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[Index Cinéma] Pour parler de cinéma...
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
Réhabilitons Jean-Claude...
« Comprendre les phrases cultes de Jean-Claude Van Damme », par Le Point Genius :
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TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
Confessions
2010, Tetsuya Nakashima
Peut-être que je le regarde ce soir (parlé en japonais, sous-titré en français).
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Peut-être que je le regarde ce soir (parlé en japonais, sous-titré en français).
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
Angélique Delange est une chocolatière talentueuse, mais aussi une grande émotive, qui perd tous ses moyens dès qu'elle devient le centre des attentions. Pendant 7 ans, elle a été maître chocolatier de Mercier, œuvrant dans l'ombre derrière l'identité fictive d'un ermite anonyme. À la mort de Mercier, sa recherche d'un nouvel emploi lui fait répondre à l'annonce de Jean-René Van den Hugde, patron d'une fabrique de chocolat au bord de la faillite. Leur passion commune pour le chocolat les rapproche rapidement et ils tombent amoureux, mais leur timidité maladive les empêche de se l'avouer. En effet, Jean-René est également un grand émotif, qui consulte un psychologue, alors qu'Angélique rencontre un groupe d'émotifs anonymes. Leur relation semble difficile, voire compromise, alors qu'ils ont tout pour réussir ensemble.
wiki
https://fr.streamcomplet3.net/film/5342 ... nymes.html
Un enfant diag en 2012
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
En replay sur Arte jusqu'au 13/01/2022 :
- Le dictateur...
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
Si vous voulez déprimer, il y a un certain film qui fait évènement. Il s'appelle "Dont look up".
Il est très aigre doux et drôle. Mais déprimant. Un peu comme le reste de la filmographie du réel, je trouve. (il a fait The Big Short, notamment)
Il est très aigre doux et drôle. Mais déprimant. Un peu comme le reste de la filmographie du réel, je trouve. (il a fait The Big Short, notamment)
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
séance prévue pour Le dictateur dans...40 mn
avec mon grand, depuis le temps que je veux lui montrer, il sera assez mûr pour apprécier ( 12 ans)
je l'avais revu sur grand écran lors de sa restauration, en 2003 (de mémoire), et je le revois régulièrement, je ne m'en lasse pas, comme quasiment tous les Chaplin...
"Don't look up" en effet c'est LE film dont je n'arrête pas d'entendre parler sur Fr. Culture (hier encore une émisssion lui était consacrée au Temps du débat, mais je n'écoute pas, j'aime pas trop en savoir sur un film que je n'ai pas encore vu très envie de le voir)
avec mon grand, depuis le temps que je veux lui montrer, il sera assez mûr pour apprécier ( 12 ans)
je l'avais revu sur grand écran lors de sa restauration, en 2003 (de mémoire), et je le revois régulièrement, je ne m'en lasse pas, comme quasiment tous les Chaplin...
"Don't look up" en effet c'est LE film dont je n'arrête pas d'entendre parler sur Fr. Culture (hier encore une émisssion lui était consacrée au Temps du débat, mais je n'écoute pas, j'aime pas trop en savoir sur un film que je n'ai pas encore vu très envie de le voir)
TSA (diagnostic en 2019 par psychiatre spécialisé) - troubles anxio-dépressifs
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
À propos de « Don’t Look Up » :
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
Watch this movie !
Bonne chose que l'article of The Conversation rappelle l'immanquable livre Les marchands de doute.
Le déni de réalité devrait être l'exception, pas la règle.
Bonne chose que l'article of The Conversation rappelle l'immanquable livre Les marchands de doute.
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
Help ! Un prochain film sur la pandémie de Covid-19 !
- AlloCine.Fr,
- IMDB.Com,
- 20min.Ch,
- etc.
- AlloCine.Fr,
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Une bande-annonce sur YouYoute.Com .12 janvier 2022, 21:55
Ce nouveau film sur la gestion médicale de la première vague de Covid-19 tient sa bande-annonce.
