[Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

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Woody
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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par Woody »

Le GIEC peut toujours sortir des rapports, ça ne refroidira pas tout le monde.
https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/bord ... 92382.html
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freeshost
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Message par freeshost »

«Skischam»: le ski, ce plaisir «coupable»
Camille Belsoeur

Publié lundi 11 avril 2022 à 18:18
Modifié lundi 11 avril 2022 à 20:22

Ce mot né en Autriche cet hiver désigne des personnes qui renoncent à la pratique de ce sport pour diminuer leur empreinte carbone. Un comportement que l’on retrouve aussi en Suisse. Des jeunes confient leur dilemme.

Il y avait déjà le flygskam suédois, ce sentiment de culpabilité qu’on éprouve lorsqu’on prend un avion pour partir en vacances. Née en Scandinavie, cette disposition touche aujourd’hui un pan minoritaire, mais bien réel, de la jeunesse européenne qui préfère réduire son empreinte carbone plutôt que de rejoindre Ibiza ou Londres pour un week-end avec un vol low cost.

Dans les Alpes autrichiennes, c’est le même genre de mot-valise qui a émergé cet hiver. Le skischam signifie littéralement la «honte» de faire du ski. C’est le très sérieux journal autrichien Die Presse, qui, dans un éditorial de février, rapporte que certains Autrichiens commencent à éprouver un sentiment coupable à l’idée de descendre des pistes bien damées spatules aux pieds. En cause? L’empreinte carbone de cette activité. Qui se matérialise par les longs trajets en voiture pour rejoindre les stations d’altitude (selon plusieurs études, les transports représentent environ 60% des émissions de carbone des stations) et l’impact sur la biodiversité imputable aux hordes de skieurs et à la neige artificielle.

La dernière sortie, fatale

«Il est paradoxal que ce soit en Autriche que naisse ce mouvement. Comme la Suisse, le pays est un des fleurons du ski alpin en Europe. Les domaines ont d’ailleurs enregistré une forte fréquentation cet hiver», note Christophe Clivaz. Le député écologiste du Valais au Conseil national rappelle que ce n’est pas le ski en soi qui est mauvais pour le climat. «Quand les domaines de ski alpin font leur bilan carbone, c’est largement le trajet des personnes qui viennent en station qui pèse sur l’empreinte carbone.»

Celui qui est aussi professeur à l’Institut de géographie et durabilité à l’Université de Lausanne, site de Sion, dit ne pas avoir eu connaissance de Suisses qui auraient rangé leurs skis au placard pour protéger l’environnement. Pourtant, ils existent.

Nadia, âgée de 26 ans et étudiante à Neuchâtel, ne pratique plus le ski alpin par militantisme écologique. «J’ai arrêté d’aller au ski à 22 ans. Cela faisait déjà un moment que j’y pensais. J’y allais beaucoup, mais je n’étais pas à l’aise. La dernière fois que je suis allée en station, les conditions étaient horribles, avec de la terre à côté de la piste. Skier sur de la neige de culture me dérangeait. Je suis fan de glisse, mais c’est l’aspect écologique qui m’a fait arrêter», raconte la jeune femme, qui suit un master de biologie et agriculture durable.

Aucun regret

Pour Jo, 23 ans, le cheminement intellectuel est similaire. Avec sa sœur et ses parents, elle a toujours emprunté les transports en commun pour aller faire du snowboard en station ou dans des espaces vierges de constructions humaines. Mais à la sortie de l’adolescence, elle a commencé à culpabiliser en réalisant l’impact sur la biodiversité de ses sorties en snowboard dans la poudreuse fraîche en forêt. «Les effets négatifs du ski pour l’environnement, ce n’est pas que l’empreinte carbone du voyage pour s’y rendre. Ce sont aussi les animaux que les gens dérangent à ski de randonnée ou la flore qui est détruite pour construire une piste de ski.»

Son snowboard prend la poussière dans la maison familiale à Yverdon. Mais elle ne regrette pas son choix d’avoir stoppé les excursions de sports d’hiver. «Si nous allons tous en montagne, ce n’est pas soutenable pour l’environnement», estime la jeune fille. Elle dit que sa sœur skie toujours, mais se pose de plus en plus de questions.

