[Index Humeur] Juste pour gueuler !

[Comte_Pseudonyme]

Je crois que je viens de comprendre pourquoi les chiens aboient après les passants.

Dans mon quartier, une famille emménage il y a quelques mois. Le chien s’ennuie profondément. Dans une dizaine de mètres carrés de pelouse, sans vraiment d'ombre, d'occupation, d'attention. Derrière la porte fenêtre, il voit ses humains dans le salon, regarder la télévision, manger, vivre. Lui, il est sur la pelouse. Puis, les humains en ont assez des regards des passants et ils mettent des rideaux.

Ils partent le matin et rentrent le soir. Et le chien reste sur la pelouse.

Au début, quand la famille et le chien étaient arrivés, le chien était très sympathique. Il regardait les passants, curieux, presque avide de faire connaissance. Les yeux luisant d'une question "copain ? pas copain ?". C'était, donc, il y a quelques mois. Maintenant, le chien aboi après tout ce qui passe. S'arrêter pour le regarder dans les yeux, lui dire un mot, même tendre la main ne sert plus à rien. La pelouse, le grillage, l'absence, l'ennui, le font aboyer.

Je ne comprend pas les gens qui adoptent des animaux 'de compagnie' si c'est pour ne pas leur tenir compagnie à eux aussi. Je ne comprend pas les gens qui portent leurs chien dans un sac à main (ça existe, j'ai vue ça la semaine dernière). Je ne comprend pas les gens qui adoptent des animaux comme les chiens qui, sont tous dévoués à leur "maître", ne peuvent pas vraiment vivre sans, parce qu'ils presque calibrés pour ça, par des millénaires de sélection.

Dans un monde idéal, les seuls qui auraient des chiens seraient ceux qui vivraient réellement avec, ou qui travaillent avec. Les chiens sont fait pour les bergers, les petits vieux, les aveugles, etc., ceux qui restent avec leur chien, parce que le chien est fait pour rester avec eux. Les chats, poissons et autres, c'est différent je suppose. Je n'aime pas les chiens. Mais ce n'est pas parce que je n'aime pas les chiens que je ne me rend pas compte qu'il une pratique systématique, que beaucoup de gens trouvent normal, de considérer les chiens comme des appendices à leur vie. C'est compliqué, comprenez, de vivre avec une bête.

Ben n'en adoptez pas, bande de crétins. Un chien, c'est un être vivant h24, pendant environ 3 à 12 voir 15 ans, selon les races. Pas une option pour le vendredi soir. Ou alors, faudrait des chiens, des animaux de compagnie de quartier. Mais pour ça, faudrait déjà du lien social. Faudrait déjà connaître ses voisins. Bref.

[Fluxus]

Y a quelques temps, je disais que j'aimais bien l'esprit convivial de chez moi, le fait que tout le monde se connaisse dans le même secteur, le fait d'avoir des amis et connaissances en commun, de connaître des gens de manière plus ou moins directe sans pour autant vraiment les connaitre...

Ba en fait, je suis plus sûre d'aimer ça...

Personnellement parlant, j'ai pas vraiment de souci avec le "manque d'intimité" que ça peut créer parce que j'aime bien l'aspect un peu "communauté" qui réunit des gens avec un état d'esprit similaire ou des intérêts communs mais j'ai l'impression de faire un truc de mal dès que je me retrouve de manière aléatoire à cumuler les points communs avec des personnes que je ne suis pas censée côtoyer au quotidien... Alors que ça n'est même pas fait exprès...

Fin bref, c'est abstrait mais je me comprends de toutes façons.

Le numérique c'est bien pour les partages, les découvertes et la culture mais ça pourrit vachement la vie quand même...

Et tant qu'on y est, enchaînons les gueulantes sur des sujets qui n'ont rien à voir entre eux :

Je comprends pas la réaction de la semaine dernière. Je comprends pas pourquoi j'ai eu l'impression de me faire engueuler ou me faire faire une leçon de morale en restant figée comme un chien sans pouvoir m'opposer ni rien dire, en me laissant faire alors que c'était totalement incohérent ce qui venait de se passer...

Engueuler les gens parce qu'on les aime ou qu'on tient à eux, ça peut se comprendre... Mais puisque on ne tient pas à moi et qu'on ne m'aime pas spécifiquement, quel intérêt ?

