Modération (Tugdual) : Déplacement du sujet depuis "À propos de l'autisme et du S.A.".
Hello tout le monde,
Demain j’ai mon deuxième rendez vous avec mon nouveau psy (je n’en ai vu qu’un seul avant mais l’orientation psychanalytique ne me convient pas). Entre temps, j’ai été diagnostiquée je vais donc lui en parler demain sur les recommandation de ma psychiatre qui a poser le diagnostic.
Par contre, il y’a un autre sujet que j’aimerais aborder avec lui, le problème c’est que je ne sais pas du tout comment faire, et ça me stress. Lors du premier rendez vous, il a tout fait pour me mettre à l’aise et que je me détende mais je n’ai pas su lui parler réellement de mes problèmes mais il m’a rassurée par rapport à cela.
Mais ce qui me pose le plus de soucis en ce moment, au delà de tout ce qui est attrait au TSA, c’est le SSPT qui me bouffe la vie et qui a été re déclencher (choc émotionnel) la semaine dernière lors d’un stage lié à ma profession
Bref, quels sont vos outils pour parler à votre psy ? J’ai peur de me retrouver dans une impasse et à me retrouver dans l’incapacité de lui parler et au extension ne jamais pouvoir parler de ce qui me pose problème
Merci de m’avoir lue
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Diagnostiquée TSA le 07 aout 2021 par un médecin psychiatre
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Re: Parler à son psy
Bonsoir Hannah@SRBR@13,
la première question que je te poserai, c'est : est-ce que tu te sens à l'aise et/ou en confiance avec ce nouveau psy ? Si tu te sens à l'aise et/ou en confiance avec ce nouveau psy, alors, tu pourras te sentir plus à l'aise pour parler.
Ensuite, tu peux préparer la séance en te posant certaines questions :
Pense à des axes d'échanges avec ton psy et je pense que cela va pouvoir t'aider à formuler tes besoins.
la première question que je te poserai, c'est : est-ce que tu te sens à l'aise et/ou en confiance avec ce nouveau psy ? Si tu te sens à l'aise et/ou en confiance avec ce nouveau psy, alors, tu pourras te sentir plus à l'aise pour parler.
Ensuite, tu peux préparer la séance en te posant certaines questions :
- Quel(s) traumatisme(s) tu as pu subir par le passé et qui a (ont) pu induire ce SSPT ?
- Comment as-tu gérer ce SSPT par le passé ? As-tu été aidée voire accompagnée par des professionnels ?
- Quel(s) est (sont) le(s) facteur(s) lors de ton stage professionnel qui a (ont) pu raviver ce SSPT ?
- ...
Pense à des axes d'échanges avec ton psy et je pense que cela va pouvoir t'aider à formuler tes besoins.
Diagnostic TSA + HPI (obtenu à l'âge de 34 ans) posé en septembre 2020 par un chef de service en psychiatrie.
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Re: Parler à son psy
Hello, me concernant, je suis touchée de manière très régulière pour pas dire quasi systématiquement, en séance psy, par le mutisme.
Ce qui est très désagréable puisque des choses qui ne demandent qu'à sortir se retrouvent bloquées sans aucune possibilité de les verbaliser ou les exprimer, c'est vraiment handicapant.
Si la difficulté vient d'une impossibilité à verbaliser, tu peux aussi tenter de passer par des écrits, ça peut aider à entamer un sujet.
C'est ce que je songe à faire prochainement, notamment pour aborder un stress post-traumatique qui me suit depuis bientôt 2 ans, duquel je ne peux pas me défaire ou que très difficilement.
EDIT : Et surtout, ne te presse pas et prends ton temps, ne te fais pas à tout prix violence en te mettant la pression ou autre pour que ça sorte tout de suite, c'est le meilleur moyen de se bloquer.
Ce qui est très désagréable puisque des choses qui ne demandent qu'à sortir se retrouvent bloquées sans aucune possibilité de les verbaliser ou les exprimer, c'est vraiment handicapant.
Si la difficulté vient d'une impossibilité à verbaliser, tu peux aussi tenter de passer par des écrits, ça peut aider à entamer un sujet.