«Ils n’osent plus me dire qu’ils vont au ski»

Pour Audrey Bovey, membre du bureau suisse de l’ONG américaine Protect Our Winters (POW), la culpabilisation de la pratique d’une activité à cause de son empreinte écologique n’est pas un bon argument pour entraîner un nombre significatif de gens à changer leur comportement.

«Chez POW, nous avons une approche positive. On ne va pas dire à quelqu’un que skier, c’est mal pour le climat. L’inefficacité de cette méthode a été prouvée. On va plutôt mettre l’accent sur les façons dont les gens peuvent changer leur mobilité pour venir à la montagne», juge Audrey Bovey. Nadia elle-même reconnaît qu’elle ne débat plus avec ses proches de leur pratique du ski alpin. «Ma famille et mes amis ne me proposent plus d’aller skier avec eux. J’ai l’impression qu’ils culpabilisent. Quand je sais qu’ils y vont, je leur en parle pour essayer de les convaincre», raconte la jeune femme.

POW encourage donc les amoureux de la glisse à emprunter les transports en commun. En Suisse, de nombreuses stations sont desservies par le train, comme à Verbier. Mais quand le rail existe, il ne rencontre pas toujours son public. «Avec le Magic Pass, il y avait cet hiver une offre pour relier les principales villes aux stations en train ou en bus plutôt qu’en voiture individuelle. Mais ces offres n’ont pas très bien fonctionné», soupire Christophe Clivaz.

Le défi de la durabilité

L’élu valaisan adore la pratique du ski de piste. Il l’assume pleinement. Mais il se remémore la réaction d’une personne qui l’avait reconnu dans la cabine d’une remontée mécanique. «C’était il y a un peu plus de deux ans, avant l’épidémie de Covid-19. J’avais enlevé mon casque et mes lunettes de soleil, et là une dame m’a reconnu. Elle m’a alors apostrophé en me disant: «Monsieur Clivaz, vous êtes un écologiste, vous n’avez pas le droit de faire du ski!» Il en rigole encore, mais n’apprécie qu’à moitié que les Verts puissent être associés – à tort – à une quelconque interdiction du ski.

Le skischam rencontre t-il aussi un écho chez les professionnels? Le skieur valaisan Daniel Yule, vainqueur de quatre slaloms en Coupe du monde et qui a plusieurs fois pris la parole pour défendre une industrie du ski plus durable, estime que la question principale est: «Comment réduire cette empreinte carbone en maintenant le plaisir du ski?» «Je pense que dans le transport, l’énergie qui alimente les remontées mécaniques et les systèmes d’enneigement, la marge d’amélioration est importante», souligne-t-il. Un grand défi pour les stations, déjà mises à mal par un enneigement déclinant, si elles ne veulent pas renoncer à une partie de leur clientèle.
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Tugdual
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Message par Tugdual »

GIEC - pour s’attaquer au climat :
Extrait :
Le rôle de cette industrie est souligné à travers les 3000 pages du dernier volume, mais les chercheurs notent qu’il est mystérieusement absent du « Résumé pour les décideurs » —traditionnellement la partie du rapport qui attire le plus l’attention des médias. Une version préliminaire du Résumé obtenue par The Guardian toutefois, décrivait l’industrie des carburants fossiles et les autres acteurs investis dans une économie à haute teneur en carbone, comme ayant un grand intérêt à travailler activement contre les politiques climatiques: « des facteurs limitant les transformations incluent des barrières structurelles, un manque de coordination, de l’inertie, un manque de capacités technologiques et de ressources humaines ».

[...]

« Dans les années 1980, nous croyions au modèle du déficit d’information », à savoir que « si nous pouvions amener plus d’informations aux décideurs », ils prendraient les bonnes décisions, résume l’expert en sciences de l’atmosphère Ken Caldeira. « À présent, nous voyons que ce n’est pas un déficit d’information, c’est une question de relations de pouvoir, et de gens qui veulent garder un pouvoir économique et politique. »

Ça ne signifie pas qu’il ne faut pas davantage de modèles de l’atmosphère ou une meilleure compréhension des différents aspects des sciences du climat. Mais ce que ce dernier rapport du GIEC démontre, c’est qu’agir sur le climat n’est pas limité par un manque de connaissances scientifiques ou d’options technologiques, mais par des structures de pouvoir bien enracinées et par une absence de volonté politique. Pour s’attaquer efficacement à cela, et agir à temps pour éviter les pires impacts du réchauffement, il va falloir plus que des modèles climatiques.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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freeshost
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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par freeshost »

Connaissiez-vous l'approche OneHealth (Une seule santé) ?

