Connaissez-vous des remèdes pour gérer le stress ?
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
On est sur la même longueur d'onde. L'important est que çà marche. Même si on ne comprend pas pourquoi.
Si l'explication vient avec et a des éléments de preuve solides, tant mieux pour aller plus loin.
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
Moi j'ai un truc pour gérer le stress : je décortique un sujet jusqu'à trouver la graine dedans, celle qu'on peut planter au milieu du jardin des idées et qui peut germer et s'intégrer à un écosystème fonctionnel.
C'est jolie dit comme ça hien?
Sauf que quant le jardin est publics c'est la guerre de tranché à coup sûr contre squatteurs et autres opportunistes des contresens, voire les éternels gardiens de plates bandes.
Ben là justement, je pense comme oméga qu'à l'instar de la fièvre le stress à un rôle, et que c'est qu'en bonne prise en charge par un autre moyen de ces cause premières qu'on devrais seulement se permettre une tel "auto-agression" forcément génératrice de stress ....
D'ailleurs c'est marrant par ce que les méridiens d'énergies ne sont pas mis en évidence par la science occidentale qui distingue en somme d'éléments élémentaire.
Par contre on peut considéré qu'il sont une évidence si on se réfère aux savoir ancestraux asiatique qui les ont définies et qui les utilisent depuis des millénaires ... dans une approche globale.
Oui, mais cette approche globale n'est pas compatible avec le travail sur un seul éléments distinctement des autres. Vous voyer l'incohérence?
Ben moi oui, alors pour me déstresser, je la décortique et j'en arrive a l'idée qu'il faut pas mélanger ce qu'on perçois au microscope et au télescope (macroscope dirait l'autre), par ce qu'entre les deux il y a des phénomènes émergeant qui font que le tous est autre chose que la somme des partie.
De là moi je dé-stress, mais je détourne complètement le sujet.
Oui mais joker, j'ai droit je répondais scrupuleusement au titre!
C'est jolie dit comme ça hien?
Sauf que quant le jardin est publics c'est la guerre de tranché à coup sûr contre squatteurs et autres opportunistes des contresens, voire les éternels gardiens de plates bandes.
Ben là justement, je pense comme oméga qu'à l'instar de la fièvre le stress à un rôle, et que c'est qu'en bonne prise en charge par un autre moyen de ces cause premières qu'on devrais seulement se permettre une tel "auto-agression" forcément génératrice de stress ....
D'ailleurs c'est marrant par ce que les méridiens d'énergies ne sont pas mis en évidence par la science occidentale qui distingue en somme d'éléments élémentaire.
Par contre on peut considéré qu'il sont une évidence si on se réfère aux savoir ancestraux asiatique qui les ont définies et qui les utilisent depuis des millénaires ... dans une approche globale.
Oui, mais cette approche globale n'est pas compatible avec le travail sur un seul éléments distinctement des autres. Vous voyer l'incohérence?
Ben moi oui, alors pour me déstresser, je la décortique et j'en arrive a l'idée qu'il faut pas mélanger ce qu'on perçois au microscope et au télescope (macroscope dirait l'autre), par ce qu'entre les deux il y a des phénomènes émergeant qui font que le tous est autre chose que la somme des partie.
De là moi je dé-stress, mais je détourne complètement le sujet.
Oui mais joker, j'ai droit je répondais scrupuleusement au titre!
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"L'homme qui sait ne parle pas, L'homme qui parle ne sait pas." (Lao Tseu) ... J'arrête pas d'le dire!
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
Oui, c'est joliment ditmanu a écrit :Moi j'ai un truc pour gérer le stress : je décortique un sujet jusqu'à trouver la graine dedans, celle qu'on peut planter au milieu du jardin des idées et qui peut germer et s'intégrer à un écosystème fonctionnel.
C'est jolie dit comme ça hien?
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
Woaw, merci Manu !
Je n'ai pas rebondi tout de suite, j'étais pas sûre de comprendre ce raisonnement hier soir, qui contient beaucoup de choses à la fois différentes et complémentaires. J'ai envie de le décortiquer un peu, car tu touches là à quelque chose de fondamental qui, si on le comprend vraiment bien, donne envie de sauter dans les zones de stress justement et de "prendre des risques" .. pour trouver la graine.. la planter.. la voir pousser et en tirer de la satisfaction.....ce qui à la fois repousse les frontières des zones de stress un peu pus loin car pour un sujet donné on a "compris", trouvé et planté la graine, et là-dessus on est presque à l'aise. Mais il me faut réfléchir à une expérience concrète. Parce que j'ai l'impression que l'EFT peut s'insérer dans ce processus de décorticage pour aider à trouver la nouvelle idée.