Est-ce que ça embarrasse personnellement ou est-ce que ça embarrasse professionnellement parce que ça donne une impression d'avoir mal fait son job, si je vais mal ?

J'en ai marre, je comprends juste plus rien.

J'avais dit que j'essayais de pas me sentir atteinte par certaines choses qui méritent pas forcément que je me prenne la tête dessus la semaine dernière mais en vrai, c'est bien plus dur et plus blessant que ce que j'imaginais...

J'aimerais tellement voir les autres dans ma situation...

Je comprends pas qu'on ne puisse pas comprendre que j'essaie juste de me raccrocher à ce qu'il me reste...

Je comprends pas pourquoi tant de froideur, tant de sécheresse et si peu de tact ?! Faut pouvoir donner l'impression d'être imposant.e pour se faire respecter ?

Je comprends plus. Je comprends pas comment une relation, bien que quelconque, entre deux individus peut se transformer aussi rapidement...

Je crois que mes problématiques de dépendance affective sont en train de reprendre le dessus et le pire, c'est que je me sens très probablement blessée par quelqu'un qui en a peut-être rien à foutre de moi pour de bon et pour qui seul l'aspect professionnel rentre en compte.

Et ça me gave de finir par m'attacher à tout le monde et n'importe qui, je finis toujours par être déçue... J'ai l'impression d'enchaîner les gaffes en cherchant à plaire à quelqu'un...


Et aussi, quand je disais qu'en fait, j'avais juste l'impression d'être qu'un putain de numéro étudiant et rien d'autre, c'est vraiment ça en fait...

On essaie de me maintenir en bonne condition juste parce que la principale idée derrière, c'est ma scolarité, les partiels et rien d'autre.

Ils en ont tous rien à foutre de ma santé, qu'elle soit physique ou mentale, ce qui compte, c'est juste que je termine mes putain d'études et qu'on me donne un bout de papier pour que je puisse même pas être en état de rentrer dans la vie active plus tard parce que j'aurai l'impression qu'on m'envoie à l'abattoir à chaque seconde tout ça parce qu'on préfère privilégier la pseudo "réussite sociale" à mon bien-être...

J'ai envie de retourner à la clinique... J'étais bien là-bas, c'est calme et personne me fait chier. Personne ne me force à rien, personne ne m'impose rien, personne ne me juge, personne ne se permet de parler sans savoir...

[Bubu]

Je voudrais parler des catholiques intégristes, notamment de la Fraternité Saint Pie X.
Ils se prétendent les meilleurs, notamment en niant le concile vatican II. (Ils ne reconnaissent pas comme légitime la papauté actuelle) Du coup ils sont excommuniés. Rome ne les reconnait pas comme catholiques.
En fait ce sont des monstres. Des satanistes.
A part pour leur communauté très fermée, ils haïssent tout le monde.
Ils sont fascistes, néonazis, racistes, contre les protestants, islamophobes, antisémites, homophobes, phobes de la franc-maçonnerie, islamophobes. Et veulent revenir à la monarchie absolue.
Je ne vous parle même par de la Révolution Française, ou les pauvres prêtres se font sauvagement assassinés par les méchants révolutionnaires. C'est dans des livres pour enfants, comme quoi leur endoctrinement est lancé dès l'enfance.
Enfin bref, je crois que leur haine n'est même pas explicable par les mots. Le jour où vous verrez une personne de couleur dans une de leurs chapelles, vous me préviendrez.
Et pourtant ils chantent tous le Credo tous les dimanches, en prônant que Dieu est amour.
Des hypocrites satanistes.

Après on peut relativiser : ils n'ont jamais tué personne, mais ils murent l'entrée de sex shops ou harcèlent des prêtres progressistes qui ne portent pas la soutane.
Ce n'est pas rien.

Pour eux, le monde c'est fait en une semaine.
Les dinosaures ? De l'intox. Ça n'a jamais existé.
Bref ils vivent dans l'obscurantisme du moyen âge.
On en parle peu car ils sont largement minoritaires, mais ils existent.
Ils se prétendent catholiques, alors que ce sont des obscurantistes sataniques moyenâgeux.

