Actuellement, je m'ennuie.
Pourtant, je sais que j'ai des choses à faire mais je n'ai actuellement pas la motivation ou l'énergie pour faire ça maintenant.
Même si je peux avoir des centres d'intérêts très chronophages et très intenses, j'ai remarqué qu'il m'arrive souvent de m'ennuyer.
Quand je m'ennuie, je ressens un truc désagréable et ça me frustre en fait... Même corporellement, physiquement parlant, c'est une sensation que je trouve désagréable. J'ai l'impression de ressentir l'ennui quand j'ai envie de faire pleins de trucs mais que je n'arrive pas à me lancer dans quoi que ce soit, que j'ai pleins d'idées en tête mais que j'arrive pas à concrétiser les trucs et que je sais pas comment commencer.
Et je trouve ça juste giga frustrant.
Parfois quand j'ai rien à faire, j'ai une sorte d'ennui agréable où je me pose dans mon lit et je ferme les yeux et je m'imagine tout pleins de scénarios sympas, ça détend. Ou idem en allant marcher dehors. Je marche pendant longtemps comme ça et mon mental décroche totalement de mon physique en fait. Mon corps marche mais mon esprit est ailleurs, dans ses pensées, dans une réflexion profonde.
Mais là, je sens l'ennui désagréable revenir et ça ne me plaît pas comme sensation.
C'est quoi votre rapport à l'ennui vous ? Vous pensez le ressentir comment ? Vous vous ennuyez souvent ? Vous arrivez à le rompre ?
Le rapport à l'ennui
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Le rapport à l'ennui
TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)
Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks
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Re: Le rapport à l'ennui
J'ai beaucoup de mal de rester sans rien faire, j'ai besoin de m'occuper les mains et la tête tous le temps,même si je n'ai pas de courage pour aller faire du maquillage par exemple si je suis angoissée ou fatiguée je regarde des vidéos sur le maquillage,aprés si je regarde de la théorie sans faire de pratique je ne m'ennuie pas,je peut rester dans ma bulle et les vidéos longtemps.donc c'est rare que je m'ennuie au final^^mais quand ça m'arrive je n'aime pas cela me donne des sensations désagréables et me frustre également,et je ne gère pas bien du tout la frustration voila
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
Ma page perso fragrantica: https://www.fragrantica.fr/members/58816
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Se taire.
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Re: Le rapport à l'ennui
Pas de quoi m'ennuyer. Il y a tant de choses à faire.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Le rapport à l'ennui
Je distinguerais deux contextes différents à l'ennui : l'ennui pendant mon temps libre et l'ennui au travail.
Pendant mon temps libre, j'ai l'impression que je le gère mieux actuellement, car j'ai réussi à remplir ce temps d'activités diverses.
En semaine, j'alterne les jours où je vais au travail et rentre chez moi juste pour ma routine du soir, et les jours où je suis en télétravail et vais à mon cours de sport juste après le travail.
Cette semaine, j'étais chez moi et sans sport toute la semaine pour cause d'isolement covid, et l'heure du flottement habituellement réservée aux transports m'angoissait car j'avais peur de m'ennuyer.
Le week-end, je reste longtemps au lit au matin, pour ne pas m'ennuyer, et je vais au cinéma pratiquement tous les dimanches après-midi (idem,sinon j'ai peur de m'ennuyer).
Depuis que j'ai repris l'écriture, j'essaie de m'y atteler dans les plages de temps libre qu'il me reste.
J'arrive donc plus ou moins bien à gérer (cela dépend surtout du fait que j'ai ou non un centre d'intérêt particulier) mes temps de loisirs.
Après, il y a aussi les périodes où je suis au travail mais n'ai rien à faire. Je déteste ça. Je m'ennuie horriblement. Et je n'arrive pas à utiliser ce temps pour faire autre chose, car il est pour moi réservé au travail. Heureusement, j'ai un travail assez prenant, donc ce temps d'ennui reste limité. Mais précédemment, j'avais un responsable qui temporisait tout et donnait des délais déraisonnablement longs pour tout (dans un souci de nous préserver) et me disais sans cesse d'en faire moins (je faisais le travail des autres car je ne supportais pas d'attendre). J'en étais malade d'ennui, c'était une vraie torture pour moi. Je ne sais pas du tout m'auto-alimenter et tâches et reste à attendre passivement tant que je n'ai pas de projet précis à faire. Idem chez moi d'ailleurs, je reste oisive à m'ennuyer en me disant que la maison aurait bien besoin d'être briquée, mais impossible de passer à l'action.