Bon, allez, je saute: Hier après-midi j'ai vécu un conflit avec une personne que j'aime beaucoup, ça me touchait vraiment énormément qu'elle ne comprenne pas mon point de vue sur un sujet très sensible pour moi, qu'elle ne fasse même pas une tentative à ce sujet, et en même temps, intellectuellement, j'estime bien sûr qu'elle a tout à fait le droit (le contraire serait le comble !) de ne pas chercher à me comprendre. L'ennui, c'est que ça me bouleversait quand même, et tenue éveillée au milieu de la nuit. Donc j'ai fait le truc suivant:
Décorticage:
1. Mon conflit avec Galilée su le sujet X me bouleverse (Fait EFT) : ça m'a permis de baisser un peu mon stress global et d'autres perceptions sont montée :
2. Etre en conflit avec Galilée m'attriste et là je la déteste parce que voilà, une fois de plus quand je ne suis pas d'accord avec quelqu'un que j'aime j'en ramasse plein la figure (refait EFT sur ce sujet). Idem, le stress a baissé, d'autres perceptions sont montées:
3. Je me déteste, j'ai l'art de mettre le doigt chez les autres là où ça leur fait mal et je les bloque (même si ce n'est pas "vrai" et que je trompe, c'est ce que mon inconscient a interprété et enregistré, je ne passe pas de temps à me dire si j'ai raison ou pas, je travaille dessus avec EFT )
3. Puis après ces diverses étapes de décorticage mon stress avait disparu et je suis arrivée à l'idée "graine":
Chacun est comme il est, pas besoin d'être toujours d'accord, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas s'entendre sur un autre sujet. Ce sujet nous touche toutes les deux chacune d'une certaine manière pour nos raisons propres, c'est OK, je peux vivre avec ça.
A ce moment là (env. 10mn pour toute la démarche) j'ai pu me rendormir et là ce matin je suis encore dans un tel état d'esprit, je crois que j'arriverais même à reparler avec elle de notre conflit sans stress
Bon, l'exemple est bateau et peu important en fait, pris sur le vif, mais j'avais besoin d'illustrer l'idée de manu. C'est un peu ça que tu voulais dire, ou as-tu un autre exemple ?
là j'ai l'air de faire de la pub pour l'EFT (d'ailleurs je ne sais pas, peut-être que juste le processus de décorticage intellectuel suffirait, sans faire les gestes EFT et que ça n'a rien à voir avec les méridiens et tout et tout, mais juste avec l'acceptation de ses ressentis les plus profonds (même ceux dont on a honte ) sur lesquels on lâche prise ? )
Un peu comme une lampe sur laquelle il y a de la poussière et que l'on nettoie pendant le "décorticage", puis après le nettoyage la lumière devient plus visible et nette et permet de voir "la graine".
Bref, merci pour ton idée Manu, moi ça m'est super utile ! toute belle journée à toi !
Corinne
Je n'ai pas rebondi tout de suite, j'étais pas sûre de comprendre ce raisonnement hier soir, qui contient beaucoup de choses à la fois différentes et complémentaires. J'ai envie de le décortiquer un peu, car tu touches là à quelque chose de fondamental qui, si on le comprend vraiment bien, donne envie de sauter dans les zones de stress justement et de "prendre des risques" .. pour trouver la graine.. la planter.. la voir pousser et en tirer de la satisfaction.....ce qui à la fois repousse les frontières des zones de stress un peu pus loin car pour un sujet donné on a "compris", trouvé et planté la graine, et là-dessus on est presque à l'aise. Mais il me faut réfléchir à une expérience concrète. Parce que j'ai l'impression que l'EFT peut s'insérer dans ce processus de décorticage pour aider à trouver la nouvelle idée.
Bon, allez, je saute: Hier après-midi j'ai vécu un conflit avec une personne que j'aime beaucoup, ça me touchait vraiment énormément qu'elle ne comprenne pas mon point de vue sur un sujet très sensible pour moi, qu'elle ne fasse même pas une tentative à ce sujet, et en même temps, intellectuellement, j'estime bien sûr qu'elle a tout à fait le droit (le contraire serait le comble !) de ne pas chercher à me comprendre. L'ennui, c'est que ça me bouleversait quand même, et tenue éveillée au milieu de la nuit. Donc j'ai fait le truc suivant:
Décorticage:
1. Mon conflit avec Galilée su le sujet X me bouleverse (Fait EFT) : ça m'a permis de baisser un peu mon stress global et d'autres perceptions sont montée :
2. Etre en conflit avec Galilée m'attriste et là je la déteste parce que voilà, une fois de plus quand je ne suis pas d'accord avec quelqu'un que j'aime j'en ramasse plein la figure (refait EFT sur ce sujet). Idem, le stress a baissé, d'autres perceptions sont montées:
3. Je me déteste, j'ai l'art de mettre le doigt chez les autres là où ça leur fait mal et je les bloque (même si ce n'est pas "vrai" et que je trompe, c'est ce que mon inconscient a interprété et enregistré, je ne passe pas de temps à me dire si j'ai raison ou pas, je travaille dessus avec EFT )
3. Puis après ces diverses étapes de décorticage mon stress avait disparu et je suis arrivée à l'idée "graine":
Chacun est comme il est, pas besoin d'être toujours d'accord, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas s'entendre sur un autre sujet. Ce sujet nous touche toutes les deux chacune d'une certaine manière pour nos raisons propres, c'est OK, je peux vivre avec ça.
