[Index Santé] Discutons ici du Covid-19 !
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
Le vaccin Spoutnik V :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
Covid à l’école :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
Vaccin Astrazeneca :
Extrait :
Extrait :
Dans un message diffusé sur le fil DGS Urgent le 7 mars et signé par le Pr SALOMON, on apprend au détour d’une simple annotation que la semaine du 8 mars 2021, les pharmacies devront stopper les livraisons en doses du vaccin d’AstraZeneca aux médecins de ville faute de stocks suffisants. La commande ne sera ouverte cette semaine que pour répondre aux besoins propres des pharmacies qui sont autorisées à vacciner à compter du 15 mars.
[...]
Après avoir éberlué les médecins au printemps dernier faute de masque FFP2, la DGS innove donc avec une gifle magistrale à l’attention de tous les médecins de ville qui après avoir fait l’objet de toutes les attentions pour les inciter à participer à la campagne de vaccination, devront déprogrammer les rendez-vous qu’ils avaient soigneusement pris avec leurs patients ayant des comorbidités la semaine du 15 mars.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
[Je précise que ce post humoristique n'est pas destiné aux enfants]
Vous êtes un enfant ? Oui ? Et bien suivez moi :
D'abord pour lutter contre la Codiv, un seul mot :
Buvez ! Mais pas de l'eau plate évidemment. De la vodka.
Pour un enfant de 7 ans, une bouteille de 75cl de vodka par jour suffira largement.
Car l'alcool tue le virus. (C'est pas pour rien que la Bretagne n'est pas touchée)
Ensuite, fumez. Mais fumez hein. Pour être fort. Comme Papa !
Pour un enfant de 7 ans, 2 paquets de Marlboro par jour sont suffisants.
Car selon les sondages, les fumeurs sont moins touchés par la covid.
Bourré et enfumé, votre enfant resplendira de santé, et ne se fera pas contaminer.
C'est ka ki qu'on dit merci ? A Pépé Bubu bien sur.
Vous êtes un enfant ? Oui ? Et bien suivez moi :
D'abord pour lutter contre la Codiv, un seul mot :
Buvez ! Mais pas de l'eau plate évidemment. De la vodka.
Pour un enfant de 7 ans, une bouteille de 75cl de vodka par jour suffira largement.
Car l'alcool tue le virus. (C'est pas pour rien que la Bretagne n'est pas touchée)
Ensuite, fumez. Mais fumez hein. Pour être fort. Comme Papa !
Pour un enfant de 7 ans, 2 paquets de Marlboro par jour sont suffisants.
Car selon les sondages, les fumeurs sont moins touchés par la covid.
Bourré et enfumé, votre enfant resplendira de santé, et ne se fera pas contaminer.
C'est ka ki qu'on dit merci ? A Pépé Bubu bien sur.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
Covid-19 et chirurgie :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
Quel est l’effet de l’épidémie de Covid-19 :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
Covid-19 :
- quelles sont les pistes les plus sérieuses en matière de thérapies ? (par Dominique Costagliola)
Diagnostiquée TSA en janvier 2021. Conjoint diagnostiqué TSA en octobre 2020.
Site : Tout Sur l'Autisme (ressources et documents)
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
Le vaccin Janssen de Johnson & Johnson :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
Suite logique :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
L'impact dévastateur de Covid-19 sur les personnes atteintes de déficience intellectuelle aux États-Unis
Une étude menée auprès de 547 organismes de soins de santé américains révèle que les personnes souffrant d'une déficience intellectuelle courent un risque considérablement accru de mourir du Covid-19.
catalyst.nejm.org Traduction de "The Devastating Impact of Covid-19 on Individuals with Intellectual Disabilities in the United States
Stephens Mary - 5 mars 2021
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... llectuelle
Une étude menée auprès de 547 organismes de soins de santé américains révèle que les personnes souffrant d'une déficience intellectuelle courent un risque considérablement accru de mourir du Covid-19.
catalyst.nejm.org Traduction de "The Devastating Impact of Covid-19 on Individuals with Intellectual Disabilities in the United States
Stephens Mary - 5 mars 2021
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... llectuelle
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
Le SRAS-CoV-2 serait passé de la chauve-souris à l'homme :
Extrait :
Extrait :
Robertson commente, «la raison du 'changement de vitesse' du SRAS-CoV-2 en termes de son taux d'évolution accru à la fin de 2020, associé à des lignées plus fortement mutées, est que le profil immunologique de la population humaine a changé.» Le virus vers la fin de 2020 entrait de plus en plus en contact avec l'immunité existante de l'hôte, car le nombre de personnes précédemment infectées est maintenant élevé. Cela sélectionnera des variants qui peuvent esquiver une partie de la réponse de l'hôte. Associées à l'évasion de l'immunité dans les infections à long terme dans les cas chroniques (par exemple, chez les patients immunodéprimés), ces nouvelles pressions sélectives augmentent le nombre de mutants viraux importants.
