Je voudrais savoir comment vous décrivez l'angoisse ? par ex si une situation vous angoisse, qu'est ce qui se passe en vous ?
j'ai du mal à utiliser le mot, dans ma tête j'imagine la panique, les neurones bloqués, le corps paralysé, bref, l'étape avant la fuite éperdue ou la mort, foudroyée direct...
et du coup, je ne me dis jamais angoissée, parce que je ne vis plus ça, moi c'est la fuite effectivement sans passer par la case angoisse, ou alors le déni gigantesque.
mais je me dis désormais, au fur et à mesure que je suis en train d'explorer ce qui se passe en moi en ce moment, une situation compliquée émotionnellement, que j'ai déjà vécue mais sans le prisme aspie, que là, il y a des situations où j'angoisse...
les mots sont super importants pour moi, je ne me sens pas légitime à dire angoisse si ça n'en est pas. Et puis comment peut on corriger ou accueillir ou je ne sais quoi si déjà on se trompe de notion ?
(bon oui ça vient d'une nana qui parle autisme alors qu'elle n'a pas de diagnostic, c'est gonflé)
Edit : comment vous appelez ça, le creux dans l'estomac, la gorge en vrac, le truc qui fait dire "je vais vomir" et en fait c'est juste mental, la saturation de l'émotion, y'a rien qui passe ?
Modifié en dernier par Zelmoed le jeudi 20 janvier 2022 à 17:50, modifié 1 fois.
non diagnostiquée
possibilité évoquée par psy non habilitée au diagnostic
je cherche ma tribu
"Nul autre ne tient pour vertu nos larmes, nos sanglots, notre crainte et autres marques d'impuissance intérieure"
Zelmoed a écrit : ↑mercredi 19 janvier 2022 à 22:26Ouais 2 sujets en 1 journée, j'ose
Peut mieux faire : 4-5 sujets en une journée, comme lorsque j'étais en période de diagnostic.
Zelmoed a écrit : ↑mercredi 19 janvier 2022 à 22:26Je voudrais savoir comment vous décrivez l'angoisse ? par ex si une situation vous angoisse, qu'est ce qui se passe en vous ?
Difficile à dire car, en général, je peux éviter la source d'angoisse.
Autrement, il peut y avoir mutisme, notamment mutisme sélectif. Bon, ça dépend des sources d'angoisse, des situations, de chaque personne.
Pour moi, l'angoisse, c'est un mal de bide, une douleur qui me prend aux tripes, comme une vague de mal de ventre, très douloureux car quotidien. Toujours pas trouvé de solution.
Quand angoisse paroxystique : chaos dans le cerveau, agitation, mutisme.
Perso je dissocie l'anxiété de l'angoisse dans le sens où l'angoisse c'est quelque chose qui se manifeste avec une certaine durée et c'est plus ciblé sur quelque chose mais avec une peur parfois irrationnelle, tandis que l'anxiété, c'est plus un état qui s'installe sur long terme, un peu comme la dépression en fait.
Je cumule les deux d'ailleurs et en ce moment j'alterne entre pics d'anxiété et pics de dépression et c'est très violent et pas agréable du tout.
J'aime pas parler d'angoisse toute seule, je l'associe au mot "crise" quand il s'agit de manifester des symptômes parce que personnellement, chez moi, c'est très physique.
Spoiler : Émétophobes ne pas lire :
Je crois que j'ai connu un peu tous les niveaux et c'est pas classe à dire mais moi, quand j'angoisse, c'est assez vomito et assez caca généralement.
Après c'est les trucs assez classiques : Boyaux tordus à mort, mal au ventre de fou, envie de vomir, de temps à autres, une bonne chiasse (désolée, c'est vraiment pas classe du tout mais je dis ce qui est), des sueurs à bloc, tremblements...
Je pensais avoir connu le pire en terme d'angoisse entre 2014 et 2016 (sans parler des traitements que je tolérais hyper mal qui accentuaient le truc)... Et en fait, non !