A ce moment là (env. 10mn pour toute la démarche) j'ai pu me rendormir et là ce matin je suis encore dans un tel état d'esprit, je crois que j'arriverais même à reparler avec elle de notre conflit sans stress
Bon, l'exemple est bateau et peu important en fait, pris sur le vif, mais j'avais besoin d'illustrer l'idée de manu. C'est un peu ça que tu voulais dire, ou as-tu un autre exemple ?
là j'ai l'air de faire de la pub pour l'EFT (d'ailleurs je ne sais pas, peut-être que juste le processus de décorticage intellectuel suffirait, sans faire les gestes EFT et que ça n'a rien à voir avec les méridiens et tout et tout, mais juste avec l'acceptation de ses ressentis les plus profonds (même ceux dont on a honte ) sur lesquels on lâche prise ? )
Un peu comme une lampe sur laquelle il y a de la poussière et que l'on nettoie pendant le "décorticage", puis après le nettoyage la lumière devient plus visible et nette et permet de voir "la graine".
Bref, merci pour ton idée Manu, moi ça m'est super utile ! toute belle journée à toi !
Corinne
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
Le décorticage est parfait - mais l'EFT est-il impliqué ?
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
Je ne sais pas en fait, peut-être que ça accélère juste le processus ? quand je prononce la phrase stressante et que je tapote les points de la tempe par exemple, je sens sous les doigts une tension qui s'assouplit au bout de quelques secondes et en même temps un soulagement au niveau du diaphragme, parfois je pousse même un grand soupir (là, c'est que j'ai vraiment touché le "vrai" problème) et le soulagement est alors rapide. Mais je ne ressens pas cela à chaque fois et ça marche aussi.
Il y a vraiment peu de littérature à ce sujet, ça reste exploratoire, mais les résultats pour le moment sont proches et en faveur de l'EFT. Je n'ai qu'un seul article complet qui, même si il est publié dans une revue de médecine alternative, est prudent quand aux conclusions "explicatives", mais intéressant en termes de résultats (EFT utilisé par des personnes atteintes de fibromyalgie) : http://www.värkstaden.se/PDF_filer/EFT_article.pdf
À la fin du programme, il y avait des améliorations statistiquement significative dans le groupe d'intervention qui utilise l'EFT (n = 26) en comparaison avec le groupe contrôle (n = 36) pour les variables telles que la douleur, l'anxiété, la dépression, la vitalité, la fonction sociale, la santé mentale, les symptômes de stress, amélioration des problèmes de performances dans le domaine du travail ou d'autres activités reliés à des raisons physiques et affectives. En outre, la "rumination,", les sentiments d'impuissance, étaient d'agrandissement significativement
réduits, et le niveau d'activité a augmenté significativement dans groupe d'intervention par rapport au groupe contrôle. Toutefois, aucune différence
dans les comportements de contrôle face à la douleur (traduction très libre de "pain willingness") n'a été observée.
(Le résumé se termine avec des indices statistiques que je ne sais pas interpréter). Il reste que les échantillons sont très petits et que l'on ne peut généraliser les résultats
Ils évoquent que plusieurs personnes qui avaient accepté de participer à l'étude n'ont même pas commencé l'EFT (ce qui explique le "n" plus faible). C'est vrai que pour se lancer, ceci nécessite une mini formation que l'on peut faire par internet, mais le plus difficile est de se motiver pour essayer. Perso, j'ai chaque fois dû le montrer "in vivo" pour que les personnes l'essaient ensuite sur eux.
sinon, un résumé concernant la gestion du stress post traumatique des militaires après leur mission en Afghanistan et en Iraq http://tmt.sagepub.com/content/16/1/55.short
et celui sur la gestion de la phobie envers les petits animaux (revue de psychologie) http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1 ... 9/abstract
Mais je n'ai pas les articles en entier à part le premier, difficile d'en connaître la réelle qualité.
