[Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
RGPD - La Cnil interdit à un site web :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
Le projet de loi EARN IT progresse au Sénat américain :
Extrait :
Extrait :
La commission judiciaire du Sénat américain a voté pour faire avancer le très controversé projet de loi EARN IT portant sur la manière dont les plateformes en ligne et les sites Web traitent les contenus relatifs aux abus sexuels sur les enfants. Le panel a voté en faveur de la législation, malgré les vives objections des groupes de défense des droits civiques qui affirment que la proposition telle qu'elle est rédigée nuira à tous les utilisateurs d'Internet. Ils craignent que EARN IT force les sociétés Internet à renoncer au chiffrement et permette au gouvernement d'analyser tous les messages, photos et fichiers des utilisateurs.
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
« La CIA dispose d'un programme secret de collecte des données des Américains » :
Extrait :
Extrait :
La CIA dispose d'une base de données secrète et non divulguée d'informations recueillies sur des Américains, d'après deux démocrates de la commission sénatoriale du renseignement. Bien que ni l'agence ni les législateurs n'aient voulu divulguer de détails sur ces données, les sénateurs affirment que la CIA avait longtemps caché les détails du programme au public et au Congrès. Le fait pour la CIA d'être en principe une agence de renseignement extérieur est le détail le plus sujet à controverse. À l’échelle globale, le tableau remet sur la table la question de l’étendue de la surveillance dont les populations font l’objet de la part des services de renseignements de leurs pays respectifs.
[...]
la CIA pour sa part déclare que le programme mis en évidence par les sénateurs est « une base de données d'informations sur les activités des gouvernements étrangers et des ressortissants étrangers.
[...]
Ces révélations font suite à celle d’Edward Snowden qui avait révélé au grand jour le fait que la NSA avait accès à des données en vrac par l'intermédiaire de sociétés Internet américaines et à des centaines de millions d'enregistrements d'appels provenant de fournisseurs de télécommunications. Ces révélations ont suscité une controverse mondiale et une nouvelle législation au Congrès américain.
La France en reste ? Le pays est dans le viseur de tiers qui pensent qu’il disposerait, tout comme les USA avec le projet PRISM, d’un vaste programme d’espionnage à grande échelle des télécommunications. Les outils et technologies mis en place par la DGSE permettraient d’espionner la totalité des communications sur le territoire français. Des relevés téléphoniques de millions d’abonnés, des SMS, fax, courriels, activité sur Internet (Facebook, Google, Microsoft, Yahoo!, etc.) seraient stockés pendant des années. Un système d’espionnage discret, en marge de la légalité et hors de tout contrôle, connu par les politiques et encouragé par les parlementaires qui proposent de « renforcer les capacités exploitées par la DGSE ». L’information a fait surface en 2013 via Le Monde qui ajoutait à l’époque que les autres services de renseignement français peuvent puiser dans ces informations compressées et stockées sur un supercalculateur à Paris, dans les sous-sols du siège de la DGSE, et peuvent espionner « n’importe qui et n’importe quand ».
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
Emmanuel Macron :
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Infomaniak, le développeur cloud leader de Suisse, lance une alternative indépendante aux géants du Web en Europe avec 35 Go gratuit.
Lire aussi ici.12 février 2022
Infomaniak lance un écosystème sans publicités et respectueux de la vie privée pour stocker ses documents, ses photos et gérer ses emails, rendez-vous et vidéoconférences dans un cloud souverain qui est développé et hébergé exclusivement au cœur de l’Europe. Disponible à l’adresse Etik.com, ce service inclut 15 Go pour stocker, partager et collaborer en ligne et 20 Go pour son adresse électronique. Active depuis plus de 25 ans, l’entreprise affiche une croissance de son chiffre d’affaires de 32.35% en Europe. Elle est soumise au RGPD, utilise exclusivement de l’énergie renouvelable, compense ses émissions de CO2 à double et s’engage à ne pas intégrer de la publicité ou d’analyser les données des utilisateurs.