Après on est passé à un niveau au dessus et maintenant, c'est plus juste des crises d'angoisses, c'est des attaques de panique, si j'ai bien saisi et c'est juste beaucoup plus intense mais c'est encore différent.
Je trouve que dans l'attaque de panique, t'as pas le même aspect sur le plan psychique.
C'est à dire qu'une crise d'angoisse, tu peux la sentir monter en fait. Moi à une époque, je me conditionnais quasi automatiquement (sans le vouloir, bien-entendu), parce que j'avais besoin d'atteindre le maximum de ma crise d'angoisse le matin avant d'attaquer ma journée, même si j'allais être épuisée mais au moins, j'allais pas être gênée par les symptômes désagréables en public en journée.
C'est à dire que j'avais besoin d'avoir fait ma grosse dose de vomi le matin avant d'aller au lycée et ensuite, je mangeais pas jusqu'à la fin d'après-midi/au soir. Parce que si j'avais un truc à vomir, j'allais vomir en public, j'avais des haut le cœur toute la journée de toutes façons. Bon j'avais perdu 5kg et j'ai failli finir par sombrer dans les TCA, déjà que de base j'ai un poids très léger.
Parce que si tu veux, quand tu fais une crise d'angoisse, ça monte full lentement, donc tu douilles bien, ensuite t'as un maximum, puis ensuite ça redescend lentement. (Merci la TCC de 4 ans qui ressemblait plus à des cours de psycho que le reste).
Une attaque, c'est... Une attaque. C'est brutal, c'est soudain, tu la sens presque pas venir, ça te saute à la gorge en fait. Puis y a des sensations pas très sympatoches et ça va très très très rapidement et même mentalement, t'es paumé, t'as tous les symptômes qui s'enchaînent d'un coup et très vite. Puis après ça redescend mais voilà quoi. C'est pas agréable du tout.
En tout cas, c'est la façon dont ça se manifeste chez moi.
Et une attaque de panique, je trouve ça presque traumatisant même plusieurs heures ou plusieurs jours après.
Puis quand je suis dans ce genre de moments où ça a atteint 1 seuil beaucoup trop critique, je ne suis plus capable de me concentrer sur quoi que ce soit donc je vis juste mon truc avec moi-même.
C'est une sorte de combat contre soi-même où tu te fais 1 monologue intérieur pour essayer de te rassurer mais ça marche pas toujours quoi...
Modifié en dernier par Fluxus le vendredi 21 janvier 2022 à 11:10, modifié 2 fois.
TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)
Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks
Oui, j'ai lu aussi que la principale différence était la temporalité.
L'angoisse devant un danger (réel ou imaginé) imminent, avec des symptômes physiques plutôt intenses.
L'anxiété plus diffuse dans le temps, plus sourde.
L'angoisse, je ne sais pas, j'ai dû mal à différencier physiquement ce qu'est l'angoisse d'un stress intense (ou bien est-ce la même chose ?). De mémoire, c'est un envahissement émotionnel rapide, comme si j'allais me noyer dans cette émotion. Le cœur qui bat très vite ("la chamade"). Sensation de fourmis (engourdissement), tremblements. Mais je ne suis plus très sûr de moi.
L'anxiété par contre, c'est comme une enclume portée en permanence au niveau de l'estomac. La sensation d'être toujours serré et lourd, sans pouvoir vraiment relâcher ou desserrer. Une respiration altérée également (souffle court, respiration rapide...). Une certaine rigidité du corps (muscles contractés). Une fatigue récurrente associée (la sensation d'être une "passoire à énergie". Bah oui, c'est lourd une enclume à porter ).
Avec des petits "shoots" d'électricité fréquents lors d'une pensée ou situation plus anxiogène (cela doit être le stress pour les "shoots").
Mais d'une part on ressent pas tous exactement la même chose, et en plus notre interprétation et les mots posés dessus vont être différents (variation niveau physique, perceptif et cognitif).