Donc je compatis. C'est dur l'ennui.
Pendant mon temps libre, j'ai l'impression que je le gère mieux actuellement, car j'ai réussi à remplir ce temps d'activités diverses.
En semaine, j'alterne les jours où je vais au travail et rentre chez moi juste pour ma routine du soir, et les jours où je suis en télétravail et vais à mon cours de sport juste après le travail.
Cette semaine, j'étais chez moi et sans sport toute la semaine pour cause d'isolement covid, et l'heure du flottement habituellement réservée aux transports m'angoissait car j'avais peur de m'ennuyer.
Le week-end, je reste longtemps au lit au matin, pour ne pas m'ennuyer, et je vais au cinéma pratiquement tous les dimanches après-midi (idem,sinon j'ai peur de m'ennuyer).
Depuis que j'ai repris l'écriture, j'essaie de m'y atteler dans les plages de temps libre qu'il me reste.
J'arrive donc plus ou moins bien à gérer (cela dépend surtout du fait que j'ai ou non un centre d'intérêt particulier) mes temps de loisirs.
Après, il y a aussi les périodes où je suis au travail mais n'ai rien à faire. Je déteste ça. Je m'ennuie horriblement. Et je n'arrive pas à utiliser ce temps pour faire autre chose, car il est pour moi réservé au travail. Heureusement, j'ai un travail assez prenant, donc ce temps d'ennui reste limité. Mais précédemment, j'avais un responsable qui temporisait tout et donnait des délais déraisonnablement longs pour tout (dans un souci de nous préserver) et me disais sans cesse d'en faire moins (je faisais le travail des autres car je ne supportais pas d'attendre). J'en étais malade d'ennui, c'était une vraie torture pour moi. Je ne sais pas du tout m'auto-alimenter et tâches et reste à attendre passivement tant que je n'ai pas de projet précis à faire. Idem chez moi d'ailleurs, je reste oisive à m'ennuyer en me disant que la maison aurait bien besoin d'être briquée, mais impossible de passer à l'action.
Donc je compatis. C'est dur l'ennui.
Lilas - TSA (AHN - Centre Expert - 2015)
Mes romans :
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- Ma dame aux oiseaux
- Galaxies parallèles
- Les enfants de la lune rouge
- Et à venir prochainement La pie baladeuse
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Re: Le rapport à l'ennui
Je connais bien la sensation d'ennui quand on est censé faire une tâche et qu'on n'ose pas forcément en commencer une autre parce qu'on est censé faire autre chose à la place...
Sinon, c'est mon cas actuellement, l'attente, ça me provoque de grosses phases d'ennui où ma vie s'arrête presque et j'arrive plus à rien faire à part attendre tel ou tel événement...
En l'occurrence, ça me le fait pas mal en ce moment en étant dans la terrible attente de mes résultats de partiels du semestre qui risquent d'arriver même début Juillet...
Ou en attendant des RDV que j'attendais impatiemment aussi...
J'ai très envie de faire pleins d'autres activités mais j'arrive juste pas à me lancer, même quand ce sont des choses qui ne nécessitent aucun matériel...
Sinon, c'est mon cas actuellement, l'attente, ça me provoque de grosses phases d'ennui où ma vie s'arrête presque et j'arrive plus à rien faire à part attendre tel ou tel événement...
En l'occurrence, ça me le fait pas mal en ce moment en étant dans la terrible attente de mes résultats de partiels du semestre qui risquent d'arriver même début Juillet...
Ou en attendant des RDV que j'attendais impatiemment aussi...
J'ai très envie de faire pleins d'autres activités mais j'arrive juste pas à me lancer, même quand ce sont des choses qui ne nécessitent aucun matériel...
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