Que faire quand on suit un traitement médicamenteux à base de psychotropes et que, pour une raison ou une autre, le médicament a possiblement été rejeté après prise mais qu'on ne sait pas quelle quantité en a été rejetée ?
A mon sens, reprendre la dose identique du médicament reviendrait à doubler et serait dangereux, donc à ne pas faire. Le truc c'est qu'en ne sachant pas la quantité rejetée (qui est peut-être l'intégralité du médicament), je ne sais pas s'il y a des risques dangereux pour la santé, de type symptômes de manque, syndrome de sevrage ou des trucs comme ça...
Je me place dans le cas où, dans le doute, en partant du principe que le médicament a pu être potentiellement rejeté dans son intégralité, c'est équivalent à sauter un jour de traitement. Vous pensez que c'est grave ?
Me semble que mes antidépresseurs ont une durée de demi-vie plutôt longue, donc dans le cas où l'on saute une prise, je pense pas que ce soit dramatique mais bon...

J'avoue que je sais pas trop trop quoi faire là...