Bon, je me considère pas vraiment comme expert en émotion, j'ai appris tard et mon apprentissage n'est pas terminé.
mid a écrit : ↑jeudi 20 janvier 2022 à 22:55
L'anxiété par contre, c'est comme une enclume portée en permanence au niveau de l'estomac. La sensation d'être toujours serré et lourd, sans pouvoir vraiment relâcher ou desserrer. Une respiration altérée également (souffle court, respiration rapide...). Une certaine rigidité du corps (muscles contractés). Une fatigue récurrente associée (la sensation d'être une "passoire à énergie". Bah oui, c'est lourd une enclume à porter ).
Avec des petits "shoots" d'électricité fréquents lors d'une pensée ou situation plus anxiogène (cela doit être le stress pour les "shoots").
c'est ça ce que je ressens... avec en plus une nausée permanente (coucou Sartre !), et comme l'impression qu'il y a un danger sourd dans le coin...
non diagnostiquée
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L'anxiété, toutes les sous routines qui font d'elle ce qu'elle est, pour moi, c'est la grande routine générale. Celle qui fait que je refuse le contact physique avec les gens avec lesquels je ne suis pas proche, et me sens très inconfortable avec ceux desquels je me sens proche. C'est ce qui me fait remarquer les bruits soudains, qui me faisait halluciner, quand j'étais chez ma mère, que l'on m'appelait souvent. C'est elle qui me fait rêver, nuit après nuit, que je suis humilié lors de présentations publiques, que je suis torturé, que personne s'intéresse à moi. C'est elle qui me fait douter du moindre compliment de la part de qui que ce soit. C'est elle qui me fait savoir que mes compétences et mes qualités ne valent rien. C'est elle qui me dit que ma vie n'a aucune espèce de pertinence, que je vais mourir. Qui m'a fait prendre l'habitude de me dire memento mori à chaque anniversaire, pour me rappeler non pas que j'ai vécu une année de plus, mais qu'il m'en reste une de moins à vivre. C'est elle qui me rend pessimiste et qui me fait accueillir comme une bonne nouvelle que les trajets dans les transports en commun se goupillent parfaitement. C'est elle aussi, qui me fait rire avec amertume quand un problème survient, que tout le monde est étonné et indigné, sauf moi. C'est qui me fait regarder autour de mieux pour guetter les regards des autres, leurs rires aussi, avec l'obsession quasi paranoïde que lorsque l'on rit autour de moi, c'est de moi que l'on rit. (Je n'ai pas eu une scolarité joyeuse et j'ai des comptes à régler avec l'institution scolaire, mais passons.) L'anxiété, est la part petite mais terriblement envahissante de ma dépression chronique. Elle est là depuis que je suis tout petit. Elle me donnait envie de vomir avant d'aller au collège, me retournait l'estomac pour un rien en primaire et en maternelle, m'y faisait pleurer, me faisait littéralement suer de trouille au lycée, avec que je n'en change, de lycée, une, deux, trois fois, puis un CNED. Même être coincé dans ma chambre sans pouvoir faire autre chose que joueur à Mass Effect en boucle, essayer d'organiser (mal) du jeu de rôle était source d'anxiété. Aucun échappatoire : les jeux qui occupent mes mains sont quand même des sources larvées d'anxiété, parce que je recommence tout quand quelque chose va mal et que je me met à stresser. Quand j'essaie de lire à haute voie, c'est parfois difficile de ne pas m'arrêter et de recommencer une phrase, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, jusqu'à en avoir marre mal et la voix enrouée. L'anxiété, c'est le grand amour de ma vie. Une relation perverse qui n'a aucune fin, qui ne prendra jamais fin. C'est une bouteille et une succube. Une addiction au confort de la routine de l'abandon, de l'obsession, de la joie de