Des meltdowns explosifs ?

[Ostara]

Quand je suis pas bien je ressemble à une enfant,je pleure comme une enfant,je crie comme une enfant,je jette des choses par terre et contre les murs,puis je me roule en boule et je pleure très fort.si mon mari est là et qu'il me serre je m'apaise un peu,je ne supporte pas les effleurement dans ces cas là,ça me fais mal dans mon corps,et ça m'énerve encore plus.souvent j'ai remarqué que ça arrivait par exemple si en plus de ma semaine de boulot j'ai des amis qui viennent à l'improviste,que le lendemain je reprend le boulot sans pauses seule chez moi,a part le sommeil,ou entre deux changements charnières exemples fin des vacances/reprise travail le lendemain,mais il y a une multitude de raisons et j'ai jamais trop trouver de solution a part qu'on me fasse un câlin ou mes intérêts du moment voilà.

[seul]

Je ressemble aussi un peu à un enfant quand je m'énerve enfin bon à un enfant très perturbé quand même. En général je ne m'énerve pas mais je me plains en criant. Mais on peut considérer ça comme un énervement.
Souvent c'est quand on se réveille le lendemain qu'on a honte de s'être énervé.

[Ostara]

La course a pieds fonctionne bien pour décharger le trop pleins,sans se transformer en marathonien,15/20 mn de courses ça fais du bien et c'est bon pour la santé,ça évite pas toutes les crises mais ça peut en désamorcer certaines et c'est déjà pas mal

[Ostara]

Oui parce que sur le moment on est tellement envahi par les émotions, je sais pas toi si c'est le cas,mais moi dans ces cas là je suis tellement envahie que je suis hermétique a toute tentative de raisonnement verbal.on se sent coupable quand c'est redescendu comme un soufflé.

[Comte_Pseudonyme]

Je ressemble aussi un peu à un enfant quand je m'énerve enfin bon à un enfant très perturbé quand même. En général je ne m'énerve pas mais je me plains en criant. Mais on peut considérer ça comme un énervement.
Souvent c'est quand on se réveille le lendemain qu'on a honte de s'être énervé.

La plupart des gens qui perdent leur calme, et la dignité de sang froid qui fait de quelqu'un un adulte apparemment fonctionnel, se comportent d'une façon qui fait penser à des enfants. Le "verni" de maturité "adulte", c'est un peu comme celui de la "civilisation".

Il faut pas grand chose, parfois que quelques jours sans repas chaud (ou l'équivalent émotionnel) pour que ça passe à la trappe avec une vitesse si conséquente qu'on approche de la combustion spontanée de l'objet en question (à savoir, le sang froid, pour rappel).


Je connais pas mal de gens qui pleurent presque (ou en donne l'impression), ou gémissent comme des enfants, en miaulant de malheur des choses qui n'ont aucun sens, comme "Ce n'est pas possible..." à propos de quelque chose qui est pourtant évidemment en train de se passer... (la preuve : la personne en question est dans cet état là parce que c'est en train de se passer). On ne m’ôtera pas de l'idée qu'un adulte, c'est un enfant qui à terminé sa croissance, et qui parfois, pense qu'il à terminé son éducation. Et qui s'en retrouve en fait assez immature.

[seul]

Oui parce que sur le moment on est tellement envahi par les émotions, je sais pas toi si c'est le cas,mais moi dans ces cas là je suis tellement envahie que je suis hermétique a toute tentative de raisonnement verbal.on se sent coupable quand c'est redescendu comme un soufflé.

Je me sens pas vraiment coupable je me sens plutôt nul d'avoir réagi comme ça.

Je ressemble aussi un peu à un enfant quand je m'énerve enfin bon à un enfant très perturbé quand même. En général je ne m'énerve pas mais je me plains en criant. Mais on peut considérer ça comme un énervement.
Souvent c'est quand on se réveille le lendemain qu'on a honte de s'être énervé.

La plupart des gens qui perdent leur calme, et la dignité de sang froid qui fait de quelqu'un un adulte apparemment fonctionnel, se comportent d'une façon qui fait penser à des enfants. Le "verni" de maturité "adulte", c'est un peu comme celui de la "civilisation".

Il faut pas grand chose, parfois que quelques jours sans repas chaud (ou l'équivalent émotionnel) pour que ça passe à la trappe avec une vitesse si conséquente qu'on approche de la combustion spontanée de l'objet en question (à savoir, le sang froid, pour rappel).


Je connais pas mal de gens qui pleurent presque (ou en donne l'impression), ou gémissent comme des enfants, en miaulant de malheur des choses qui n'ont aucun sens, comme "Ce n'est pas possible..." à propos de quelque chose qui est pourtant évidemment en train de se passer... (la preuve : la personne en question est dans cet état là parce que c'est en train de se passer). On ne m’ôtera pas de l'idée qu'un adulte, c'est un enfant qui à terminé sa croissance, et qui parfois, pense qu'il à terminé son éducation. Et qui s'en retrouve en fait assez immature.

Ben je vais essayer de garder le verni maturité quand même et le perdre le moins possible parce que c'est très difficile à vivre. Le plus difficile à vivre c'est quand les gens font la gueule le lendemain ou arrêtent de te parler définitivement.