Et ça n'explique toujours pas si c'est le "décorticage" du problème qui fait effet ou le tapotage des points. Affaire à suivre
Il y a vraiment peu de littérature à ce sujet, ça reste exploratoire, mais les résultats pour le moment sont proches et en faveur de l'EFT. Je n'ai qu'un seul article complet qui, même si il est publié dans une revue de médecine alternative, est prudent quand aux conclusions "explicatives", mais intéressant en termes de résultats (EFT utilisé par des personnes atteintes de fibromyalgie) : http://www.värkstaden.se/PDF_filer/EFT_article.pdf
À la fin du programme, il y avait des améliorations statistiquement significative dans le groupe d'intervention qui utilise l'EFT (n = 26) en comparaison avec le groupe contrôle (n = 36) pour les variables telles que la douleur, l'anxiété, la dépression, la vitalité, la fonction sociale, la santé mentale, les symptômes de stress, amélioration des problèmes de performances dans le domaine du travail ou d'autres activités reliés à des raisons physiques et affectives. En outre, la "rumination,", les sentiments d'impuissance, étaient d'agrandissement significativement
réduits, et le niveau d'activité a augmenté significativement dans groupe d'intervention par rapport au groupe contrôle. Toutefois, aucune différence
dans les comportements de contrôle face à la douleur (traduction très libre de "pain willingness") n'a été observée.
(Le résumé se termine avec des indices statistiques que je ne sais pas interpréter). Il reste que les échantillons sont très petits et que l'on ne peut généraliser les résultats
Ils évoquent que plusieurs personnes qui avaient accepté de participer à l'étude n'ont même pas commencé l'EFT (ce qui explique le "n" plus faible). C'est vrai que pour se lancer, ceci nécessite une mini formation que l'on peut faire par internet, mais le plus difficile est de se motiver pour essayer. Perso, j'ai chaque fois dû le montrer "in vivo" pour que les personnes l'essaient ensuite sur eux.
sinon, un résumé concernant la gestion du stress post traumatique des militaires après leur mission en Afghanistan et en Iraq http://tmt.sagepub.com/content/16/1/55.short
et celui sur la gestion de la phobie envers les petits animaux (revue de psychologie) http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1 ... 9/abstract
Mais je n'ai pas les articles en entier à part le premier, difficile d'en connaître la réelle qualité.
Et ça n'explique toujours pas si c'est le "décorticage" du problème qui fait effet ou le tapotage des points. Affaire à suivre
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
J'y avais pas pensé, c'est instinctif, mais c'est une interprétation pleine de bon sens a priori ... à contrebalancer quant même avec son pendant négatif potentiel : le risque que ce soit un moyen de rester dans le monde de ces propres interprétation en refusant celle des autres.Corinne a écrit :J'ai envie de le décortiquer un peu, car tu touches là à quelque chose de fondamental qui, si on le comprend vraiment bien, donne envie de sauter dans les zones de stress justement et de "prendre des risques" .. pour trouver la graine.. la planter.. la voir pousser et en tirer de la satisfaction.....ce qui à la fois repousse les frontières des zones de stress un peu pus loin car pour un sujet donné on a "compris", trouvé et planté la graine, et là-dessus on est presque à l'aise.
D'où la confrontation indispensable en zone publique peut être.
Je ne sais pas si je "voulais dire" quelque chose, j'ai exposé dans mon cas une méthode de gestion du stress qui a une forte imbrication avec mon attitude sur le forum. Mon exemple c'est justement la réponse en elle même, qui décortique conjointement deux trois trucs.Corinne a écrit :. C'est un peu ça que tu voulais dire, ou as-tu un autre exemple ?
Non, l'exemple de l'EFT ne me semble pas correspondre. Si je le décortique a ma façon il m'apparait (resentis perso, hein, pas grande vérité) que ce travail vas dans le sens du contrôle sur ce qui est dors et déjà identifié (à l'instar d'autres méthodes semblable comme la PNL par exemple). Moi j'identifie le déroulement comme ça:
1- Le problème identifié consciemment.
2- J'apprends consciemment à mon corps à ne plus l'identifier comme un problème
3- Ok je peut vivre avec et fonctionner margé le problème.
4- Possible accéptation et dépassement, autorisation de voir plus loin que le problème.
-> Si c'est pas un problème déjà conscient, c'est inutile.
Pour moi c'est du despotisme de l'esprit analytique (une petite part de nous même, un peut plus localisé dans le cerveau gauche selon certain), qui se laisse croire qu'elle peut tout contrôler.
Je ressent la chose comme limite inquiétante par ce que je crois qu'il est lui même, cet esprit analytique, une émergence de l'esprit dans son ensemble, et que c'est un leurre de croire qu'on peut le modifier en partant de ce qui est identifié consciemment, par le rétro-contrôle de cette extrémité sur les fondements.