Il est important de comprendre que le SRAS-CoV-2 reste un virus aigu, éliminé par la réponse immunitaire dans la grande majorité des infections. Cependant, il s'éloigne maintenant plus rapidement du variant de janvier 2020 utilisé dans tous les vaccins actuels pour augmenter l'immunité protectrice. Les vaccins actuels continueront de fonctionner contre la plupart des variants en circulation, mais plus le temps passera et plus l'écart entre le nombre de personnes vaccinées et non vaccinées sera grand, plus il y aura d'opportunités pour échapper au vaccin. Robertson ajoute: «La première course a été de développer un vaccin. La course est maintenant de faire vacciner la population mondiale le plus rapidement possible.»
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
Recevoir le vaccin COVID-19 en étant autiste
Témoignage d'une américaine autiste sur sa première injection de vaccin (Moderna)
THINKING PERSON'S GUIDE TO AUTISM (TPGA) Traduction de " Getting the COVID-19 Vaccine While Autistic" 2 mars 2021, par Kate
http://www.thinkingautismguide.com/2021 ... istic.html
Témoignage d'une américaine autiste sur sa première injection de vaccin (Moderna)
THINKING PERSON'S GUIDE TO AUTISM (TPGA) Traduction de " Getting the COVID-19 Vaccine While Autistic" 2 mars 2021, par Kate
http://www.thinkingautismguide.com/2021 ... istic.html
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
jim.fr
Bilan, vaccin et désinformation : à quel jeu joue la Russie ?
Moscou, le mercredi 10 mars 2021 - Voilà un pays qui a surpris le monde entier en remportant la course au vaccin. En août dernier, l’institut Gamaleya est parvenu à produire le désormais célèbre Spoutnik-V, un vaccin viral à deux adénovirus recombinant. Depuis, la Russie use de la diplomatie du vaccin pour renforcer son image à l’internationale. L’Argentine, le Brésil, le Mexique, le Népal, l’Égypte, la Palestine, mais aussi en Europe même, la Serbie et la Hongrie ont décidé de faire l’acquisition du vaccin. Il sera à l’avenir produit au cœur même de l’Union Européenne, en Italie.
La Russie peut donc se féliciter d’avoir trouvé un vaccin « fiable comme une kalachnikov » pour reprendre l’image véhiculée par les autorités russes, là où les vaccins occidentaux (et notamment le Pfizer) serait « cher et capricieux ».
Et pourtant, dans le même temps, la Russie semble œuvrer dans l’ombre pour saper les campagnes de vaccination à travers le monde.
Les États-Unis ont dénoncé lundi une campagne de « désinformation » menée en ligne par des officines de l’Est contre deux des vaccins anti-Covid-19 autorisés aux États-Unis. L'unité de la diplomatie américaine chargée de surveiller et contrer la propagande étrangère « a identifié quatre plateformes internet russes, dirigées par les services russes de renseignement, qui répandent la désinformation », a déclaré le porte-parole du département d'État Ned Price.
Le précédent de l’opération Infektion
« Il est très clair que la Russie a recours à ses vieilles méthodes, et en faisant cela met potentiellement en péril des personnes puisqu'elle répand la désinformation au sujet de vaccins dont nous savons qu'ils sauvent des vies chaque jour », a martelé Ned Price.
Déjà dans les années 1980, l’Union Soviétique avait eu recours à une vaste campagne de désinformation ayant pour but de rependre la rumeur selon laquelle le département de la Défense des Etats-Unis aurait créé le virus du sida. La Russie a reconnu en 1992 avoir bien été à l’origine de cette théorie conspirationniste. Pourtant, en 2018, 32 % des français croiraient encore à cette thèse, montrant bien l’impact et l’efficacité des campagnes de désinformation, plus de trente ans après la fin de l’Union Soviétique.
Combien de morts de la Covid en Russie ?