C'est ce que je songe à faire prochainement, notamment pour aborder un stress post-traumatique qui me suit depuis bientôt 2 ans, duquel je ne peux pas me défaire ou que très difficilement.
EDIT : Et surtout, ne te presse pas et prends ton temps, ne te fais pas à tout prix violence en te mettant la pression ou autre pour que ça sorte tout de suite, c'est le meilleur moyen de se bloquer.
TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)
Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks
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Re: Parler à son psy
Merci pour ta réponseOgam a écrit : ↑jeudi 26 août 2021 à 20:57 Bonsoir Hannah@SRBR@13,
la première question que je te poserai, c'est : est-ce que tu te sens à l'aise et/ou en confiance avec ce nouveau psy ? Si tu te sens à l'aise et/ou en confiance avec ce nouveau psy, alors, tu pourras te sentir plus à l'aise pour parler.
Ensuite, tu peux préparer la séance en te posant certaines questions :
- Quel(s) traumatisme(s) tu as pu subir par le passé et qui a (ont) pu induire ce SSPT ?
- Comment as-tu gérer ce SSPT par le passé ? As-tu été aidée voire accompagnée par des professionnels ?
- Quel(s) est (sont) le(s) facteur(s) lors de ton stage professionnel qui a (ont) pu raviver ce SSPT ?
Ce sont quelques éléments qui peuvent permettre de réfléchir et servir d'éléments de réflexions auprès de ton psy. De plus, il pourra te donner des conseils sur comment gérer ce stress, prendre du recul et pouvoir gagner progressivement en sérénité.
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Pense à des axes d'échanges avec ton psy et je pense que cela va pouvoir t'aider à formuler tes besoins.
Pour l'instant oui je me sens plutôt a l'aise avec lui, pour ce qui est de la confiance je ne pense pas qu'elle puisse. s'installer en. une seule. séance donc la il va me falloir un peu de temps.
Je pense lui parler de la situation qui ma poser problème la semaine dernière, même si ca va pas venir tout dire de moi, je pense quand même qu'il va comprendre de quoi il s'agit
Pour les questions, j'ai toutes les réponses, elle problème n'est pas tant de trouver les réponses, mais c'est comment le verbaliser et lui en parler
Merci en tout cas
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Re: Parler à son psy
Comme je te comprends !!Fluxus a écrit : ↑vendredi 27 août 2021 à 11:12 Hello, me concernant, je suis touchée de manière très régulière pour pas dire quasi systématiquement, en séance psy, par le mutisme.
Ce qui est très désagréable puisque des choses qui ne demandent qu'à sortir se retrouvent bloquées sans aucune possibilité de les verbaliser ou les exprimer, c'est vraiment handicapant.
Si la difficulté vient d'une impossibilité à verbaliser, tu peux aussi tenter de passer par des écrits, ça peut aider à entamer un sujet.
C'est ce que je songe à faire prochainement, notamment pour aborder un stress post-traumatique qui me suit depuis bientôt 2 ans, duquel je ne peux pas me défaire ou que très difficilement.
EDIT : Et surtout, ne te presse pas et prends ton temps, ne te fais pas à tout prix violence en te mettant la pression ou autre pour que ça sorte tout de suite, c'est le meilleur moyen de se bloquer.
Avec mon dernier psy j'étais complètement dans l'impasse, sachant qu'il était pas du tout d'accord avec mon souhait de consulter un psychiatre pour savoir ce qui se passait en moi.
Merci pour l'idée de l'écrit, je vais voir avec lui si c'est possible et si cela peut rentrer dans un projet thérapeutique
Si j'arrive a trouver un moyen je le partagerais ici
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Re: Parler à son psy
Assez bizarre ça, généralement un psychologue qui fait bien son boulot peut même encourager son patient à aller vers un médecin psychiatre s'il en voit la nécessité et qu'il pense que juste le suivi ne suffira pas ou qu'il y a risque de mise en danger ou autre.Hannah@SRBR@13 a écrit : ↑vendredi 27 août 2021 à 16:30 Avec mon dernier psy j'étais complètement dans l'impasse, sachant qu'il était pas du tout d'accord avec mon souhait de consulter un psychiatre pour savoir ce qui se passait en moi.