Le lâcher prise c'est donc pour moi l'exact inverse de cette méthode, ou n'importe quel autre qui utilise cette même logique de décoincer le corps là où la conscience choisit qu'il doit l'être.Corinne a écrit :peut-être que juste le processus de décorticage intellectuel suffirait (...) , juste avec l'acceptation de ses ressentis les plus profonds (même ceux dont on a honte ) sur lesquels on lâche prise ? )
Mais le décorticage intellectuel c'est pareil. Ca rassure, ça dé-stress en étendant la zone qui semble raisonnablement sous contrôle, mais s'il n'y a pas une émulation positive derrière si on se contente de se regrouper avec ceux qui sont sur les mêmes position, c'est rigoureusement la même chose.
Le problème donc de déstresser quelque soit la méthode sans réellement lâcher prise c'est de maitriser la surface du stress, et par là même d'accentuer le stress profond, d'une position qui justement refuse d'accepter de ne pas comprendre, voir de ne pas contrôler.
C'est un autre sujet, qui mène assez vite au religieux façon bouddhisme qui trouve la peur au cœur de tout problème humain.
L'EFT la combat justement tu me dira ... je ne le crois pas, elle essayer de la contrôler consciemment et de mon point de vue elle la renforce en substituant le principe de maitrise consciente au principe de lâcher prise, qui est aussi un travail actif mais qui consiste a l'inverse a accepter que le message envoyé a une cause, que c'est une résultante d'une chaine de causalité ni bonne ni mauvaise, qu'il ne faut pas combattre mais identifié de façon dépassionné.
C'est un peut le nœud gordiens dont je parlais dans le message précédant. On prends des principes orientaux comme les méridiens qui viennent d'une approche globale, et on veux a l'occidentale en isoler un principe et l'utiliser a fond distinctement de fondements dont il fait partie.
C'est une belle démonstration de ce qu'on essaye de se faire a nous même, imposer un détail des principes de la nature comme étant naturel, or c'est précisément la définition de l'artificiel.
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
Manu, merci de ta réponse que je ne suis pas certaine d'avoir vraiment compris, mais j'essaie de rebondir : D'un point de vue théorique je comprends, je crois, ton point de vue, et je serais même d'accord avec toi si mon expérience était telle que tu la décris (point de vue analytique et contrôle). Et je peux comprendre que cela puisse être perçu ainsi d'ailleurs, c'est très logique si on se tient à ce que j'écris. Pourtant l'expérience est un peu autre, et de te lire me donne envie de compléter :
ce qui est identifié comme émotion monte spontanément, ce n'est pas vraiment une "analyse" à part au début où l'on se demande: mais c'est quoi le fond du problème en dehors du fait que j'aime pas les conflits (par ex.): ensuite, l'analyse s'arrête, ce sont des images, des sensations non dirigées qui montent... comme par ex la peur de ne pas être aimé (mais c'est vrai que ça fait un peu "classique" comme exemple, proche d'une analyse intellectuelle). Mais ça pourrait aussi être le souvenir de Tante Rose qui m'a grondée très fort à l'âge de 3 ans car j'ai écrasé ses roses.... ou encore ma peur quand j'ai piqué un bonbon au magasin et que la caissière m'a repérée....on ne décide donc pas de "ce qui monte". On ne travaille pas que sur l'émotion, mais aussi la situation. Plus elle est précise, mieux ça marche.
Puis, une fois là, le problème identifié, c'est vrai qu'on l'attaque de front (pas très global, je te l'accorde), mais je ne cherche pas à le contrôler: on est dans l'émotion, on tapote les points en disant la phrase.... et tout à coup plus de tension, comme un vrai lâcher prise. Ce qui était un problème n'en n'est plus un. Alors oui, c'est une sorte de contrôle peut-être, mais sans utiliser le mental, en utilisant son corps, je le perçois donc comme différent d'un contrôle. Quand je "réfléchis" trop, que je décortique mon probème de manière "logique", ça ne marche pas. Faut que ça touche les tripes. Puis ensuite on passe à une autre perspective, et ce de manière définitive. J'ai pas l'impression de mettre une couche de terre sur un problème qui va réapparaître. Mais si c'est le cas, je vous tiendrai au courant.
Merci Manu, c'est passionnant d'échanger avec toi . Je vais relire ton post plus attentivement demain car il est bien plus riche et mériterait un rebond plus fouillé.