Mais les premières victimes de la désinformation ne seraient-elles pas les russes eux-mêmes ? Le pays semble se lancer pour la première fois dans le difficile exercice de la transparence. Officiellement, le pays ne déclare pour l’instant qu’environ 90 000 décès liés à la Covid-19.
Toutefois, les dirigeants semblent admettre pour la première fois une sous-évaluation. Pour le service des statistiques russe, Rosstat, 200 000 russes seraient décédés de la maladie, soit plus du double du chiffre utilisé le plus souvent par le groupe de travail consacré au coronavirus en Russie.
Déjà en décembre dernier, le gouvernement avait dû admettre une première sous-évaluation du nombre de victimes. Les autorités ont déclaré par le passé que les chiffres de Rosstat étaient plus complets, intégrant notamment les données des rapports d'autopsie non disponibles pour le décompte quotidien.
Mais là encore, d’autres voix s’interrogent. Le Moscow Times rapporte que du début de l’épidémie jusqu’au mois de janvier, la Russie aurait connu une surmortalité de 24 %, faisant du pays l’un des territoires les plus frappés par l’épidémie. En définitive, le pays semble avoir enregistré une surmortalité de 400 000 décès, avec un pic en décembre 2020.
C.H.
Bilan, vaccin et désinformation : à quel jeu joue la Russie ?
Moscou, le mercredi 10 mars 2021 - Voilà un pays qui a surpris le monde entier en remportant la course au vaccin. En août dernier, l’institut Gamaleya est parvenu à produire le désormais célèbre Spoutnik-V, un vaccin viral à deux adénovirus recombinant. Depuis, la Russie use de la diplomatie du vaccin pour renforcer son image à l’internationale. L’Argentine, le Brésil, le Mexique, le Népal, l’Égypte, la Palestine, mais aussi en Europe même, la Serbie et la Hongrie ont décidé de faire l’acquisition du vaccin. Il sera à l’avenir produit au cœur même de l’Union Européenne, en Italie.
La Russie peut donc se féliciter d’avoir trouvé un vaccin « fiable comme une kalachnikov » pour reprendre l’image véhiculée par les autorités russes, là où les vaccins occidentaux (et notamment le Pfizer) serait « cher et capricieux ».
Et pourtant, dans le même temps, la Russie semble œuvrer dans l’ombre pour saper les campagnes de vaccination à travers le monde.
Les États-Unis ont dénoncé lundi une campagne de « désinformation » menée en ligne par des officines de l’Est contre deux des vaccins anti-Covid-19 autorisés aux États-Unis. L'unité de la diplomatie américaine chargée de surveiller et contrer la propagande étrangère « a identifié quatre plateformes internet russes, dirigées par les services russes de renseignement, qui répandent la désinformation », a déclaré le porte-parole du département d'État Ned Price.
Le précédent de l’opération Infektion
« Il est très clair que la Russie a recours à ses vieilles méthodes, et en faisant cela met potentiellement en péril des personnes puisqu'elle répand la désinformation au sujet de vaccins dont nous savons qu'ils sauvent des vies chaque jour », a martelé Ned Price.
Déjà dans les années 1980, l’Union Soviétique avait eu recours à une vaste campagne de désinformation ayant pour but de rependre la rumeur selon laquelle le département de la Défense des Etats-Unis aurait créé le virus du sida. La Russie a reconnu en 1992 avoir bien été à l’origine de cette théorie conspirationniste. Pourtant, en 2018, 32 % des français croiraient encore à cette thèse, montrant bien l’impact et l’efficacité des campagnes de désinformation, plus de trente ans après la fin de l’Union Soviétique.
Combien de morts de la Covid en Russie ?
Mais les premières victimes de la désinformation ne seraient-elles pas les russes eux-mêmes ? Le pays semble se lancer pour la première fois dans le difficile exercice de la transparence. Officiellement, le pays ne déclare pour l’instant qu’environ 90 000 décès liés à la Covid-19.
Toutefois, les dirigeants semblent admettre pour la première fois une sous-évaluation. Pour le service des statistiques russe, Rosstat, 200 000 russes seraient décédés de la maladie, soit plus du double du chiffre utilisé le plus souvent par le groupe de travail consacré au coronavirus en Russie.
Déjà en décembre dernier, le gouvernement avait dû admettre une première sous-évaluation du nombre de victimes. Les autorités ont déclaré par le passé que les chiffres de Rosstat étaient plus complets, intégrant notamment les données des rapports d'autopsie non disponibles pour le décompte quotidien.