Un service de stockage souverain avec 15 Go de stockage et une adresse email de 20 Go
Un an après avoir lancé son adresse email gratuite avec 3 Go de stockage kDrive, Infomaniak élève l’espace dédié aux fichiers à 15 Go alors que les thématiques de la souveraineté des données et du respect de la vie privée sont au cœur de l’actualité.
Cette offre inclut un service de stockage collaboratif qui permet d’éditer des documents Word, Excel et PowerPoint en ligne, une solution de vidéoconférence illimitée, une messagerie électronique complète avec la synchronisation des contacts et des rendez-vous ainsi qu’un service de transfert qui permet d’envoyer jusqu’à 50 Go. Des assistants accompagnent les utilisateurs pour configurer ces services sur leurs appareils et importer leurs données depuis la majorité des messageries et cloud du marché (Gmail, Outlook, Yahoo Mail et Dropbox, Google Drive, Microsoft One Drive, NextCloud, etc.).
Pour garantir un niveau de sécurité maximale, les données sont répliquées en permanence sur trois supports répartis dans deux centres de données d’Infomaniak, et un système de versionnage permet de récupérer une ancienne version d’un fichier stocké dans le cloud en cas de besoin.
Hébergée dans des centres de données en Suisse et développée par Infomaniak, cette alternative à la version gratuite de Gmail/Google Drive et Microsoft Outlook/OneDrive offre au total 35 Go aux particuliers pour confier leurs données auprès d’une entreprise engagée depuis plus de 25 ans pour l’écologie, l’économie régionale et un Internet qui respecte la vie privée et les données des utilisateurs.
Une interface en ligne attractive avec des applications mobiles qui évoluent en permanence
Pour créer un compte, il suffit de se rendre à l’adresse https ://etik.com et de renseigner son prénom, son nom, un numéro de téléphone mobile et de choisir son adresse mail @ik.me, @etik.com ou @ikmail.com.
L’utilisateur arrive ensuite sur l’interface mail.infomaniak.com qui permet de gérer sa messagerie, ses contacts et ses rendez-vous. En haut à droite, il est possible de lancer un assistant pour synchroniser sa messagerie sur ses appareils et d’accéder à tout l’écosystème d’Infomaniak, dont la solution de vidéoconférence kMeet et le service de stockage kDrive.
Arrivé sur kdrive.infomaniak.com, il est possible de télécharger l’application pour synchroniser les dossiers de son choix ou uniquement les fichiers courants (synchronisation à la demande « Lite Sync »), ce qui permet de stocker d’énorme quantité de données dans le cloud sans surcharger l’espace de stockage de ses postes Windows, macOS ou Linux. Sur mobile, l’app kDrive permet d’accéder à ses données en déplacement et de sauvegarder automatiquement ses photos pour pouvoir les partager facilement avec des contacts, même s’ils n’ont pas de compte Infomaniak. Une app Mail dédiée est en développement et sera lancée cette année.
Un écosystème souverain qui respecte la vie privée et l’écologie
« Nous avons décidé d’ouvrir notre écosystème à tous les étudiant(e)s et les particuliers qui souhaitent confier leurs données à une entreprise indépendante, non cotée en bourse et qui crée de l’emploi dans la région et développe un savoir-faire au niveau local sans faire de compromis sur l’écologie » explique Boris Siegenthaler, fondateur et directeur stratégique d’Infomaniak.
« Grâce à la confiance d’un nombre croissant d’entreprises et de professionnels, Infomaniak est passé de 43 à 185 employés entre 2015 et fin 2021. Nous avons aujourd’hui les capacités d’offrir des alternatives puissantes et indépendantes aux géants du Web qui s’améliorent de mois en mois en fonction de notre feuille de route et des retours de nos utilisateurs » ajoute Marc Oehler, CEO.
« Le but, on ne le cache pas, c’est de faire rayonner notre image de marque et nos engagements. Notre problématique, c’est que nous devons avoir une taille critique pour accélérer le développement de nos propres technologies pour garantir à nos clients que leurs données sont traitées par des logiciels qui respectent la vie privée et dont le for juridique est basé en Suisse dans le respect du RGPD » clarifie Thomas Jacobsen, directeur de la communication.