Les catholiques intégristes de la Fraternité Saint Pie X, c'est une secte. Ils ne sont même pas reconnus par le Vatican. Ils se prétendent catholiques sans fondement. Mais trop minoritaire pour intéresser le gouvernement.
Et vu que la religion et la politique c'est la même chose pour eux, ils ont tous voté Zemmour. Même si c'est le candidat le moins pire, car trop à gauche pour eux.

(J'ai une propension à exagérer, vous le savez; mais là non je n'exagère pas. Il n'y a rien a exagérer, c'est suffisamment énorme comme ça )

[Comte_Pseudonyme]

Les groupuscules terroristes les plus actifs, de nos jours, sont quasiment tous à l'extrême droite. Qu'ils soient musulmans ou catholiques, ça ne change rien. Sauf dans la couverture médiatique. Quand un musulman tue, c'est évidemment du terrorisme, ou du moins, la question se pose vite. Quand un catholique tue avec préméditation un étranger parce qu'il est étranger, ou quand un gus braille un cri de ralliement catholique en giflant le président de la République, personne ne bronche.

Pourtant, les ligues peuvent et sont peut-être même en train de renaître, sous un jour nouveau, un "ordre nouveau" (désolé du jeu de mot...). Mais remplacer le président de la Miviludes n'est pas un priorité.

Et au sein des services, se donner des coups de pouces entre copains pantouflé est toujours une très bonne chose, n'est-ce pas ? Bref, pour faire la chasse aux journalistes, syndicalistes, etc. il y a du monde, mais pour finir la séparation des Églises et de l'État, oser prendre à bras le corps le débat sur la laïcité, savoir ce que ça veut dire, prendre à bras le corps la défiance de la population vis-à-vis de tout ce qui ressemble de près ou de loin à l'état, sécu comprise... exception faite de l'armée, et de la police, pour certaines populations (qui ne sont pas racisées et qui ne manifestent pas).

La flemme de retrouver mes sources. C'est épuisant. De retrouver les sources. Et ce dont elles parlent, aussi. -_-

Je suis déprimé parce que le monde est déprimant.

[Comte_Pseudonyme]

https://www.aide-sociale.fr/etudiant-rs ... l%E2%80%89?

Je savais, confusément, que j'étais sur un pont en train de s'effondrer pour ce qui concernait mes études. Plus je perd de temps, plus je me trouve ne péril au niveau des aides financières diverses,

sans parler l'implosion progressive de l'enseignement supérieur. Toujours plus de choses à faire, toujours moins de moyens.

À 24 ans, je passe de la CPR SNCF à la CPAM, encore, ça, je comprend.
À 25 ans, je n'ai plus le droit de demander des bourses sur critères sociaux.
Et je n'ai pas le droit de demander le RSA sans pouvoir justifier d'un activité professionnelle de plus de 3000 heures, soit deux ans à temps plein, si j'étudie. What the fuck, je suis pas censé étudier ?
Et pour rajouter à l'injustice, les études couperaient le RSA de toutes façons.

Je suis livide. (Si j'ai mal compris quelque chose, merci de me détromper.)

Wow. Juste : wow.

Il y a tellement de choses qui posent problème dans ce que je viens de lire, que ce soit l'admission que les élèves puissent ne pas avoir le soutien de leurs parents (sans pour autant prévoir quelque procédure que ce soit pour les aider), ou juste le fait que les études coupent automatiquement l'accès au RSA.

Formation tout au long de la vie, encourageons la, mais ce truc existe ?

Bordel.

Pays de merde.

Je pensais que c'était compose ou crève, mais en fait, on vraiment sur du compose et/ou crève

je pensais que "et" "n’obligeais pas les deux en même temps" (oui, en théorie et règles de la langue française, je suis très, trèèès mauvais), mais bon, je retrouve pas de papier sur la question (et que je demande les règles de et, je tombe principalement sur des histoires de menstrues) au moins ici c'est plus clair :

si jamais tu ne rentres pas dans le beau moule prévu (hahahahahahaha) pour toi, tu peux, bien, aller, très loin, te faire voir.