Mais là encore, d’autres voix s’interrogent. Le Moscow Times rapporte que du début de l’épidémie jusqu’au mois de janvier, la Russie aurait connu une surmortalité de 24 %, faisant du pays l’un des territoires les plus frappés par l’épidémie. En définitive, le pays semble avoir enregistré une surmortalité de 400 000 décès, avec un pic en décembre 2020.
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
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Le vaccin AstraZeneca est-il la victime statistique d’une campagne de masse ?
Paris, le vendredi 12 mars 2021 – Après l’observation d’un évènement thromboembolique chez une personne récemment vaccinée par le vaccin Covid d’AstraZeneca au Danemark, le Royaume ainsi que l’Islande et la Norvège ont suspendu leur campagne avec ce produit de santé.
Pas de sur-risque statistique
Depuis, plusieurs institutions ont précisé qu’il n’y avait pas de sur-risque statistiquement démontré de thrombose avec ce vaccin.
L’EMA (Agence européenne du médicament) a ainsi recensé 30 cas de maladie thrombo-emboliques en Europe sur environ 5 millions de personnes qui ont été vaccinées avec ce vaccin. « Le nombre de cas d’évènements thromboemboliques chez les patients vaccinés n’est pas supérieur au nombre de cas qui seraient habituellement observés et attendus dans la population générale » précise l’agence.
En France, l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) détaille : « Un cas de thromboses multiples dans un contexte de CIVD (coagulation intravasculaire disséminée) a été analysé dans le cadre du comité de suivi du 11 mars. Au regard des données disponibles, rien ne permet de conclure que cet effet soit en lien avec le vaccin ».
Rappelons ainsi qu’environ 100 000 embolies pulmonaires sont colligées chaque année en France (soit une incidence de 1/32500 habitants/semaine). Pour 5 millions d’Européens vaccinées, on pourrait donc s’attendre à peu près à 150 embolies pulmonaires chaque semaine !
« Il n'y a pas lieu de suspendre la vaccination par AstraZeneca (…) Le bénéfice apporté par la vaccination est jugé supérieur au risque à ce stade » a ainsi plaidé le ministre de la santé, hier soir, en conférence de presse.
Le spectre de la vaccination anti-VHB
Au-delà de cette nouvelle avarie pour AstraZeneca, pointe le spectre de la vaccination contre l’hépatite B.
Dans nos colonnes, le 9 décembre, le Pr Dominique Baudon alertait ainsi sur le risque « d’effets ping-pong » d’une vaccination de masse qui consiste à « attribuer à la vaccination (ping) les pathologies et les éventuels décès (pong) ».
Il rappelait « cet effet a déjà été observé lors de la vaccination de masse contre l’Hépatite B réalisée en France en 1994 (…) L'information sur la vaccination avait été délivrée dans la précipitation aux médecins, au public et aux médias, avec une certaine dramatisation. Le résultat fut un dépassement de la cible et la vaccination de nombreux adultes, aboutissant à près d'un tiers de la population française vaccinée. Dans les suites a surgi dans les médias une violente polémique sur la vaccination contre l'hépatite B, accusée de déclencher des cas de sclérose en plaques. Depuis, de nombreuses études scientifiques ont montré l’absence de corrélation entre cette vaccination et la maladie ; en particulier en France il a été démontré que le nombre de cas de sclérose en plaques n’avait pas augmenté par rapport à ce qui était attendu. Mais le mal était fait ; cela a entraîné la décision gouvernementale de suspendre la vaccination contre l’hépatite B. S’en est suivie une réticence accrue de la population à toutes les vaccinations et cela pendant plusieurs années ».
A noter qu’une autre hypothèse est également sur la table comme l’évoque le Pr Bernard Bégaud (Pharmacologie, Bordeaux) sur LCI : celle d’un lot défectueux.
« Ça me surprendrait, par expérience, mais il est théoriquement possible (…) Il peut y avoir eu une contamination, ou un excipient défectueux. Je ne vois aucun précédent, mais ça ne veut pas dire que ça n’existe pas ».
Quoi qu’il en soit, si dans l’état actuel de nos informations on ne peut affirmer l’existence d’un lien entre vaccin Covid AstraZeneca et thrombose, il est bien sûr impossible de l’éliminer car l’absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence…
Reste les effets sur l’adhésion de la population à la vaccination anti-Covid qui pourraient s’avérer désastreux.