[Ostara]

Je ressemble aussi un peu à un enfant quand je m'énerve enfin bon à un enfant très perturbé quand même. En général je ne m'énerve pas mais je me plains en criant. Mais on peut considérer ça comme un énervement.
Souvent c'est quand on se réveille le lendemain qu'on a honte de s'être énervé.

La plupart des gens qui perdent leur calme, et la dignité de sang froid qui fait de quelqu'un un adulte apparemment fonctionnel, se comportent d'une façon qui fait penser à des enfants. Le "verni" de maturité "adulte", c'est un peu comme celui de la "civilisation".

Il faut pas grand chose, parfois que quelques jours sans repas chaud (ou l'équivalent émotionnel) pour que ça passe à la trappe avec une vitesse si conséquente qu'on approche de la combustion spontanée de l'objet en question (à savoir, le sang froid, pour rappel).


Je connais pas mal de gens qui pleurent presque (ou en donne l'impression), ou gémissent comme des enfants, en miaulant de malheur des choses qui n'ont aucun sens, comme "Ce n'est pas possible..." à propos de quelque chose qui est pourtant évidemment en train de se passer... (la preuve : la personne en question est dans cet état là parce que c'est en train de se passer). On ne m’ôtera pas de l'idée qu'un adulte, c'est un enfant qui à terminé sa croissance, et qui parfois, pense qu'il à terminé son éducation. Et qui s'en retrouve en fait assez immature.

dire "ce n'est pas possible" alors que quelque chose se passe sous les yeux de la personne,ça me fais penser à un état de sidération,une partie d'elle sait que ce qui se passe est réel,l'autre s'y refuse,c'est paradoxal,et la personne a beau se dire que non c'est pas possible,sa lucidité la fais revenir au concret,donc perte de sang froid.ou qu'à l'inverse parfois on voit une personne bloquée devant la situation incapable de réagir pendant quelques instants le temps qu'elle réalise bien.

[Comte_Pseudonyme]

Ben je vais essayer de garder le verni maturité quand même et le perdre le moins possible parce que c'est très difficile à vivre. Le plus difficile à vivre c'est quand les gens font la gueule le lendemain ou arrêtent de te parler définitivement.

Ah, je n'ai pas dit que c'était facile, j'ai dit que c'était relativement commun.

Et j'ose dire que je sais que c'est très douloureux. Il y a des moments comme ça qui m'ont couté très chers. Je sais ce que c'est que de se faire jeter.

Je ressemble aussi un peu à un enfant quand je m'énerve enfin bon à un enfant très perturbé quand même. En général je ne m'énerve pas mais je me plains en criant. Mais on peut considérer ça comme un énervement.
Souvent c'est quand on se réveille le lendemain qu'on a honte de s'être énervé.

La plupart des gens qui perdent leur calme, et la dignité de sang froid qui fait de quelqu'un un adulte apparemment fonctionnel, se comportent d'une façon qui fait penser à des enfants. Le "verni" de maturité "adulte", c'est un peu comme celui de la "civilisation".

Il faut pas grand chose, parfois que quelques jours sans repas chaud (ou l'équivalent émotionnel) pour que ça passe à la trappe avec une vitesse si conséquente qu'on approche de la combustion spontanée de l'objet en question (à savoir, le sang froid, pour rappel).


Je connais pas mal de gens qui pleurent presque (ou en donne l'impression), ou gémissent comme des enfants, en miaulant de malheur des choses qui n'ont aucun sens, comme "Ce n'est pas possible..." à propos de quelque chose qui est pourtant évidemment en train de se passer... (la preuve : la personne en question est dans cet état là parce que c'est en train de se passer). On ne m’ôtera pas de l'idée qu'un adulte, c'est un enfant qui à terminé sa croissance, et qui parfois, pense qu'il à terminé son éducation. Et qui s'en retrouve en fait assez immature.

dire "ce n'est pas possible" alors que quelque chose se passe sous les yeux de la personne,ça me fais penser à un état de sidération,une partie d'elle sait que ce qui se passe est réel,l'autre s'y refuse,c'est paradoxal,et la personne a beau se dire que non c'est pas possible,sa lucidité la fais revenir au concret,donc perte de sang froid.ou qu'à l'inverse parfois on voit une personne bloquée devant la situation incapable de réagir pendant quelques instants le temps qu'elle réalise bien.

C'est pas faux. ^^

[Ostara]

Oui parce que sur le moment on est tellement envahi par les émotions, je sais pas toi si c'est le cas,mais moi dans ces cas là je suis tellement envahie que je suis hermétique a toute tentative de raisonnement verbal.on se sent coupable quand c'est redescendu comme un soufflé.

Je me sens pas vraiment coupable je me sens plutôt nul d'avoir réagi comme ça.

Je ressemble aussi un peu à un enfant quand je m'énerve enfin bon à un enfant très perturbé quand même. En général je ne m'énerve pas mais je me plains en criant. Mais on peut considérer ça comme un énervement.
Souvent c'est quand on se réveille le lendemain qu'on a honte de s'être énervé.

