Je peux inviter tout asperansa.org
En lait, je n'ai plus que 200 litres de lait.
Pour chaque lot, j'ai payé moins de la moitié du prix.
Je ne peux faire cela que 2 fois dans l'année en calculant bien.
On s'amuse comme on peut.



"autisme ou surdoué", c'est un diagnostic de feignant : "autiste et surdoué", c'est possible - mais pas fréquent, mais s'il y a un doute, il faut bien déterminer ce que c'est pour déterminer ce qu'il faut apporter.alexis a écrit : l'approche surdouée est moins défaitiste que celle de l'autisme. D'un côté on me pousse à avancer à tanter quitte à tomber puis recommencer (pareil que pour apprendre à faire du vélo). De l'autre j'entend parler d'impossibilité, de statut choisi d' handicapé, d'aide pour rester en statut d'échec.(...)Des parents recoivent de temps en temps le double diagnostic "autisme ou surdoué". Ces derniers disent que l'autisme leur apporte des aides médicales et un soutien financier que n'ont pas les surdoués (dont certains ont des problèmes proches)
Pour moi, l'autisme n'est pas une maladie, mais un handicap : mais l'essentiel est bien le "regard des autres", la différence de fonctionnement social : plus qu'un regard quand même, un comportement. "Rien à se reprocher", bien sûr, il ne faut pas porter l'évaluation sur le plan moral. Une personne avec autisme sait aussi choisir : mais certains choix sont plus difficiles à assumer.L'autisme me semble être une maladie liée au regard des autres à ce qu'il ne comprennent pas et percoivent comme anormal. C'est ce regard et ce comportement des autres qui font qu'une personne est dite autiste plus que son comportement à elle qui n'a rien à se reprocher.
Contente de te revoir Alexis, d'ailleurs je n'ai pas aimé Ben X non plus. Je reviens à ta phrase citée ci-dessus. Je constate que dans les deux cas les personnes concernées ont besoin d'une aide plus ou moins longue. Dans le cas des Asperger, je ne pense pas du tout qu'il s'agisse d'une aide pour rester en échec mais au contraire, pour ne pas le rester.Moi je vois surtout que l'approche surdouée est moins défaitiste que celle de l'autisme. D'un côté on me pousse à avancer à tanter quitte à tomber puis recommencer (pareil que pour apprendre à faire du vélo). De l'autre j'entend parler d'impossibilité, de statut choisi d' handicapé, d'aide pour rester en statut d'échec.
Ta conclusion ne dit pas autre chose. Bravo et bonne continuationJe ne sais pas si je suis autiste, mais je sais qu'il est possible d'avoir un beau métier et une vie affective quand on ne mange que des nouilles tous les jours.
Bien sûr, je ne suis pas médecin, et mon regard n'est que celui d'une mère d'autiste, mais je pense malgré tout que l'autisme ne se résume pas au regard des autres... Si ce n'était que ça, il y aurait belle lurette que Florent et moi aurions appris à vivre sans se préoccuper du regard des autres...alexis a écrit : L'autisme me semble être une maladie liée au regard des autres à ce qu'il ne comprennent pas et percoivent comme anormal. C'est ce regard et ce comportement des autres qui font qu'une personne est dite autiste plus que son comportement à elle qui n'a rien à se reprocher.