n’y a aucun incitatif à s’efforcer de ne partager que de l’information crédible, puisque ce n’est pas elle qui attire l’attention de nos amis.
[...]
Tout cela suggère que la désinformation n’est pas une retombée inévitable de ces nouveaux outils, écrivent les auteurs. En théorie, « les usagers peuvent être incités à construire des habitudes de partage qui sont sensibles à la valeur de la véracité » d’une information. Bref, on pourrait réduire la désinformation en changeant les environnements numériques qui la soutiennent et la renforcent. Les auteurs reconnaissent toutefois que ça impliquerait de convaincre les compagnies de changer ce qui, pour elles, est un modèle d’affaires efficace…
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).