F.H.
Le vaccin AstraZeneca est-il la victime statistique d’une campagne de masse ?
Paris, le vendredi 12 mars 2021 – Après l’observation d’un évènement thromboembolique chez une personne récemment vaccinée par le vaccin Covid d’AstraZeneca au Danemark, le Royaume ainsi que l’Islande et la Norvège ont suspendu leur campagne avec ce produit de santé.
Pas de sur-risque statistique
Depuis, plusieurs institutions ont précisé qu’il n’y avait pas de sur-risque statistiquement démontré de thrombose avec ce vaccin.
L’EMA (Agence européenne du médicament) a ainsi recensé 30 cas de maladie thrombo-emboliques en Europe sur environ 5 millions de personnes qui ont été vaccinées avec ce vaccin. « Le nombre de cas d’évènements thromboemboliques chez les patients vaccinés n’est pas supérieur au nombre de cas qui seraient habituellement observés et attendus dans la population générale » précise l’agence.
En France, l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) détaille : « Un cas de thromboses multiples dans un contexte de CIVD (coagulation intravasculaire disséminée) a été analysé dans le cadre du comité de suivi du 11 mars. Au regard des données disponibles, rien ne permet de conclure que cet effet soit en lien avec le vaccin ».
Rappelons ainsi qu’environ 100 000 embolies pulmonaires sont colligées chaque année en France (soit une incidence de 1/32500 habitants/semaine). Pour 5 millions d’Européens vaccinées, on pourrait donc s’attendre à peu près à 150 embolies pulmonaires chaque semaine !
« Il n'y a pas lieu de suspendre la vaccination par AstraZeneca (…) Le bénéfice apporté par la vaccination est jugé supérieur au risque à ce stade » a ainsi plaidé le ministre de la santé, hier soir, en conférence de presse.
Le spectre de la vaccination anti-VHB
Au-delà de cette nouvelle avarie pour AstraZeneca, pointe le spectre de la vaccination contre l’hépatite B.
Dans nos colonnes, le 9 décembre, le Pr Dominique Baudon alertait ainsi sur le risque « d’effets ping-pong » d’une vaccination de masse qui consiste à « attribuer à la vaccination (ping) les pathologies et les éventuels décès (pong) ».
Il rappelait « cet effet a déjà été observé lors de la vaccination de masse contre l’Hépatite B réalisée en France en 1994 (…) L'information sur la vaccination avait été délivrée dans la précipitation aux médecins, au public et aux médias, avec une certaine dramatisation. Le résultat fut un dépassement de la cible et la vaccination de nombreux adultes, aboutissant à près d'un tiers de la population française vaccinée. Dans les suites a surgi dans les médias une violente polémique sur la vaccination contre l'hépatite B, accusée de déclencher des cas de sclérose en plaques. Depuis, de nombreuses études scientifiques ont montré l’absence de corrélation entre cette vaccination et la maladie ; en particulier en France il a été démontré que le nombre de cas de sclérose en plaques n’avait pas augmenté par rapport à ce qui était attendu. Mais le mal était fait ; cela a entraîné la décision gouvernementale de suspendre la vaccination contre l’hépatite B. S’en est suivie une réticence accrue de la population à toutes les vaccinations et cela pendant plusieurs années ».
A noter qu’une autre hypothèse est également sur la table comme l’évoque le Pr Bernard Bégaud (Pharmacologie, Bordeaux) sur LCI : celle d’un lot défectueux.
« Ça me surprendrait, par expérience, mais il est théoriquement possible (…) Il peut y avoir eu une contamination, ou un excipient défectueux. Je ne vois aucun précédent, mais ça ne veut pas dire que ça n’existe pas ».
Quoi qu’il en soit, si dans l’état actuel de nos informations on ne peut affirmer l’existence d’un lien entre vaccin Covid AstraZeneca et thrombose, il est bien sûr impossible de l’éliminer car l’absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence…
Reste les effets sur l’adhésion de la population à la vaccination anti-Covid qui pourraient s’avérer désastreux.
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Re: [Index] Santé : Discutons ici du Covid-19 !
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IHU de Marseille : des facturations qui interrogent
Marseille, le vendredi 12 mars 2021 – L’IHU de Marseille aurait fait une utilisation excessive des hospitalisations de jour, conduisant à des facturations importantes pour les patients et/ou pour les organismes payeurs.
