Ce qui sera intéressant ça sera le ratio de morts/cas graves par rapport aux nombre de cas d'infections COVID, si ça diminue, il est probable que le vaccin aura un effet bénéfique, si cela n'évolue pas, il faudra se poser des questions.
Moi je me prépare psychologiquement que cela va durer des années/décennies, si ça a tenu 2 ans, il y aura aucune raison que ça s'arrête net dans un futur proche. Raoult avait raison dès le départ sur ces 2 points : le fait que cela sera saisonnier et que le virus mutera régulièrement (ce que Mme Lacombe réfutait au départ par exemple).
Si c'est pour se protéger soi et les autres, je comprends tout a fait le fait de se vacciner.
Si c'est juste pour "pouvoir revivre comme avant" la je ne comprends pas, il n'y a à ce jour aucune garantie que tout reviendra comme avant une fois la quasi totalité de la population vaccinée, je ne comprends pas les gens qui se vaccinent juste ou quasiment que pour cette raison.
Pour le pass sanitaire, pour moi, je crains que cela soit un moyen de faire disparaître le secret médical et un moyen de surveiller la population (comme ce qui se fait en Chine avec la politique de l'enfant unique avec les agents du planning familial qui surveille tout les 3 mois si une femme ayant déjà un enfant n'est pas enceinte une 2ème fois).
Alors oui ça peut paraître égoïste, je n'ai pas eu le COVID, que ma soeur et ma mère l'ont eu avec des formes très bénignes, personne ne l'a eu à mon travail.
https://www.euractiv.fr/section/sante-m ... ars-cov-2/
Je me demande pourquoi si un tel médicament atteint un tel niveau d'efficacité (même supérieur a ce que certains fabricants annoncent pour leur vaccin), pourquoi n'est-il pas prescrit ?
Je ne comprends pas ceux qui disent que le vaccin serait la SEULE solution, il y a des solutions vaccinaux et très probablement des solutions non-vaccinaux. Chacun devrait être libre d'accéder aux traitements qu'il souhaite.
Pour l'instant on est encore libre de faire ce que l'on veut avec notre santé, mais pour combien de temps ? Ce qui m'importe c'est que chacun soit libre et qu'aucune obligation ne soit imposé pour un taux de mortalité "faible à très faible" selon les tranches d'âges (surtout si on compare aux cancers ou les maladies cardiovasculaires). Si jamais on impose la vaccination obligatoire, peut-être que bientôt on imposera a tout les personnes obèses de maigrir ou ce genres de choses avec ces histoires de pass sanitaire.
Voilà mes interrogations en vrac.