Le sujet était évoqué avec insistance par mon assistant social, au courant de mon contentieux que je vous développe par ailleurs ici:


Autant je suis pris au sérieux par les gens proches, autant des personnes quand par exemple sur un autre forum ou on parlait finance, je parlais de l'histoire de l'arnacoeur https://www.sudouest.fr/justice/un-arna ... 912917.php et j'ai déclenché alors une vague de sarcasmes à mon sujet ou les membres commentaient de tout sauf du sujet . Et certains connaissant le fait que j'avais vécu une histoire similaire m'ont prété des intentions que je n'avais pas. Le résultat?


Trop bon, trop con. Je vais vraiment finir par croire que decidement ce sujet là n'est pas apprécié et que certaines personnes se rendent compte brutalement que même la personne la plus censée, parce qu'elle a le cerveau retourné par une personne malveillante fait des choses que jamais elle n'aurait faite si elle avait gardé son discernement.
A côté de ça je vois bien que cette histoire n'est pas digéré, que ça me fait tergiverser, pousser des eéruptions de colère. Que je peste vraiment contre la mise en cause, que je peste aussi au sujet de l'attitude du commercial de la concession automobile ayant validé une transaction qu'il n'aurait jamais du valider,qui feint la neutralité alors que clairement il a des choses à se reprocher. Je rêve même de le voir interroger dans une sale, passé au détecteur de menssonges ou ses aveux sortent ... Que la concession se rende compte du pot aux roses est désavoue ce commercial en annulant la vente et me rend mon argent.
Je rêve aussi de ces juges qui vont instruire mon dossier, statuer. les espérer les plus sévères possibles avec cette femme, et qu'au pénal elle soit aussi chargée. Que j'ai une ordonnance de jugement en ma faveur et que ce soit écrit noir sur blanc. Que le peuple français ainsi rendu justice en son nom, la répudie, la bannit, l'ostracise, me soutienne moi et pas elle. Et que justice rendu en ma faveur serve ainsi d'exemple .
Il faut attendre, sans espérer.
Je vous en parle quand même, le sort en est jeté maintenant.
In victa.