Handicap, parcours de vie difficile, intelligence atypique, etc. : OSEF. Donne ton numéro étudiant, ton numéro de sécu, ton RIB, pointe, donne les papiers, prend tes papiers. Et dégage, le plus vite possible, il n'y a pas la place, rien n'est prévu pour que tu sois là, au sens de vraiment là. Tu es à peine un étudiant, tu es un usager. Pou un peu plus, tu serai un mouchoir porté au vents mauvais sur le campus, errant d'une administration en cours d'implosion à une autre, allant d'une infirmière à 800 dossiers pour les aménagements d’épreuves, tout en passant par une scolarité une charge d'une grosse millier de dossiers de master, au bas mot, le chiffre exact m'échappe, mais en tout cas quand elle avait commencée, c'était beaucoup, beaucoup, beaucoup beaucoup, moins, genre, seulement 25. Ou quelque chose du genre.

Quand j'étais arrivé à l'Université, j'ai été accueilli le doyen de mon UFR disant que nous n'étions "pas les bienvenus" pour la présidence de l'Université. Mais vraiment, la politique de la formation, et des services publics en général, dans ce pays, confine au délire, à la confusion permanente, si ce n'est au sabotage en règle.

Les profs bien intentionnés peuvent se faire des illusions autant qu'ils le veulent, ils sont les dindons la farce autant que les nouveaux adultes qui passent sur la chaîne de composition. Non, les étudiants ne sont pas les bienvenus. Les étudiants font chier. Ils ont des problèmes, posent des questions, ont besoin de cours, cherchent à savoir qui ils sont, ce qu'ils veulent pour eux même et la société, bref, c'est des emmerdeurs. Il faut leur donner cours, et certains enseignants chercheurs détestent ne serait-ce que l'idée, il faut aménager les épreuves pour les handicaps, et ça, c'est chiant, parce que les moyens ne suivent pas, ils sont de plus en plus nombreux, et là encore, les moyens ne suivent pas. Encore une fois, le problème de l'Université, ça semble être les étudiants. Une université sans étudiants, ça marcherait très bien, je finis pas penser. Mais ça aurait encore moins de sens que maintenant, peut-être, non ?

Et après, il y a des politiques qui s'étonnent que les gens gueulent confusément et ne fassent pas confiance. Mais vraiment, quand je tombe sur des écarts aussi ahurissants entre les discours et la pratique, j'ai juste envie de demander "Où est le traître ?" et de le ramener de Varennes pour le fusiller du regard, avant de peut-être le fusiller, littéralement. Et vue l'ambiance dans ce pays je doute d'être le seul. J'ai même plutôt l'impression d'être un un retardataire qui rejoint le club.

[Fluxus]

IFBEOXBE9ENE9FBZPWNZPAWNOZNDOZBF9ZBWAONDODNE9FBR9EBE92UF7382736302J20ZU492U3U3IEBFOENFOENDOENZ9XJEIFHB3OSN2PZNDMZ


Sans prendre en compte les coefficients, ma conservation des notes de l'ancienne filière sur la nouvelle me fait partir à 16.8 de moyenne générale (Un 19/20, un 15,4/20 et un 16/20) sur le semestre.

Ça veut dire que je dois ABSOLUMENT gérer un maximum de modules aux rattrapages (sachant que je repasse toutes les autres matières vu que pas pu me présenter à la session d'exams) pour avoir la meilleure moyenne possible.

J'ai envie de me foutre des gifles parce que ma mémoire exceptionnelle ne veut pas remplir son rôle alors que pour le coup, ça peut être crucial pour moi là...

J'ai la pression comme pas possible sans avoir la pression...

J'ai fait une liste de mes idées de projets professionnels en détails dans un carnet pour me rappeler pourquoi est-ce que je fais ça et j'ai la motivation, y a aucun souci...

Mais la procrastination et la flemme sont vraiment compliquées à vaincre...

J'ai envie de me filer un dernier coup de pied au cul, juste parce que c'est les rattrapages et que c'est ma dernière chance de l'année et que j'ai pas d'autres choix que de valider...

EDIT : En sachant que j'ai déjà un semestre de validé...

EDIT2 : Franchement, si je valide, vu comment l'année a été horrible et merdique, je veux une médaille... Sans parler de l'attente interminable du SAMSAH...