La note est salée. Pour avoir fait plusieurs passages à l’IHU de Marseille, désormais mondialement connu pour être le lieu d’exercice du professeur Didier Raoult, des patients atteints de la Covid-19 se voient désormais demander de régler des frais d’hôpital pouvant aller jusqu’à 4 000 euros. Dans le détail, il est facturé aux patients 1 264 euros pour chaque « hospitalisation de jour » à l’IHU de Marseille, dont 506 euros seulement pris en charge par la Sécurité Sociale, le reste étant aux frais du patient ou de sa mutuelle, à condition qu’il en ait une.
1 264 euros pour 20 minutes de prise en charge
1 264 euros, c’est le prix forfaitaire d’une hospitalisation de jour (HDJ). En principe, comme son nom l’indique, une HDJ implique que le patient se voit réserver une chambre et bénéficie d’une collation le midi, mais ne reste aucune nuit à l’hôpital. Le problème étant que, selon les nombreux patients de l’IHU interrogés par le journal Libération et à qui il est désormais demander de régler ces factures importantes, ils n’ont pas réellement été hospitalisés.
En effet, la plupart décrivent une prise en charge de seulement 20 minutes en cumulé comprenant une prise de sang, un électrocardiogramme, une consultation et enfin la délivrance de l’inévitable hydroxychloroquine, médicament antipaludéen dont le professeur Raoult a défendu l’efficacité contre la Covid-19 pendant de nombreux mois en 2020.
L’observation des données statistiques démontrerait une utilisation massive des HDJ dans la région de Marseille. Ainsi, si le nombre d’HDJ pour infections respiratoires a fortement augmenté dans toute la France en 2020 en raison de l’épidémie de coronavirus, il a été multiplié par près de 500 à l’AP-HM, alors qu’on compte seulement 15 fois plus d’HDJ en Ile-de-France. L’AP-HM correspond ainsi à 40,8 % des HDJ pour infections respiratoires pratiqués en France en 2020, contre 1,1 % en 2019. Autre donnée particulièrement troublante : dans la région Paca, 98 % des hospitalisations courtes sont des HDJ, contre seulement 48 % en Ile-de-France.
L’hydroxychloroquine encore une fois au cœur de la polémique
L’utilisation de l’hydroxychloroquine à l’IHU de Marseille serait en cause dans ce nombre anormalement élevé d’HDJ. En effet, le 23 mars 2020, alors qu’un doute sur l’efficacité de ce médicament contre la Covid-19 subsistait, le gouvernement a pris un décret n’autorisant son utilisation pour les patients atteint du coronavirus qu’à l’hôpital. Ce serait donc pour respecter (ou contourner) ce décret, que l’IHU de Marseille aurait fait une utilisation « abusive » des HDJ.
Deux mois plus tard, tandis que les études négatives sur d’efficacité de l’hydroxychloroquine s’accumulent, le gouvernement publie le 27 mai 2020 un nouveau décret, toujours en vigueur, qui prévoit que l’hydroxychloroquine ne peut plus désormais être prescrits que dans le cadre d’un protocole de recherche.
Malgré cela, il semble que l’utilisation massive des HDJ à l’IHU de Marseille se soit maintenue. Le 12 février dernier, la Fédération hospitalière du PACA observait que la région comptait pour 56 % des HDJ pratiqués en France pour des patients Covid-19 !
Un cout financier important pour la collectivité
Le cout de ces facturations pourrait être important. Jusqu’à 25 millions d’euros déboursés par la Sécurité sociale, les mutuelles et les patients selon Libération. L’AP-HM se défend de tout enrichissement ou de surcout pour la collectivité. En effet, selon l’institution, cette surutilisation des HDJ ne ferait que compenser la baisse d’activité globale des hôpitaux marseillais, qui ont dû déprogrammer un grand nombre d’opérations du fait de la crise sanitaire. L’AP-HM explique même avoir consenti des « remises gracieuses » aux patients mécontents des frais de santé facturés.
Selon Libération, ces pratiques dérangeantes de l’IHU de Marseille auraient été signalées à l’Assurance maladie et à l’Ordre des médecins dès le mois de mai dernier. Mais la CNAM explique qu’à l’époque, « il avait été estimé qu’il n’y avait pas lieu à action ».
Quentin Haroche
IHU de Marseille : des facturations qui interrogent
Marseille, le vendredi 12 mars 2021 – L’IHU de Marseille aurait fait une utilisation excessive des hospitalisations de jour, conduisant à des facturations importantes pour les patients et/ou pour les organismes payeurs.