- Fr.Wikipedia.Org ;
- StAR.Admin.Ch ;
- WHO.Int/Fr ;
- ANSES.Fr ;
- etc.
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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par Tugdual »

Objectif ZAN :
Extrait :
Pourtant, le ZAN semble à première vue une avancée majeure dans la prise en compte des enjeux écologiques dans l’aménagement des territoires. En effet, la perte et la fragmentation des habitats naturels sont désormais reconnues comme le principal facteur de l’effondrement de la biodiversité. L’étalement urbain et l’intensification des usages des sols ont en outre des effets négatifs en termes climatique, social et économique.

En France, ce sont entre 20 et 30 000 hectares d’espaces naturels, agricoles et forestiers (ENAF) qui disparaissent chaque année en raison de l’étalement urbain, y compris dans les zones en décroissance démographique. Si l’on considère plus largement l’ensemble de l’occupation intensive de l’espace par des activités humaines, c’est près de 47 % du territoire national qui peut être considéré comme anthropisé.

[...]

La méthode de calcul de l’artificialisation est un enjeu crucial, car il détermine le niveau d’ambition de la politique. Justement, le projet de décret relatif à cette nomenclature a été soumis à consultation du public en mars 2022.

[...]

Ce système de suivi de l’occupation du sol permet de distinguer 14 types de couvertures (des zones imperméables bâties aux formations arborées de feuillus) et 17 catégories d’usage des sols (par exemple des usages agricoles, routiers ou de service logistique). Le choix de classer les catégories en « artificiel » ou « non artificiel » est ensuite le fruit du croisement entre la couche de couverture et celle des usages… mais aussi de négociations politiques.

[...]

Si la simplicité d’une approche binaire et surfacique a ses vertus, elle se heurte à un écueil majeur : la biodiversité est un objet complexe. Alors que l’objectif du ZAN vise à enrayer son effondrement, une mise en garde s’impose : à trop simplifier, on peut atteindre le ZAN sur le plan comptable en oubliant, de nouveau, de préserver les espaces favorables au vivant.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par PetitNuage »

Biocarburants, biogaz : A découvrir sur France TV:
Hugo Clément dévoile la face cachée de la filière industrielle du biocarburant et du biogaz. Il rencontre des combattants qui se mobilisent partout en France pour davantage de régulation et pour que les méthaniseurs soient alimentés uniquement avec des déchets, et non plus avec des céréales spécialement cultivées ou des denrées consommables.

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Message par PetitNuage »

La guerre de l'eau en France

Présentation sur le site de France TV:
Au cours de l'été 2021, un tiers des départements français ont dû imposer des restrictions de l'usage de l'eau. Le pays connaît ses premiers conflits occasionnés par la raréfaction de cette précieuse ressource. Certains, telle la chercheuse Emma Haziza, tentent de trouver des solutions pour préserver les ressources en eau.

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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par Tugdual »

N'en déplaise à Thanos, supprimer la moitié de l'humanité :
Extrait :
À court terme, peut-on lire dans le livre d'Emmanuel Pont, «la courbe de la pollution suit celle de la population de manière à peu près proportionnelle». Sur un temps plus long et sur d'autres critères, il est nettement plus difficile de se projeter et de quantifier les choses. «Prenons l'exemple des combustibles fossiles. Le réchauffement est dû aux émissions cumulées. Par conséquent, si on en émet deux fois moins mais qu'on en extrait autant, à la fin il y aura la même quantité dans l'atmosphère. Cela arrivera juste plus tard. On n'aura pas changé le résultat, il aura juste été repoussé.»

[...]

L'auteur de Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète? émet trois types de réserves face à cette équation IPAT si souvent utilisée comme référence. «La première, c'est l'échelle à laquelle on l'applique. Plus on l'utilise à une échelle large, plus on mélange des situations qui n'ont rien à voir. Dès qu'on l'applique à la population mondiale, on met ensemble des gens qui ont jusqu'à 10.000 fois moins d'impact que leur voisin.»