Après avoir lutté contre un sale type qui voulait lui voler un jeu vidéo dans «Free Guy» de Shawn Levy, puis s’être défendue après avoir été violée par Adam Driver dans «Le dernier duel» de Ridley Scott, l’actrice Jodie Comer affrontera cette fois le Covid dans «Help», film sur la gestion médicale de la première vague. Une bande-annonce vient d’être mise en ligne par Acorn TV.
Le pitch de «Help»? Quand Sarah commence à travailler en maison de convalescence, elle découvre qu’elle a un don naturel. Elle noue un lien spécial avec Tony, jeune résident atteint de démence précoce. Lorsque la pandémie de Covid frappe, un sentiment d’impuissance envahit Sarah, alors que les résidents meurent les uns après les autres.
Film écrit avec «une grande colère»
«Help» a été mis en scène par Marc Munden, qui a entre autres réalisé «Le jardin secret». «Le film a été écrit avec une grande colère au sujet de la situation sanitaire et du manque de sens des priorités face à cette crise, a expliqué le scénariste Jack Thorne au «Collider». Trop de gens en situation précaire sont morts durant la pandémie, parce que leurs besoins n'ont pas été priorisés». Jack Thorne explique avoir aussi écrit ce film par amour pour les soignants: «Ma mère était elle-même aide-soignante et j'ai pu voir de mes propres yeux les magnifiques efforts qu'elle déployait pour ses clients et résidents. Malgré les risques conséquents et le manque de reconnaissance, ces gens se battent pour sauver des vies. Ils sont nos véritables héros.»
La Britannique de 28 ans Jodie Comer avait aussi été choisie pour jouer Joséphine de Beauharnais dans «Kitbag», biopic sur Napoléon réalisé par Ridley Scott, mais elle avait finalement dû laisser tomber, officiellement pour des raisons de conflit d’emploi du temps.
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
Un jour, un jour, il n'y aura pas toujours autant de formules formulaïques dans les flims qui ne sont pas sur le cyclisme...
C'est un peu comme le monomythe. Tout le monde est persuadé qu'il existe, que c'est un vrai truc, et la plupart des gens "l'appliquent" pour faire leurs films. Du coup, tout le monde s'étonne de l'existence du monomythe. Mais bon. Pour le coup, j'ai lu le bouquin, et j'ai juste lu de la surinterprétation anthropocentrée typique de la psychanalyse. Peut-être me trompe-je, mais le seul argument qu'on m'a opposé c'est de dire "Tu peux arguer ce que tu veux, en tout cas, ça marche." Ce que je n'ai vraiment compris et qui manque un peu de sens. Dans quel sens, ça "marche" ? Le livre se plante dans son intention première mais ce n'est pas grave, parce que tout le monde le prend au sérieux prend au sérieux ce qu'ils pensent qu'il y a peut-être dedans ?
Bref, merci (je ne sais pas à qui je parle), de ne me mettre des romances que quand c'est pertinent et organique. L'immense majorité des films, histoires ou que sais-je que je lis où il y a des romances n'en ont souvent pas besoin. Parfois, ça dessert l’intrigue et le propos premier de l’œuvre. Enfin, à trop utiliser un ressort scénaristique, il devient lâche et perd son sens, son importance, son précieux. On n'est plus surpris, on se dit "évidemment, il fallait bien que ça arrive". Et du coup, on s'en fout. Et je ne sais pas vous, mais je ne vais pas voir un film ou lire un livre pour y être indifférent, ne serait-ce que partiellement.