voir que j'ai presque réussi quelque chose mais que ce n'est pas assez. Le stress permanent est une norme, une bouteille d'eau de vie qui fait frissonner, qui discipline, c'est le coup de fouet de masochiste qu'il me faut pour travailler, pour tendre mes muscles et mon cerveau quand il est temps d'être sur le qui-vive. C'est ce qui me permet d'être de 14h à 19h actif et à trottiner en déplaçant des cartons dans une recyclerie, parce que j'ai peur que les gens ne m'aiment pas ou qu'on me gronde. C'est ce qui m'a permis de pondre 110 000 mots en trois mois, parce que j'avais peur. L'anxiété, c'est la délicieuse compagne qui m'accompagne en cours, au travail, dans la vie, et qui m'aide à tenir debout. C'est aussi la succube ou la marâtre acariâtre qui déforme mes rêves et mes pensées et me réduit en miettes. L'anxiété, c'est pour moi, c'est une relation abusive. Je lui dois beaucoup, parce que des gens me disent charmant et aimer mon style. Et je ne serai pas qui je suis aujourd'hui sans cette part prédominante de ma vie. En même temps, c'est cette même anxiété qui m'a conduit à échouer mes suicides deux fois, parce que j'avais peur de les rater, paradoxalement. Elle me pousse à la mort, et m'en retire aussi tôt. Elle me tire à droite, puis à gauche, pour, puis contre. Elle m’envoie voter, puis me donne envie de m'abstenir. Elle dirige tous mes actes, dans toutes les directions à la fois. L'anxiété est ma déesse, qui m'ordonne de m'exposer et de communiquer franchement tout mon être, tous mes problèmes, et me susurre ensuite que les gens s'en fichent sans doute, qu'ils me méprisent sans doute, qu'ils me trouvent ridicules, sans doutes, sans aucun doutes, oui, je suis ridicule. Parce que la peur est la seule chose qui semble motiver ma vie en ce moment. J'ai peur d'être inutile. J'angoisse en permanence de ce que je suis et de ce que je ne suis pas. J'en serre les dents. Et j'angoisse pour mes dents parce que je les serres. Il n'y aucune échappatoire. Peut importe comment le problème est conçu, je doute que ce soit le miens, l'anxiété est mon ogresse, elle et moi produisons maints enfants, tous morts nés. Elle en rie. Moi pas. Je devrai aller me coucher. Mais j'ai fait des rêves cette nuit. Et je ne veux pas être à nouveau transpercer de cures dents dans tous les sens, en étant perdu dans une expédition loin du désert, alors que le scorpion se moque de moi et fuisse dans mon cerveau à la recherche du mémoire que je n'ai pas voulu publier. En bref, pour moi, l'anxiété à été la principale force déterminante de toute ma vie.
Puisque le cerveau ne termine de se constituer que vers 25 ans, puisque je sais que je consulte depuis mes 13, puisque je sais que j'avais déjà des signes de dépression anxieuse dès la primaire, je crains que l'anxiété ne fasse partie de ma programmation. Je ne sais pas si je pourrai jamais faire sans elle. Sans la peur pour me pousser à aller vers les autres, et m'en tenir loin. La peur qui me pousse à faire des blagues et faire rire pour me sentir intégrer et moins solitaire, tout en doutant et me demandant si la blague, au fond, ce n'est pas moi.
En espérant avoir été utile et constructif. Reste ouvert à nouveaux éléments, pour mieux être, mieux faire.
Identifié HQI, après suspicions de TSA. Troubles anxio-dépressifs chroniques. TPOC?
Pour moi c'est maux de ventre atroces en me réveillant le matin, les tripes retournées, si c'est avant un évènement stressant, il y a comme un compte à rebours dans ma tête, sinon ça peut être plus diffus, insaisissable - ce sont des manifestations post- stress aussi (conflit, dispute, rupture).
c'est par périodes, mais depuis petite ça s'est toujours manifesté comme ça.
J'avais des poussées d'eczéma aussi, ça c'est passé.