La note est salée. Pour avoir fait plusieurs passages à l’IHU de Marseille, désormais mondialement connu pour être le lieu d’exercice du professeur Didier Raoult, des patients atteints de la Covid-19 se voient désormais demander de régler des frais d’hôpital pouvant aller jusqu’à 4 000 euros. Dans le détail, il est facturé aux patients 1 264 euros pour chaque « hospitalisation de jour » à l’IHU de Marseille, dont 506 euros seulement pris en charge par la Sécurité Sociale, le reste étant aux frais du patient ou de sa mutuelle, à condition qu’il en ait une.
1 264 euros pour 20 minutes de prise en charge
1 264 euros, c’est le prix forfaitaire d’une hospitalisation de jour (HDJ). En principe, comme son nom l’indique, une HDJ implique que le patient se voit réserver une chambre et bénéficie d’une collation le midi, mais ne reste aucune nuit à l’hôpital. Le problème étant que, selon les nombreux patients de l’IHU interrogés par le journal Libération et à qui il est désormais demander de régler ces factures importantes, ils n’ont pas réellement été hospitalisés.
En effet, la plupart décrivent une prise en charge de seulement 20 minutes en cumulé comprenant une prise de sang, un électrocardiogramme, une consultation et enfin la délivrance de l’inévitable hydroxychloroquine, médicament antipaludéen dont le professeur Raoult a défendu l’efficacité contre la Covid-19 pendant de nombreux mois en 2020.
L’observation des données statistiques démontrerait une utilisation massive des HDJ dans la région de Marseille. Ainsi, si le nombre d’HDJ pour infections respiratoires a fortement augmenté dans toute la France en 2020 en raison de l’épidémie de coronavirus, il a été multiplié par près de 500 à l’AP-HM, alors qu’on compte seulement 15 fois plus d’HDJ en Ile-de-France. L’AP-HM correspond ainsi à 40,8 % des HDJ pour infections respiratoires pratiqués en France en 2020, contre 1,1 % en 2019. Autre donnée particulièrement troublante : dans la région Paca, 98 % des hospitalisations courtes sont des HDJ, contre seulement 48 % en Ile-de-France.
L’hydroxychloroquine encore une fois au cœur de la polémique
L’utilisation de l’hydroxychloroquine à l’IHU de Marseille serait en cause dans ce nombre anormalement élevé d’HDJ. En effet, le 23 mars 2020, alors qu’un doute sur l’efficacité de ce médicament contre la Covid-19 subsistait, le gouvernement a pris un décret n’autorisant son utilisation pour les patients atteint du coronavirus qu’à l’hôpital. Ce serait donc pour respecter (ou contourner) ce décret, que l’IHU de Marseille aurait fait une utilisation « abusive » des HDJ.
Deux mois plus tard, tandis que les études négatives sur d’efficacité de l’hydroxychloroquine s’accumulent, le gouvernement publie le 27 mai 2020 un nouveau décret, toujours en vigueur, qui prévoit que l’hydroxychloroquine ne peut plus désormais être prescrits que dans le cadre d’un protocole de recherche.
Malgré cela, il semble que l’utilisation massive des HDJ à l’IHU de Marseille se soit maintenue. Le 12 février dernier, la Fédération hospitalière du PACA observait que la région comptait pour 56 % des HDJ pratiqués en France pour des patients Covid-19 !
Un cout financier important pour la collectivité
Le cout de ces facturations pourrait être important. Jusqu’à 25 millions d’euros déboursés par la Sécurité sociale, les mutuelles et les patients selon Libération. L’AP-HM se défend de tout enrichissement ou de surcout pour la collectivité. En effet, selon l’institution, cette surutilisation des HDJ ne ferait que compenser la baisse d’activité globale des hôpitaux marseillais, qui ont dû déprogrammer un grand nombre d’opérations du fait de la crise sanitaire. L’AP-HM explique même avoir consenti des « remises gracieuses » aux patients mécontents des frais de santé facturés.
Selon Libération, ces pratiques dérangeantes de l’IHU de Marseille auraient été signalées à l’Assurance maladie et à l’Ordre des médecins dès le mois de mai dernier. Mais la CNAM explique qu’à l’époque, « il avait été estimé qu’il n’y avait pas lieu à action ».
Quentin Haroche
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans