Merci Natacha pour tes explications.
Les septièmes d'espèce, c'est un enfer pour les reconnaître. Sauf sur partitions.
Et on en vient à "la musique savante", notion que je déteste...
Merci Natacha pour tes explications.
Ah ok, je comprends mieux. C'est vrai que ça m'a surpris de voir des mi bémols, mais on pourrait voir ça comme des ornements aussi. Mais c'est vrai que quand j'entonne la mélodie, je vois plutôt des ré dièses.NatachaT a écrit : ↑vendredi 27 novembre 2020 à 12:28 Ah zut, pour la blague ratée : c'est simplement qu'écrit comme ça, ça n'a aucune cohérence tonale et mélodique. Ce sont des ré# et non des mi b, car nous sommes en la mineur dans cette pièce. C'est une écriture qui n'a pas de sens, où on fait seulement attention à ce qu'on entend (et encore dans un monde à tempérament égal...) et non à ce qu'on exprime, comme si j'écrivais : "je c'est que sais faut mais il faux le chanter" au lieu de "je sais que c'est faux mais il faut le chanter" : à l'oral, ça passe mais grammaticalement, ça n'a absolument aucun sens.
C'est ça que j'appelle la musique savante.NatachaT a écrit : ↑vendredi 27 novembre 2020 à 14:17 La sixte napolitaine est en fait - d'après ce que j'ai appris - une dominante de dominante (puisque le 2e degré de la tonalité principale est en fait le 5e de la tonalité de dominante de la tonalité principale : ex : Do M => dominante = Sol ; Sol M => dominante = ré qui se trouve être le 2e degré de Do M) mais dont on a accentué l'expressivité en l'abaissant d'un demi-ton (avec la fondamentale en sixte puisque au 1e renversement) donc pour moi, ça reste cohérent en matière de tonalité.
C'est intéressant.freeshost a écrit : ↑vendredi 25 décembre 2020 à 18:36 Les chansons que nous apprenions à l'école primaire pouvaient, pour la plupart, se jouer en gamme majeure sans utiliser les touches noires du piano.
Par exemple, celle-ci : une fleur m'a dit : c'est Noël aujourd'hui, une de mes préférées.
Comme je ne connaissais pas par cœur les paroles, à la place de celles-ci, je chantais "do-ré-mi, mi-fa-sol, fa-mi-ré, ré-do-ré..."