C'est ce à quoi je songeais au début mais comme j'éprouve pas mal de difficultés, en fin de compte à transmettre aussi mes écrits, du mal à les relire aussi, à les faire lire, ou qu'ils me soient lus par quelqu'un d'autre, je ne sais pas si c'est la meilleure façon de procéder. Mais bon, en cas extrême, ça peut toujours sauver lorsqu'il y a vraiment 0 possibilité de passer par le verbal oralement.Hannah@SRBR@13 a écrit : ↑vendredi 27 août 2021 à 16:30 Merci pour l'idée de l'écrit, je vais voir avec lui si c'est possible et si cela peut rentrer dans un projet thérapeutique
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Re: Parler à son psy
Je suis assez d'accord, je pense que le psychologue est largement en capacité de voir si son patient a besoin aussi en parallèle d'un suivi médical, sachant quelles deux ne se gênent pas mais peuvent se compléter sans problème, en tout cas, selon les études que j'ai pu lire.Fluxus a écrit : ↑vendredi 27 août 2021 à 16:48Assez bizarre ça, généralement un psychologue qui fait bien son boulot peut même encourager son patient à aller vers un médecin psychiatre s'il en voit la nécessité et qu'il pense que juste le suivi ne suffira pas ou qu'il y a risque de mise en danger ou autre.Hannah@SRBR@13 a écrit : ↑vendredi 27 août 2021 à 16:30 Avec mon dernier psy j'étais complètement dans l'impasse, sachant qu'il était pas du tout d'accord avec mon souhait de consulter un psychiatre pour savoir ce qui se passait en moi.
C'est ce à quoi je songeais au début mais comme j'éprouve pas mal de difficultés, en fin de compte à transmettre aussi mes écrits, du mal à les relire aussi, à les faire lire, ou qu'ils me soient lus par quelqu'un d'autre, je ne sais pas si c'est la meilleure façon de procéder. Mais bon, en cas extrême, ça peut toujours sauver lorsqu'il y a vraiment 0 possibilité de passer par le verbal oralement.Hannah@SRBR@13 a écrit : ↑vendredi 27 août 2021 à 16:30 Merci pour l'idée de l'écrit, je vais voir avec lui si c'est possible et si cela peut rentrer dans un projet thérapeutique
Je suis pas très fan des écrits non plus, dans le sens ou laisser une trace quelque part me pose problème, on évolue on change d'avis, du coup. les écrits sont comme gravés dans le marbre. Cela dit, ce qui peut être juste verbalisé peut être perdu dans l'oublie aussi.
Diagnostiquée TSA le 07 aout 2021 par un médecin psychiatre
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Re: Parler à son psy
Puisque ma psychologue vient à domicile, je la traite aussi bien que ni'mporte quel hôte venant chez moi . La tasse de thé ou de café servie, je sais que c'est une femme plutôt conflictuelle qui n'a pas peur de rentrer dans le lard de sa patientèle à des fins disons le thérapeuthique. Elle a beau avoir une apparence qui la fait ressembler à une ange , elle reste toujours ma redriveuse.Hannah@SRBR@13 a écrit : ↑jeudi 26 août 2021 à 20:27 Modération (Tugdual) : Déplacement du sujet depuis "À propos de l'autisme et du S.A.".
Hello tout le monde,
Demain j’ai mon deuxième rendez vous avec mon nouveau psy (je n’en ai vu qu’un seul avant mais l’orientation psychanalytique ne me convient pas). Entre temps, j’ai été diagnostiquée je vais donc lui en parler demain sur les recommandation de ma psychiatre qui a poser le diagnostic.
Par contre, il y’a un autre sujet que j’aimerais aborder avec lui, le problème c’est que je ne sais pas du tout comment faire, et ça me stress. Lors du premier rendez vous, il a tout fait pour me mettre à l’aise et que je me détende mais je n’ai pas su lui parler réellement de mes problèmes mais il m’a rassurée par rapport à cela.
Mais ce qui me pose le plus de soucis en ce moment, au delà de tout ce qui est attrait au TSA, c’est le SSPT qui me bouffe la vie et qui a été re déclencher (choc émotionnel) la semaine dernière lors d’un stage lié à ma profession
Bref, quels sont vos outils pour parler à votre psy ? J’ai peur de me retrouver dans une impasse et à me retrouver dans l’incapacité de lui parler et au extension ne jamais pouvoir parler de ce qui me pose problème
Merci de m’avoir lue
Partant de ça , j'utilise mon dictaphone pour enregistrer notre conversation et parfois mon camescope.