Je ne dis pas que ça parce que je semble célibataire endurci (j'en doute en tout cas), mais ça me saoule quand le personnage féminin du film doit forcément tomber amoureux ou entrer en relation avec un des personnages, surtout quand les personnages féminins du film sont rares. Peut-être que je me précipite et génère de l'énergie éolienne pour rien, que je met la charrue avant les bœufs, mais bon, déjà quand j'étais gamin, les romances obligées dans les films me gavaient, pas toujours pertinent, un peu chiant. On ma un jour objecté que ça faisait partie de la vie. D'accord, mais alors, pourquoi ne pas déjà être dans une relation ? Didiou, si c'est pas le sujet, c'est pas le sujet.
C'est un peu comme le monomythe. Tout le monde est persuadé qu'il existe, que c'est un vrai truc, et la plupart des gens "l'appliquent" pour faire leurs films. Du coup, tout le monde s'étonne de l'existence du monomythe. Mais bon. Pour le coup, j'ai lu le bouquin, et j'ai juste lu de la surinterprétation anthropocentrée typique de la psychanalyse. Peut-être me trompe-je, mais le seul argument qu'on m'a opposé c'est de dire "Tu peux arguer ce que tu veux, en tout cas, ça marche." Ce que je n'ai vraiment compris et qui manque un peu de sens. Dans quel sens, ça "marche" ? Le livre se plante dans son intention première mais ce n'est pas grave, parce que tout le monde le prend au sérieux prend au sérieux ce qu'ils pensent qu'il y a peut-être dedans ?
Bref, merci (je ne sais pas à qui je parle), de ne me mettre des romances que quand c'est pertinent et organique. L'immense majorité des films, histoires ou que sais-je que je lis où il y a des romances n'en ont souvent pas besoin. Parfois, ça dessert l’intrigue et le propos premier de l’œuvre. Enfin, à trop utiliser un ressort scénaristique, il devient lâche et perd son sens, son importance, son précieux. On n'est plus surpris, on se dit "évidemment, il fallait bien que ça arrive". Et du coup, on s'en fout. Et je ne sais pas vous, mais je ne vais pas voir un film ou lire un livre pour y être indifférent, ne serait-ce que partiellement.
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
Ça marche pour séduire ou duper les gens, et pour faire vendre, tout comme l'ajout d'intrigues amoureuses. Business is business.
Je suis d'accord qu'on en abuse dans pas mal de films, alors que ce n'est pas une nécessité.
Je suis d'accord qu'on en abuse dans pas mal de films, alors que ce n'est pas une nécessité.
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
Ça marche dans le sens où l'industrie hollywoodienne l'applique apparemment pour ses blockbusters, qui explosent régulièrement le box-office.Comte_Pseudonyme a écrit : ↑jeudi 13 janvier 2022 à 10:13 C'est un peu comme le monomythe. Tout le monde est persuadé qu'il existe, que c'est un vrai truc, et la plupart des gens "l'appliquent" pour faire leurs films. Du coup, tout le monde s'étonne de l'existence du monomythe. Mais bon. Pour le coup, j'ai lu le bouquin, et j'ai juste lu de la surinterprétation anthropocentrée typique de la psychanalyse. Peut-être me trompe-je, mais le seul argument qu'on m'a opposé c'est de dire "Tu peux arguer ce que tu veux, en tout cas, ça marche." Ce que je n'ai vraiment compris et qui manque un peu de sens. Dans quel sens, ça "marche" ?
La psychanalyse, en son temps, a eu beaucoup de succès, et a généreusement fait vivre ses promoteurs.
Les pseudo-sciences sont sur le même créneau...
J'en déduis surtout que la surinterprétation attire le chaland (en le faisant rêver, ou en lui proposant des explications simples et du sens, sur lui et le monde)...
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
Un autre avis sur « Don’t Look Up »
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Re: [Index] Cinéma : Pour parler de cinéma...
C'est elle qui est dans le déni cosmique.
C'est un peu voir la paille dans le nombril de l'autre mais pas la poutre dans son propre nombril.
C'est un peu voir la paille dans le nombril de l'autre mais pas la poutre dans son propre nombril.
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