TSA (diagnostic en 2019 par psychiatre spécialisé) - troubles anxio-dépressifs
Pour moi l'angoisse c'est : écholalies, tremblements,troubles du sommeil,maux de ventre, impossibilité de regarder qui que ce soit, stéréotypies,je fais les cents pas où au contraire je suis figée complètement et je fais des gestes répétitifs, difficultées d'élocutions,cognitives, impossibilité de garder mon attention sur quoi que ce soit,de me concentrer.cas où je suis vraiment très surchargée et mal par l'angoisse: tête qui tourne, nausées, vomissements, épuisement.
L'angoisse c'est ma pote toxique de naissance et ça c'est l'angoisse.
J'ai comme un syndrome de Tourette. Les gens ne me croient pas parce que je le fais que quand il n'y a pas de gens proches. Ou alors les gens disent "quoi qu'est-ce que t'as dit ? " et je répond "Rien rien je me parle tout seul".
South Park avait fait un épisode sur le sujet qui m'a toujours angoissé.
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. Pas certain du diagnostic." Glorieuse civilisation, certes, dont le grand problème est de savoir comment se débarrasser des monceaux de cadavres qu'elle a faits, une fois la bataille passée." Marx
seul a écrit : ↑samedi 15 juillet 2023 à 22:00
J'ai comme un syndrome de Tourette. Les gens ne me croient pas parce que je le fais que quand il n'y a pas de gens proches. Ou alors les gens disent "quoi qu'est-ce que t'as dit ? " et je répond "Rien rien je me parle tout seul".
South Park avait fait un épisode sur le sujet qui m'a toujours angoissé.
C'est quand tu es angoissé?moi quand je suis fatiguée où angoissée j'ai du mal à finir mes phrases et a trouver mes mots,je me mélange dans les mots,je veut dire un truc et c'est un truc sans aucun rapport qui sort.
Quand je le sens arriver j'essaye de remplacer mon brouillard verbal,en mettant un autre mot synonyme.
Quand je suis fatiguée et angoissée j'ai des troubles cognitifs tellement je n'arrive plus à dialoguer,je n'arrive même plus à parler correctement,j'ai des difficultées pour faire des phrases,je met du temps a les dire,et souvent j'ai du mal à les dire en entier.
Si tu me regarde je pense que je peut donner l'impression d'avoir des troubles neurologiques où que j'ai fais un AVC mais non tout va bien de ce côté là.
seul a écrit : ↑samedi 15 juillet 2023 à 22:00
J'ai comme un syndrome de Tourette. Les gens ne me croient pas parce que je le fais que quand il n'y a pas de gens proches. Ou alors les gens disent "quoi qu'est-ce que t'as dit ? " et je répond "Rien rien je me parle tout seul".
South Park avait fait un épisode sur le sujet qui m'a toujours angoissé.
C'est quand tu es angoissé?moi quand je suis fatiguée où angoissée j'ai du mal à finir mes phrases et a trouver mes mots,je me mélange dans les mots,je veut dire un truc et c'est un truc sans aucun rapport qui sort.
Quand je le sens arriver j'essaye de remplacer mon brouillard verbal,en mettant un autre mot synonyme.
Quand je suis fatiguée et angoissée j'ai des troubles cognitifs tellement je n'arrive plus à dialoguer,je n'arrive même plus à parler correctement,j'ai des difficultées pour faire des phrases,je met du temps a les dire,et souvent j'ai du mal à les dire en entier.
Si tu me regarde je pense que je peut donner l'impression d'avoir des troubles neurologiques où que j'ai fais un AVC mais non tout va bien de ce côté là.
En général j'ai ce problème quand je me souviens de quelque chose de désagréable.
Je ne pense pas qu'on puisse parler d'un trouble cognitif quand tu es angoissée mais plus d'un trouble de l'élocution.
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. Pas certain du diagnostic." Glorieuse civilisation, certes, dont le grand problème est de savoir comment se débarrasser des monceaux de cadavres qu'elle a faits, une fois la bataille passée." Marx
bon j'imagine que ça touche des trucs profonds en nous, donc pas de problème.
tout va bien de ce côté là.