Le pessimisme va de soi. Il est la couleur dominante de toute vie humaine. Inutile de vouloir l’enseigner : il est comme un mode de fonctionnement « par défaut ». L’optimisme, quant à lui, a besoin d’être promu. C’est en ce sens que, comme le dit Alain, si « le pessimisme est d’humeur, l’optimisme est de volonté ». Ce que Georges Pascal, dans L’idée de philosophie chez Alain, exprime par une très belle formule : « l’optimisme est un refus volontaire du désespoir ».
On ne refuse pas de prendre acte des difficultés qui accablent toute vie humaine, mais de céder au désespoir que peut entraîner cette prise de conscience.
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On retrouve, in fine, l’optimisme foncier des stoïciens. Il est inutile de se préoccuper des choses qui ne dépendent pas de nous. Que la Providence y veille, comme le pensaient les stoïciens, ou non, on n’y peut rien changer. En revanche, on a tout pouvoir sur les choses qui dépendent de nous. À condition de faire l’effort de « s’y mettre », de les prendre en mains, c’est-à-dire d’agir, avec l’espoir de les maîtriser, et, par là même, de se maîtriser.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Le baromètre met en lumière l’épuisement du personnel enseignant à travers le monde, après des mois et mois de pandémie.
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En France, les indicateurs apparaissent en net retrait, tant par rapport à la situation de 2013, que par rapport aux indicateurs TALIS de 2018), ou à la situation dans les autres pays enquêtés, notamment le Québec et dans une moindre mesure, la Belgique francophone.
Les résultats mettent en particulier en relief des problématiques plus structurelles que celles liées à la seule crise Covid-19. Ainsi, les indicateurs de satisfaction professionnelle apparaissent très détériorés en France.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Je découvre ce mode de financement des études, a priori intéressant :
Il y a aussi l’idée qu’on peut adoucir la transition entre les études et l’emploi. Au Danemark, par exemple, chaque jeune bénéficie, à compter de ses 18 ans, de six ans de formation payée, de l’ordre de 800 euros à 850 euros par mois. Cela concerne vraiment tous les jeunes, quelle que soit leur origine sociale. Certains passeront deux ans à l’université, puis auront envie d’aller gagner un peu plus d’argent sur le marché du travail puis qui, encore deux ans plus tard, auront envie d’étudier à nouveau et pourront le faire car il leur reste des années de formation. Notons d’ailleurs que les jeunes scandinaves sont les jeunes qui se projettent dans l’avenir avec le plus d’optimisme.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Il me semble aussi avoir vu passer un article sur le même site qui indiquait que la lecture papier était plus riche sensoriellement et donc plus facilement "mémorable" pour ainsi dire.
En espérant avoir été utile et constructif. Reste ouvert à nouveaux éléments, pour mieux être, mieux faire.
Identifié HQI, après suspicions de TSA. Troubles anxio-dépressifs chroniques. TPOC? En fait non, probablement TDA.
Bon, je crois que ce topic va devenir mon nouveau QG. Je pose mes valises.
Suite à ma réorientation dans ce domaine d'études, j'ai récemment fait quelques petites recherches et je suis tombée sur ce podcast de PodcastScience très sympathique et très intéressant qui tente de résumer ce que sont les sciences de l'éducation ou du moins, d'en donner une définition.
Alors je fais un petit disclaimer rapide également, pour dire qu'il y a des passages où la psychanalyse est vaguement citée et d'autres noms qui y sont corrélés mais ça ne représente pas grand chose en quantité dans le contenu. Donc voilà, si jamais ça peut rebuter des gens par rapport à l'image que peut avoir la psychanalyse, sachez que ça ne reste qu'un "détail" dans la masse et qu'il n y a pas de liens chelous entre ça et d'autres domaines.
TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)
Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks
Suscitez les échanges et entretenez-les. Les recherches montrent que le fait de parler aux bébés et aux jeunes enfants les aide à enrichir leur vocabulaire, ce qui n’est pas le cas lorsqu’ils n’écoutent que passivement une conversation.
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Jouez avec les rythmes et la musique
Jouez avec les rimes, chantez des comptines, commentez les sonorités des chansons et faites beaucoup de musique. Les répétitions aident les enfants à mémoriser de nouveaux mots.
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Partagez des images qui ont du sens
Appuyez-vous sur des images, par exemple des photos de lieux, d’objets ou de personnages familiers, pour partager des moments qui ont du sens. Créez des albums photos pour encourager le dialogue autour de l’environnement culturel de l’enfant et sa famille. Encouragez les enfants à montrer les détails qu’ils remarquent sur ces visuels.
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Attirez l’attention sur l’écrit dans la vie de tous les jours
Qu’il s’agisse de la maison, de la crèche ou d’un autre lieu, l’environnement quotidien offre de multiples occasions de rencontrer de nouveaux mots, imprimés sur des boîtes de céréales, des panneaux ou encore des logos. Le fait de se confronter au quotidien à des caractères imprimés aide les moins de 3 ans à reconnaître les lettres, les sons et les images qui ont un sens.
Favorisez les interactions avec les livres
La lecture du soir entre parents et enfants ou l’heure du conte sont des occasions précieuses d’interactions sociales. Lorsque les adultes qui les accompagnent soutiennent l’exploration des images, attirent l’attention sur le texte et sa présentation, tout en parlant des personnages, l’histoire prend vie et suscite l’émerveillement des enfants.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Selon la docteure et experte en parentalité Deborah Gilboa, interrogée par The Independent, mieux vaut ne pas évoquer la guerre avec des enfants âgés de moins de 8 ans, sauf cas exceptionnel. Mais il ne faut pas négliger le risque qu'ils en entendent parler ailleurs, et notamment à l'école, ce qui peut arriver avant cet âge. À partir de 8 ans, il est en tout cas recommandé d'en parler avec ses enfants sans tarder afin d'être leur première source d'information.
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La bonne approche consiste à demander à son enfant s'il a entendu parler de la guerre et ce qu'il en a retenu, puis de reprendre les choses point par point avec lui afin de lui apporter des précisions, de démentir certaines informations fausses et de le rassurer. Cela permet également d'essayer d'évaluer son état émotionnel.
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L'experte conclut en affirmant qu'il est important de parler à ses enfants de la guerre, et ce pour deux raisons principales: protéger leur santé mentale en leur permettant de s'informer et d'exprimer leurs sentiments, et s'assurer qu'ils vous aient identifié·e comme la personne de référence à laquelle s'adresser «quand le monde est dur, et difficile à interpréter».
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).