Je me sert de mon cahier pour écrire et je lui dit toujours en préambule " Hésite pas à me recadrer quand je suis hors-sujet, je t'en voudrais pas si t'es un peu méchante".
Elle se marre toujours quand je lui dit ça mais bon elle enregistre bien le message "Mon patient-X a besoin que je le redrive et que je le secoue un peu quand il fait une entorse involontaire aux lois des adultes".
Pourquoi embaucher une spécialiste de son calibre à domicile: pour travailler l'acceptation de mes limites, j'ai encore la fâcheuse tendance à ne pas vouloir me comporter comme un mortel mais quelqu'un qu'on aurait plongé dans une eau rendant immortel, invincible ( complexe de thétis) et à aller bien trop loin par rapport à mes limites et cela va aussi bien dans la sphère personnel, amoureuse et professionnelle.
L'amour parlons en: qu'on rentre dans le lard du sujet même si faut en pleurer et surtout surtout qu'on travaille comme un type dans mon genre s'est amouraché d'une mauvaise personne alors qu'il avait vu que fallait arréter....
Conflictualité encore et encore à travailler sans rentrer dans les extrêmes. Je sais pas faire entendre raison avec ma carte mobilité inclusion de façon audible , je suis toujours bloqué par cette absolu " les adultes voient la carte, ils savent et donc vont me laisser passer" Non hier, personne m'a laissé passé, la bande de vieux retraités n'a rien voulu voir ni entendre.
Diagnostique autiste par le CRA en mars 2009
Si vi pacem, para bellum
Traduction Latine: Si tu veux la paix, prépare la guerre
Contrôleur des finances publiques 2ème classe en trésorerie municipale.
Adepte de la course à pied.
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Contrôleur des finances publiques 2ème classe en trésorerie municipale.
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Re: Parler à son psy
Wow, j'adore la façon dont tu décris ça !!Controleur a écrit : ↑samedi 28 août 2021 à 8:07 Puisque ma psychologue vient à domicile, je la traite aussi bien que n'importe quel hôte venant chez moi . La tasse de thé ou de café servie, je sais que c'est une femme plutôt conflictuelle qui n'a pas peur de rentrer dans le lard de sa patientèle à des fins disons le thérapeutique. Elle a beau avoir une apparence qui la fait ressembler à une ange , elle reste toujours ma redriveuse.
Partant de ça , j'utilise mon dictaphone pour enregistrer notre conversation et parfois mon camescope.
Je me sert de mon cahier pour écrire et je lui dit toujours en préambule " Hésite pas à me recadrer quand je suis hors-sujet, je t'en voudrais pas si t'es un peu méchante".
Elle se marre toujours quand je lui dit ça mais bon elle enregistre bien le message "Mon patient-X a besoin que je le redrive et que je le secoue un peu quand il fait une entorse involontaire aux lois des adultes".
Pourquoi embaucher une spécialiste de son calibre à domicile: pour travailler l'acceptation de mes limites, j'ai encore la fâcheuse tendance à ne pas vouloir me comporter comme un mortel mais quelqu'un qu'on aurait plongé dans une eau rendant immortel, invincible ( complexe de thétis) et à aller bien trop loin par rapport à mes limites et cela va aussi bien dans la sphère personnelle, amoureuse et professionnelle.
L'amour parlons en: qu'on rentre dans le lard du sujet même si faut en pleurer et surtout surtout qu'on travaille comme un type dans mon genre s'est amouraché d'une mauvaise personne alors qu'il avait vu que fallait arrêter.
Conflictualité encore et encore à travailler sans rentrer dans les extrêmes. Je sais pas faire entendre raison avec ma carte mobilité inclusion de façon audible , je suis toujours bloqué par cette absolu " les adultes voient la carte, ils savent et donc vont me laisser passer" Non hier, personne m'a laissé passé, la bande de vieux retraités n'a rien voulu voir ni entendre.
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Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks
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