Cordialement,
Corinne
ce qui est identifié comme émotion monte spontanément, ce n'est pas vraiment une "analyse" à part au début où l'on se demande: mais c'est quoi le fond du problème en dehors du fait que j'aime pas les conflits (par ex.): ensuite, l'analyse s'arrête, ce sont des images, des sensations non dirigées qui montent... comme par ex la peur de ne pas être aimé (mais c'est vrai que ça fait un peu "classique" comme exemple, proche d'une analyse intellectuelle). Mais ça pourrait aussi être le souvenir de Tante Rose qui m'a grondée très fort à l'âge de 3 ans car j'ai écrasé ses roses.... ou encore ma peur quand j'ai piqué un bonbon au magasin et que la caissière m'a repérée....on ne décide donc pas de "ce qui monte". On ne travaille pas que sur l'émotion, mais aussi la situation. Plus elle est précise, mieux ça marche.
Puis, une fois là, le problème identifié, c'est vrai qu'on l'attaque de front (pas très global, je te l'accorde), mais je ne cherche pas à le contrôler: on est dans l'émotion, on tapote les points en disant la phrase.... et tout à coup plus de tension, comme un vrai lâcher prise. Ce qui était un problème n'en n'est plus un. Alors oui, c'est une sorte de contrôle peut-être, mais sans utiliser le mental, en utilisant son corps, je le perçois donc comme différent d'un contrôle. Quand je "réfléchis" trop, que je décortique mon probème de manière "logique", ça ne marche pas. Faut que ça touche les tripes. Puis ensuite on passe à une autre perspective, et ce de manière définitive. J'ai pas l'impression de mettre une couche de terre sur un problème qui va réapparaître. Mais si c'est le cas, je vous tiendrai au courant.
Merci Manu, c'est passionnant d'échanger avec toi . Je vais relire ton post plus attentivement demain car il est bien plus riche et mériterait un rebond plus fouillé.
Cordialement,
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
Je vois que tout le monde semble avoir un truc pour gérer le stress... Moi , dernier exemple en date, c'est dimanche dernier. Je devais aller voir le spectacle de Laurent Savard et comme je n'ai pas le permis (je sais, à 35 ans ca peut surprendre), c'est une amie qui devait m'emmener mais je ne savais pas à quelle heure elle passerait me prendre.
J'ai attendu un mail ou un coup de fil toute la journée, incapable de me lancer dans une activité quelconque. Les enfants voulaient aller au parc. Résultat j'ai stressé toute la journée et j'ai pourri le dimanche de tout le monde
Le pire c'est que j'ignorais pourquoi j'étais en stress jusqu'à ce que ma femme me dise d'appeler moi même mon amie pour savoir. Faut croire qu'elle me connait bien parce que finalement, une fois que j'avais l'heure de départ, je suis devenu tout tranquille et décontracté et on est même allé au parc avant que je parte pour Fouesnant...
Gestion du stress : 0,00 !
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
Ah, tu étais à Fouesnant ?
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
Oui Jean.Jean a écrit :Ah, tu étais à Fouesnant ?
Ah, tu étais à Fouesnant ?
Et en ce qui concerne les techniques d'hyperventilation des méridiens antiseptiques , je crois que le fait de simplement se concentrer sur sa respiration permet déjà de penser à autre chose qu'à ce qui stress... ce qui doit effectivement avoir pour effet immédiat de déstresser Mais qu'en est-il quand on arrête non pas de respirer mais de se concentrer sur ca et que les causes du stress ne sont d'une part pas réglées et nous reviennent en tête, et qu'en plus on se dit qu'on a perdu du temps qu'il faut rattraper ?
Bon, j'ai pratiqué pour ma part il y a quelques années la méditation. Pratiquée quotidiennement ca avait un effet super bénéfique pour moi. La difficulté aujourd'hui c'est de pouvoir le faire avec une femme et des enfants qui me tournent autour ...mais je pense que je vais reprendre.
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
Je peux me tromper, mais ce que tu décris ressemble à cette technique de Jung mêlée à de l'acuponcture par pression.Corinne a écrit :ce qui est identifié comme émotion monte spontanément, ce n'est pas vraiment une "analyse" à part au début où l'on se demande: mais c'est quoi le fond du problème en dehors du fait que j'aime pas les conflits (par ex.): ensuite, l'analyse s'arrête, ce sont des images, des sensations non dirigées qui montent... comme par ex la peur de ne pas être aimé (mais c'est vrai que ça fait un peu "classique" comme exemple, proche d'une analyse intellectuelle). Mais ça pourrait aussi être le souvenir de Tante Rose qui m'a grondée très fort à l'âge de 3 ans car j'ai écrasé ses roses.... ou encore ma peur quand j'ai piqué un bonbon au magasin et que la caissière m'a repérée....on ne décide donc pas de "ce qui monte". On ne travaille pas que sur l'émotion, mais aussi la situation. Plus elle est précise, mieux ça marche.