Infomaniak, acteur cloud indépendant et engagé depuis plus de 25 ans
Infomaniak est un acteur incontournable du cloud en Europe et le développeur leader de technologies d’hébergement Web en Suisse. L’entreprise emploie 185 personnes en Suisse, dont plus de 50% proviennent de filières de formation européenne. La société appartient exclusivement à ses employés et se démarque par son engagement écologique ambitieux. Infomaniak utilise uniquement de l’électricité renouvelable, compense à 200% la totalité de ses émissions de CO2 via myclimate.org et prolonge la durée de vie de ses serveurs jusqu’à 15 ans. Le futur datacenter d’Infomaniak revalorisera intégralement la chaleur dégagée par les serveurs pour chauffer des habitations en hiver et produire de l’eau chaude sanitaire en été, et Infomaniak commencera à déployer dès cette année une première centrale solaire d’une capacité de 600 kW crête sur l’un de ses datacenters.
En tant que registraire accrédité par l’ICANN, les solutions d’Infomaniak sont utilisées par des millions d’utilisateurs. L’entreprise propulse notamment le site de la RTBF et le streaming de plus de 170 radios et TV en Europe. Forte de son expertise et de son indépendance technologique, elle souhaite être une alternative européenne indépendante aux géants du Web.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
La Californie propose un projet de loi :
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
Clearview AI voudrait mettre presque tous les humains :
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
L'Assemblée nationale adopte une loi de retrait en 1 h :
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
Le FBI obtient l'accès aux données du compte Google :
Extrait :
La fondatrice de Sci-Hub, Alexandra Elbakyan, a déclaré qu'à la suite d'une procédure judiciaire, le Federal Bureau of Investigations avait eu accès aux données de son compte Google. Google lui-même l'a informée de la publication des données cette semaine, notant qu'en raison d'une ordonnance du tribunal, l'entreprise n'était pas autorisée à l'informer plus tôt.
[...]
Les comptes Apple et Google d'Elbakyan ont été compromis
En tant que leader mondial de la distribution gratuite de millions d'articles de recherche souvent payants, Sci-Hub est souvent décrit comme « The Pirate Bay of Science ».
Alors que ce statut réchauffe le cœur de nombreux chercheurs, universitaires et étudiants du monde entier, en particulier ceux qui disposent de ressources limitées pour accéder à l'éducation, Sci-Hub a également accumulé de nombreux ennemis de grande puissance.
Celles-ci ne se limitent pas aux grandes maisons d'édition en colère contre la distribution gratuite de leur contenu. La fondatrice Alexandra Elbakyan est également une personne d'intérêt pour des éléments des services de renseignement et de sécurité du gouvernement américain, qui semblent mener une enquête sur elle.
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
Noyb poursuit sa chasse :
Extrait :
Extrait :
Noyb vient de lancer 270 nouveaux projets de plaintes à l'encontre de sites web dont les bannières cookies ne sont pas conformes au RGPD. Cette initiative fait suite à une première vague d'action, en mai 2021, lorsque l'association avait adressé des projets de plainte à plus de 500 sites web et services, les enjoignant à se mettre en conformité avec la législation en matière de cookies.
Le RGPD dit que le retrait du consentement doit être aussi facile que son obtention. Or, les fenêtres de consentement ne proposent pas toujours de choix clair, et de nombreux éditeurs sont tentés par des modèles de "dark-pattern", observe l'association dans un communiqué.
Si dans un délai de 60 jours, les sites web ne corrigent pas leurs bannières de cookies, alors Noyb déposera des plaintes officiellement aurès des autorités de contrôle. Les éditeurs en faute risquent des amendes pouvant atteindre 20 millions d'euros en vertu du RGPD.
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
Le bannissement numérique de RT et Sputnik :
Extrait :
Extrait :
Si le premier volet des sanctions contre ces deux organes d’influence s’avère classique, car il est exigé des moteurs de recherche qu’ils retirent de leurs résultats tous les liens directs à RT et Sputnik, lorsque les requêtes émanent du territoire de l’Union européenne, le second est beaucoup plus inattendu. Et c’est lui qui soulève le plus de préoccupation.