[...]

Quant au changement climatique, il ne jouera pas les Thanos de sitôt. «On est vraiment très loin du moment où des milliards de personnes vont mourir à cause du réchauffement climatique, assure Emmanuel Pont. D'après la trajectoire actuelle, la planète va plafonner à 3 degrés Celsius de réchauffement, et pas 5 ou 6 comme on a pu le dire. Il pourrait y avoir quelques millions de morts par an, quelques dizaines de millions dans l'hypothèse la plus pessimiste à craindre.»
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Si ce scénario est quand même catastrophique sur de nombreux plans, il ne suffira pas à tuer des milliards de personnes à lui seul. «Si c'est le cas, ce sera par des phénomènes politiques comme une troisième guerre mondiale», avance-t-il. De quoi repenser au titre du livre et se demander sérieusement si l'époque est bien choisie pour se reproduire. Emmanuel Pont invite en tout cas son lectorat à refuser la fatalité et à prendre conscience que, sur tous les plans, l'humanité a les cartes en mains.
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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par lucius »



Je sors cette vidéo car je viens de discuter avec quelqu'un qui reçoit des leçons de son fils de 14 ans pour sauver la planète, pour se plaindre de l'état du au monde qui lui laisse.

Son fils se plaint que son père a un SUV. En réalité c'est un Break mais le fils l'a proclamé comme un SUV.

Il veut s'acheter des YEEZY SLIDE comme un camarade de classe.

Mais son père rigole surtout car le fiston veut une PS5 et un smartphone.

La prochaine fois que son fils parle de l'état du monde, le papa va lui montrer la vidéo (ou une autre du même genre) pour lui dire qu'il ne veut pas lui offrir cela. Sa justification sera de ne pas plus polluer le monde car la PS5 est un problème environnemental.
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par Tugdual »

Vidéo intéressante pour les consommations électriques des jeux.

Un bémol quant à la conversion en production de CO2, car cela n'a pas de sens sans préciser le mode de production de l'électricité.
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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par freeshost »

C'est une des raisons pour lesquelles je n'accorde que peu d'importance aux jeux audiovisuels.

Le réchauffement climatique me fait même remettre en question l'usage de la vidéo (surtout en lecture en ligne).
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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par Tugdual »

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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par PetitNuage »

freeshost a écrit : mercredi 18 mai 2022 à 22:42 Le réchauffement climatique me fait même remettre en question l'usage de la vidéo (surtout en lecture en ligne).
Je suis comme toi. Je passe beaucoup de temps en ligne et voudrais limiter ma consommation d'internet.
Spoiler : 
Je me rassure en me disant que le forum, Duolingo, Cemantix, Wordle ... ne sont pas les plus consommateurs de ressources.

Je ne poste pas de vidéo sur les réseaux sociaux (en dehors de mon montage de voeux)

J'essaie de supprimer chaque jour les publications que Facebook me rappelle des années passées.

J'enregistre en format audio les vidéos pour lesquelles l'image n'est pas nécessaire pour pouvoir les réécouter sans me reconnecter. (ex témoignages sur l'autisme ...)

Je compresse les photos que je partage et me limite en quantité.

Je regarde la télé par la TNT et non par la box sauf rares exceptions lorsque j'ai raté quelque chose que je voulais vraiment voir.

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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par Tree »

Marc Fesneau, nouveau Ministre de l'agriculture, est totalement anti-écologie et est pro-pesticides.
Son ancienne cheffe de cabinet vient d'entrer chez... le lobby des pesticides et aura donc pour principal interlocuteur... Marc Fesneau lui-même.

Qui croit encore à l'esprit écolo du Nouveau Président ?

Ecoeurant...
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Re: [Index Écologie] Pour parler écologie, environnement...

Message par PetitNuage »

Sur le site de neozone des tiny houses imprimées en 3D, des infos sur le "regrowing" (faire pousser des légumes à partir de leurs déchets et plein de pistes prometteuses pour l'avenir.
NeozOne est le site de référence sur l’actualité des nouvelles technologies, des inventions et des innovations.

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