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
@ Schehade, merci pour ta réponse !
quand tu dis:
"Et en ce qui concerne les techniques d'hyperventilation des méridiens antiseptiques , je crois que le fait de simplement se concentrer sur sa respiration permet déjà de penser à autre chose qu'à ce qui stress... ce qui doit effectivement avoir pour effet immédiat de déstresser Mais qu'en est-il quand on arrête non pas de respirer mais de se concentrer sur ca et que les causes du stress ne sont d'une part pas réglées et nous reviennent en tête, et qu'en plus on se dit qu'on a perdu du temps qu'il faut rattraper ? "
Je pensais comme toi avant de pratiquer, mais j'ai constaté qu'en "perdant" les quelques minutes de gestion du stress, j'en gagne car l'esprit est plus lucide, donc les interventions plus efficaces aussi. On relativise plus la source de stres,donc plus grande lucidité, donc meilleure gestion des priorités et moins de fatigue (le stress c'est vraiment épuisant pour moi).
La méditation ? tous ceux que je connais qui la pratiquent en voient des bénéfices en tout cas...oui, je pense que c'est une super approche que perso je ne fais pas mais que j'ai envie d'essayer. Par rapport à la famille, je te rejoins: dans un appartement c'est difficile de se planquer tranquille dans un coin durant 30minutes, ou alors quand ils sont au lit... et là on s'endort ! Les miens sont plus grands, je n'ai plus d'excuse, mais petits....là sincèrement je sais pas où j'aurais casé ça! mais en même temps si ça te fait du bien c'est sûrement négociable
@ Anne-Marie, merci à toi aussi ! Je suis sincèrement épatée de votre gentillesse et intérêt à rebondir sur ce sujet, c'est vraiment très intéressant pour moi !!
Tu dis
"Je peux me tromper, mais ce que tu décris ressemble à cette technique de Jung mêlée à de l'acuponcture par pression"
J'ai été voir le lien, je ne peux pas me prononcer comme ça, mais ça me parle, oui ! Je fais aussi des relaxations dirigées sur un sujet précis, et je "lâche" durant la relaxation ce qui monte. Je n'en n'ai pas parlé ici car je voyais ça plus comme du développement personnel, et que face à une émotion intense qui monte je fais plutôt EFT, mais c'est vrai que j'ai pris l'habitude de laisser venir ce que mon cerveau veut bien me laisser voir, sans le juger (c'est le plus difficile, car c'est pas toujours joli joli....) pour ensuite le "laisser aller".
A la réflexion, je pense que j'ai vécu plusieurs étapes avec l'EFT: travailler sur l'émotion à partir d'une "analyse" de la situation, avec des résultats plus ou moins bons. J'ai laissé tombé ça une année avant de reprendre en raison d'un stress très lourd. Puis peu à peu en me documentant j'ai compris qu'il fallait être souple et ne pas diriger trop l'analyse, travailler sur "ce qui vient", même si ça paraît absurde, sans rapport avec la situation de départ. J'aurais pu préciser ça depuis le début, mais en fait c'est devenu tellement spontané que je n'ai pas réussi à le décrire ainsi.
Woaw merci à vous tous, vous me faites faire tout un travail réflexif, j'adore ça
euh......je suis pomme mais j'assume : quelqu'un pourrait-il m'expliquer comment citer dans ces jolis rectangles blancs ? Merci d'avance
quand tu dis:
"Et en ce qui concerne les techniques d'hyperventilation des méridiens antiseptiques , je crois que le fait de simplement se concentrer sur sa respiration permet déjà de penser à autre chose qu'à ce qui stress... ce qui doit effectivement avoir pour effet immédiat de déstresser Mais qu'en est-il quand on arrête non pas de respirer mais de se concentrer sur ca et que les causes du stress ne sont d'une part pas réglées et nous reviennent en tête, et qu'en plus on se dit qu'on a perdu du temps qu'il faut rattraper ? "
Je pensais comme toi avant de pratiquer, mais j'ai constaté qu'en "perdant" les quelques minutes de gestion du stress, j'en gagne car l'esprit est plus lucide, donc les interventions plus efficaces aussi. On relativise plus la source de stres,donc plus grande lucidité, donc meilleure gestion des priorités et moins de fatigue (le stress c'est vraiment épuisant pour moi).