Ainsi, il est spécifié « qu’en vertu du règlement, les fournisseurs de services de recherche sur Internet doivent veiller à ce que […] tout contenu de RT et Sputnik, y compris les courtes descriptions textuelles, les éléments visuels et les liens vers les sites Internet correspondants, n’apparaisse pas dans les résultats de recherche fournis aux utilisateurs situés dans l’UE. »
[...]
Or, cet élargissement du bannissement à des ressources tierces, au-delà des sites spécifiques à RT et Sputnik, fait craindre une sur-censure, y compris pour des pages qui pourraient avoir un discours critique, une mise en perspective ou une analyse distanciée de ces deux organes. En clair, on pourrait craindre des effets de bord sur des sites de médias ou sur Wikipédia.
[...]
Il y a vrai risque juridique avec la stratégie de Bruxelles. Mais il y a aussi un risque symbolique et stratégique, que résume bien TJ McIntyre : « Je ne vais pas verser une larme pour les méprisables RT et Sputnik, mais l’Union européenne ne doit pas elle-même saper l’État de droit, notamment parce qu’une victoire au Tribunal donnerait à la Russie une précieuse victoire de propagande… »
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
L'Italie inflige une amende de 20 millions d'euros :
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
La Chine implémente une loi qui interdit les algorithmes :
Extrait :
Extrait :
La Chine est connue pour son envie de contrôler et de filtrer toutes les données transitant par le cyberespace national, comme en témoignent les projets tels que le grand pare-feu de Chine. Ces dernières années, le pays s'est attaqué aux entreprises technologiques pour comportement monopolistique présumé et non-respect de la réglementation. Désormais, les régulateurs chinois cherchent à mettre en œuvre des règles de grande portée concernant les algorithmes utilisés par les entreprises technologiques pour recommander des vidéos et d'autres contenus.
En août, l'Administration chinoise du cyberespace (ACC) a dévoilé un projet de proposition en 30 points pour une « réglementation de la gestion des recommandations d'algorithmes » qui affecterait directement des entreprises telles que ByteDance Ltd, Tencent Holdings Ltd et Kuaishou Technology. Ce projet a été le fruit de la collaboration entre l'ACC et quatre autres départements gouvernementaux.
Ces règles interdisent les pratiques qui « encouragent la dépendance ou la forte consommation », ainsi que toute activité mettant en danger la sécurité nationale ou perturbant l'ordre social et économique.
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
Invasion russe de l’Ukraine :
Extrait :
Extrait :
Mark Bernstein, un des 50 plus importants contributeurs de Wikipédia en russe, a été arrêté le 11 mars pour «diffusion de fausses informations» via l’encyclopédie libre.
[...]
En parallèle de la guerre en Ukraine, le verrouillage croissant de l’information par Poutine et ses vassaux s’est traduit par le blocage de plusieurs réseaux sociaux en Russie, Facebook puis Instagram notamment. Dans Wikipédia, «l’opération militaire spéciale», selon l’euphémisme du Kremlin, est désignée même en russe comme «invasion de l’Ukraine par la Russie», ce qui en Russie est maintenant passible de 15 ans de prison.
[...]
«Mark Bernstein, alias Pessimist2006, était l'un des plus gros contributeurs en langue russe de Wikipedia, avec plus de 200.000 contributions depuis la création de son compte en 2008. Selon sa propre page Wikipedia, mise à jour dans de nombreuses langues avec cette nouvelle, nous apprenons que Bernstein s'est toujours intéressé à la censure avec notamment un grand travail mené sur la censure dans l'Union Soviétique.»
L’article en question de l’encyclopédie sur Mark Bernstein est maintenant décliné en 12 langues (dont le français). On y lit notamment que «dans une interview, il estime que sa meilleure réalisation sur Wikipédia en 2009 est son travail sur un article relatif à la censure en Union soviétique, étayé par environ 250 sources».
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Re: [Index Libertés] Pour parler des libertés, y compris numériques...
La Russie censure-t-elle Internet :
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