Modération (Lilas) : Sujet déplacé depuis "Pratique"
bonjour,
Dans le cadre d'une séparation je dois affronter depuis plusieurs années un ex qui est probablement PN. Je suis consciente que c'est le truc à la mode, mais le qualificatif n'a pas été choisi au hasard.
Cet ex chercher continuellement à me pousser à la faute pour récupérer la garde de mon fils: il y a des provocations verbales, par sms, par mails, utilisation de l'enfant pour m'atteindre etc.
Je suis très bien entourée (psychologue, psychiatre, avocat). Seulement cet entourage atteint aussi des limites, dans le sens où ils ne peuvent pas être dispo H24.
L'avocat m'a prévenue que ce n'était que le début et lorsqu'on attaquerait le processus judiciaire de la garde de l'enfant, le harcèlement sera encore pire.
En discutant avec lui, il apparait très très compliqué de faire stopper le harcèlement: l'ex est malin et prudent sur ses attitudes, ce qui lui permet d'arriver à continuer à embobiner son mode et à ne pas laisser de preuves suffisamment flagrantes pour un dépôt de plainte. Il y a beaucoup de sous entendu, un climat de maltraitance, mais rien de très tangible.
Là où est ma question, c'est que connaissant mon émotivité et ma gestion très merdique de mes émotions, même accompagnées par les psy, je suis encore souvent poussée à réagir exactement comme il ne faudrait pas, ce qui permet d'abord à mon ex de jubiler et ensuite de continuer à me faire passer pour folle ou nocive pour mon fils. Cela fait que je suis très très angoissée sur ma capacité à maintenir le cap encore quelques années, jusqu'au moment où mon fils sera assez grand pour exprimer ses souhaits sur la garde.
Je craque régulièrement, en rentrant dans des modes "paniques".
Je cherche des solutions pour me défendre émotionnellement, ne pas laisser le mode panique monter. Des idées?
gestion des montées d'angoisse
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gestion des montées d'angoisse
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TSA confirmé par un psychiatre - juillet 2020
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Re: gestion des montées d'angoisse
Le rencontrer le moins possible (seulement quand c'est nécessaire), ne pas lire ses messages, ne pas répondre à ses appels, mieux : le bloquer.
Ne pas te justifier, ne pas jouer son jeu, ne pas lui montrer tes émotions et tes faiblesses.
Si tu as des choses à lui dire, préparer ton "texte", puis le lui dire une fois pour toute. Ne pas t'attendre à ce qu'il (la personne narcissique) change.
Des exercices de respiration et de méditation en pleine conscience peuvent être utiles.
Te reposer. Le repos est fondamental, je ne le répèterai jamais assez.
T'entourer de personnes qui t'acceptent telle que tu es, qui sont à ton écoute.
Continuer tes activités favorites.
Ne pas te justifier, ne pas jouer son jeu, ne pas lui montrer tes émotions et tes faiblesses.
Si tu as des choses à lui dire, préparer ton "texte", puis le lui dire une fois pour toute. Ne pas t'attendre à ce qu'il (la personne narcissique) change.
Des exercices de respiration et de méditation en pleine conscience peuvent être utiles.
Te reposer. Le repos est fondamental, je ne le répèterai jamais assez.
T'entourer de personnes qui t'acceptent telle que tu es, qui sont à ton écoute.
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Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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