La méditation ? tous ceux que je connais qui la pratiquent en voient des bénéfices en tout cas...oui, je pense que c'est une super approche que perso je ne fais pas mais que j'ai envie d'essayer. Par rapport à la famille, je te rejoins: dans un appartement c'est difficile de se planquer tranquille dans un coin durant 30minutes, ou alors quand ils sont au lit... et là on s'endort ! Les miens sont plus grands, je n'ai plus d'excuse, mais petits....là sincèrement je sais pas où j'aurais casé ça! mais en même temps si ça te fait du bien c'est sûrement négociable
@ Anne-Marie, merci à toi aussi ! Je suis sincèrement épatée de votre gentillesse et intérêt à rebondir sur ce sujet, c'est vraiment très intéressant pour moi !!
Tu dis
"Je peux me tromper, mais ce que tu décris ressemble à cette technique de Jung mêlée à de l'acuponcture par pression"
J'ai été voir le lien, je ne peux pas me prononcer comme ça, mais ça me parle, oui ! Je fais aussi des relaxations dirigées sur un sujet précis, et je "lâche" durant la relaxation ce qui monte. Je n'en n'ai pas parlé ici car je voyais ça plus comme du développement personnel, et que face à une émotion intense qui monte je fais plutôt EFT, mais c'est vrai que j'ai pris l'habitude de laisser venir ce que mon cerveau veut bien me laisser voir, sans le juger (c'est le plus difficile, car c'est pas toujours joli joli....) pour ensuite le "laisser aller".
A la réflexion, je pense que j'ai vécu plusieurs étapes avec l'EFT: travailler sur l'émotion à partir d'une "analyse" de la situation, avec des résultats plus ou moins bons. J'ai laissé tombé ça une année avant de reprendre en raison d'un stress très lourd. Puis peu à peu en me documentant j'ai compris qu'il fallait être souple et ne pas diriger trop l'analyse, travailler sur "ce qui vient", même si ça paraît absurde, sans rapport avec la situation de départ. J'aurais pu préciser ça depuis le début, mais en fait c'est devenu tellement spontané que je n'ai pas réussi à le décrire ainsi.
Woaw merci à vous tous, vous me faites faire tout un travail réflexif, j'adore ça
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
Quand tu fais répondre, tu arrives sur la page sur laquelle tu peux écrire ton message. En descendant plus bas, tu revois les derniers messages écrits sur le topic. Là tu sélectionne la partie voulue et tu cliques sur le bouton citer situé en haut à gauche dans la partie du message déposé par la personne à citer.annemarie a écrit :quelqu'un pourrait-il m'expliquer comment citer dans ces jolis rectangles blancs ? Merci d'avance
Papa (Aspi) de 2 enfants ; Raphaël (6 ans, Aspie) et Hadriel (4 ans et demi NT).
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Re: Gestion du stress: vos approches, vos trucs
J'ai une question pour tout le monde.
Je travaille soit le matin et jusqu'à 16H environ, soit d'après-midi jusqu'à 20H30 ou 21H.
Quand je suis du matin, (mon travail étant particulièrement éprouvant nerveusement pour moi plus que physiquement épuisant) en rentrant je suis souvent trop fatigué pour faire quoi que ce soit et j'ai tendance à provoquer par mon agassement dès qu'on me demande quelque chose une ambiance assez tendue.
Quand je suis d'après-midi, le simple fait de savoir que je vais devoir sortir de chez moi, aller travailler : quelque chose d'important à mes yeux de devoir sortir de chez soi pour faire ce qu'on est obligé de faire. (ca peut aussi être faire les courses ou aller au parc), et bien je suis hyper tendu et incapable de me lancer dans une activité qui demande plus de 5 minutes. Même manger avant d'aller au taf ca doit être fait "sur le pouce" !
Est-ce que quelqu'un ici (oui ! Enfin la question ) connait ce genre de difficulté, qu'il soit NT ou non ? En gros je me demande si c'est normal d'être comme ca ...
Je travaille soit le matin et jusqu'à 16H environ, soit d'après-midi jusqu'à 20H30 ou 21H.
Quand je suis du matin, (mon travail étant particulièrement éprouvant nerveusement pour moi plus que physiquement épuisant) en rentrant je suis souvent trop fatigué pour faire quoi que ce soit et j'ai tendance à provoquer par mon agassement dès qu'on me demande quelque chose une ambiance assez tendue.
Quand je suis d'après-midi, le simple fait de savoir que je vais devoir sortir de chez moi, aller travailler : quelque chose d'important à mes yeux de devoir sortir de chez soi pour faire ce qu'on est obligé de faire. (ca peut aussi être faire les courses ou aller au parc), et bien je suis hyper tendu et incapable de me lancer dans une activité qui demande plus de 5 minutes. Même manger avant d'aller au taf ca doit être fait "sur le pouce" !
Est-ce que quelqu'un ici (oui ! Enfin la question ) connait ce genre de difficulté, qu'il soit NT ou non ? En gros je me demande si c'est normal d'être comme ca ...
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