EDIT3 : C'est plus dur de réussir quand on n'a plus rien à prouver, ni à soi-même, ni à personne... Avant, mon moteur, c'était juste basé sur donner tort aux gens qui voulaient que j'échoue là où ils ont échoué parce qu'ils n'auraient pas supporté de me voir réussir. Maintenant, je fais tout pour moi et que dans mon propre intérêt mais je sais que je n'ai plus rien à me prouver à moi-même... Juste à valider pour pouvoir passer à la suite et atteindre mes objectifs...

[Fluxus]

Autosabotage is my friend.

L'objectif c'est pas niquer la flemme et la procrastination, c'est lutter contre l'autosabotage, lol.

[Comte_Pseudonyme]

La sabotage, en soit, suppose une intention maléfique, une opposition. Pourquoi te saboter ?

Être paralysé par l'anxiété / la procrastination n'est, pour moi, pas nécessairement de l'auto-sabotage. Faudrait commencer par définir les termes, toussa.

Soit dit en passant, on a rarement ce que l'on mérite. Et là encore, il faut commencer par savoir ce qu'est le mérite. Très franchement, je ne sais pas.

[Fluxus]

Quand on lâche tous ses engagements à la dernière seconde, au dernier moment parce qu'on a peur de se voir réussir, je pense que c'est plus de l'auto-sabotage que de la paralysie.

Là, je suis en train de tenter de casser le cercle vicieux dans lequel je suis depuis 5 ans, à savoir, depuis le début de mes études sup'. J'ai presque pris un plaisir à me voir dans l'échec, d'abord pour dédramatiser parce que les premiers échecs étaient trop durs à encaisser quand on a baigné dans la réussite et l'excellence par le passé, ensuite, juste parce que c'est confortable et que quand on se dit qu'on est nul, de toutes façons, on a rien à justifier. J'ai tenté de contrebalancer pendant des années le total côté d'el famoso "haut potentiel", tout en essayant de me défaire de toutes ces idées d'excellence et d'élitisme.

Une façon de lutter contre la pression du "Je dois réussir à tout prix".

Mais maintenant, je commence à en avoir marre parce que je perds du temps.

En fin de compte, c'est un mélange de tout parce qu'après, c'est très multifactoriel. Je n'exclue pas que mes problèmes de fonctions exécutives, d'organisation, de planification, mon trouble dys et tout pleins d'autres choses, comme le fait de partir avec des facilités ou difficultés dans un domaine, jouent...

Mais le pire, c'est quand on sait qu'on peut tout réussir et qu'en quelques secondes, l'esprit s'emballe pour se laisser aller au "Tout est acquis" et sombre dans l'ennui jusqu'à détruire toute motivation. Ou quand on est proche du truc et qu'on se dit "Mais non, c'est pas possible que je sois aussi près du but" et qu'on nique tout à la dernière minute.

[Comte_Pseudonyme]

Quand on lâche tous ses engagements à la dernière seconde, au dernier moment parce qu'on a peur de se voir réussir, je pense que c'est plus de l'auto-sabotage que de la paralysie.

Ou de la panique ? Je ne sais pas hein, je demande.
Je ne suis pas fichu de savoir ce qu'il en est pour ce qui me concerne, donc pour savoir pour quelqu'un d'autre, encore moins.

Bon courage.

[Fluxus]

J'avoue ne pas avoir envie de trop réfléchir sur la question, j'ai pas envie de rentrer dans des émotions négatives... Je veux juste casser la chaîne...

[Fluxus]

Puis partir avec quasiment 17 de moyenne G, c'est non négligeable...

[Bubu]

Je suis dans le désespoir le plus total.
Malgré mon traitement, je me suis enfermé dans l'alcool. Au point où s'en est devenu morbide.
Le matin j'ai des vomissements par manque, donc dès 7h30, il me faut ma dose.
Je n'ai plus d'objectifs dans la vie.
J'en suis à me dire que je souhaite mourir vite.

[MlleHulotte]

Oh zut Bubu
J'aimerais trouver les mots justes pour te témoigner mon soutien inconditionnel

[Comte_Pseudonyme]

Je n'ai plus d'objectifs dans la vie.

C'était quoi tes objectifs avant ? Qu'est-ce qui a changé ?