La plupart des gens qui perdent leur calme, et la dignité de sang froid qui fait de quelqu'un un adulte apparemment fonctionnel, se comportent d'une façon qui fait penser à des enfants. Le "verni" de maturité "adulte", c'est un peu comme celui de la "civilisation".

Il faut pas grand chose, parfois que quelques jours sans repas chaud (ou l'équivalent émotionnel) pour que ça passe à la trappe avec une vitesse si conséquente qu'on approche de la combustion spontanée de l'objet en question (à savoir, le sang froid, pour rappel).


Je connais pas mal de gens qui pleurent presque (ou en donne l'impression), ou gémissent comme des enfants, en miaulant de malheur des choses qui n'ont aucun sens, comme "Ce n'est pas possible..." à propos de quelque chose qui est pourtant évidemment en train de se passer... (la preuve : la personne en question est dans cet état là parce que c'est en train de se passer). On ne m’ôtera pas de l'idée qu'un adulte, c'est un enfant qui à terminé sa croissance, et qui parfois, pense qu'il à terminé son éducation. Et qui s'en retrouve en fait assez immature.

Ben je vais essayer de garder le verni maturité quand même et le perdre le moins possible parce que c'est très difficile à vivre. Le plus difficile à vivre c'est quand les gens font la gueule le lendemain ou arrêtent de te parler définitivement.

Tu sais le verni maturité tout le monde peut le perdre a un moment donné,qui qu'on soit on est humains,on a des failles,c'est juste que il y a des personnes qui réagissent plus intensément que d'autres,avec le temps même s'il m'arrive encore de faire des crises,et que oui on se sent nul ou coupable après,la priorité c'est surtout de pas se mettre en danger ni casser des objets,dans notre société la mauvaise gestion des émotions est mal perçu car tout dois être maîtrisé et lisse en public,alors on va en percevoir que le côté négatif,alors que quand tout va bien il y aussi pleins de côté positif à ressentir les choses intensément,avoir des frissons devant un paysage,une belle photo,un tableau,être vraiment allergique à l'injustice ect.

[Ostara]

Avec ma psychologue je travaille sur l'acceptation de cette part de moi,et le fais de l'accepter,sans plus le voir comme une honte à cacher,ça aide aussi à se sentir plus serein avec soi même,à trouver la paix interne,a se connaître mieux soi même et a trouver les déclencheurs,donc connaître ses limites avant le point de non retour.Seul peut être que voir un psychologue pour faire un travail ciblé,pourrait t'aider.

[Ostara]

Par exemple personnellement,des scènes très dures dans les films comme les abandons d'animaux,les violences,les scènes de guerre ou autre me sont insupportables et peuvent me hanter et m'attrister pendant des jours,pour éviter ça mon mari me dis bouche toi les oreilles et ferme les yeux le temps de la scène s'il connait le film,ou je le fais de moi même si je vois que ça va être insoutenable pour moi.c'est une limite que je connait de moi et je me préserve.

[Sarah Pâquerette]

Je connais ces crises de "colère inexpliquées" à priori sans origine "valable" et tout comme toi je me pose de questions. C'est une explosion qui va dans tous les sens et nulle part, un genre de blanc contrairement à ce que j'appelle "une implosion" qui est résultat de "accumulation de je-sais-pas-trop-quoi" qui me transforme en un genre de spectateur silencieux (pour ne pas dire un zombie) fonctionnant en régime pilotage automatique...
Moi aussi je cherche des explications...

C'est exactement la même chose de mon côté. Arrivée à l'âge adulte, mes explosions se sont finalement tournées physiquement contre moi-même à la place des objets. Cela fait plus de 20 ans que je fais semblant que tout va bien sur ce point alors que j'ai régulièrement de ces explosions où je me frappe (mais que je cache aux autres quitte à aller me réfugier dans des WC s'il n'y a pas d'autre issue). Je reconnais bien aussi l'idée de l'"implosion" que j'appelle plutôt "absence".

[Ostara]

Quand j'explose soit j'explose en crise soit je m'agite physiquement,en fesant des aller retours d'une pièce a l'autre sans but,soit je me fais des plaies aux bras en appuyant sur ma peau pour me soulager,mais ça je le fais aussi quand je suis pas en crise et que j'ai des tensions en moi c'est a dire tous les jours quasiment.soit je fais des crises de panique,d'angoisse,et je pose les mêmes questions en boucle à mon mari pour qu'il me rassure.

[Ostara]

C'est pas la joie en ce moment dans ma tête, j'ai l'impression d'être un zombie,je pleure ou je m'enferme sur moi même.entre les repas et les imprévus j'arrive pas à gérer.j'angoisse bref c'est pas la fête dans ma tête.

[Sarah Pâquerette]

C'est pas la joie en ce moment dans ma tête, j'ai l'impression d'être un zombie,je pleure ou je m'enferme sur moi même.entre les repas et les imprévus j'arrive pas à gérer.j'angoisse bref c'est pas la fête dans ma tête.

C'est difficile ce que tu décris. Il faut beaucoup de courage pour affronter des périodes comme celles-là.
Est-ce que quelque chose de particulier c'est passé ?