Vincent, 16 ans et autiste, vit avec sa mère, Elena, et son beau-père, Mario, qui l’a adopté. Tous deux lui consacrent une attention de tous les instants, car les tempêtes émotionnelles qui s’emparent de l’adolescent sont aussi imprévisibles qu’éreintantes. Un soir, Willi, son père biologique, réapparaît sans prévenir. Elena sort de ses gonds : chanteur de variété insouciant animant bals de village et fêtes de mariage, Willi a brutalement disparu de sa vie lorsqu’il a appris qu’elle était enceinte. Le lendemain matin, Vincent reste introuvable. Willi le découvre, caché à l’arrière de sa voiture, et décide de l’emmener avec lui pour une tournée en Slovénie. Fous d’inquiétude, Elena et Mario partent à la recherche de l'adolescent.
Lien avec l'autisme :
Un personnage est clairement présenté comme tel.
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TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Lilas a écrit : ↑vendredi 16 juillet 2021 à 19:55
(même si je n'ai pas compris la fin)
Spoiler :
Il part peut-être vivre avec sa mère, parce que ton père adoptif ne l'aime pas comme son père biologique, et que son père biologique est un danger ambulant pour lui ?
Je ne suis pas sûr d'avoir compris non-plus.
Je l'ai vu ce soir. J'ai eu du mal à entrer dedans, mais il m'a touchée, avec un petit côté Emir Kusturiza, des scènes un peu baroques, absurdes. J'ai aimé le mariage tzigane, les chevaux...
Cette chanson, Volare, m'a fait penser à la reprise des Gipsy Kings, groupe que je n'aimais pas à sa sortie, mais elle est belle quand même, et les paroles vont bien avec le film. L'original de Domenico Modugno est plus lent, plus crooner, la version des Gipsy kings évoque bien la liberté, la fête, la danse...
Spoiler :
Je ne suis pas convaincue par la fin, sinon que sa mère se décide peut-être à le prendre comme il est et à essayer de vivre avec lui sans béquille (son mari). Plus sûrement, elle part juste un peu avec lui en vacances, pour profiter d'un climat d'aventure comme son père a vécu avec lui.
La relation entre le garçon et son père ne m'a pas vraiment émue, ce dernier fait beaucoup de conneries validistes : "il faut que tu parles", "regarde-moi quand je te parle"... Il comprend un peu quand Vincent écrit sur l'ordinateur, mais il ne semble pas vraiment l'assimiler. J'ai trouvé tout le monde injuste avec tout le monde, finalement, ça ne donne pas une vision très positive des gens.