Etant donné que j'ai abdiqué tout engagement associatif officiel, ce sera un combat dans l'ombre, un peu comme le renseignement général.
Vous le savez comme moi mais la situation n'est pas au beau fixe pour les personnes autistes en ce moment et surtout en france dans un contexte de crise sanitaire, de crispation sociale et économique. Le gouvernement n'aide pas dans le sens ou il ne nous prends toujours pas comme des citoyens dignes d'intérêts mais des citoyens de seconde zone.
Vous savez aussi comme moi qu'il y'a des nomans land avec des adultes sans diagnostic en grande détresse diverse et avec des histoires difficiles doublés d'un rejet plus ou moins partiel de la société. Le terreau idéal pour quelq'un qui chercherait à embaucher de la main d'oeuvre pour ses basses besognes et déstabiliser le pays ou aussi quelqu'un qui éprit de colère voudrait se révolter .
Le problème d'aujourd'hui c'est que si il existe des raisons légitimes pour un adulte autiste de se révolter: il y'a révolte et révolte.
Et en particulier quand il y'a chois d'employer des moyens illégaux pour attenter à autrui: fabrication d'engins explosifs, utilisation d'armement , engagement dans des groupuscules de type armée nationaliste corse, GUD, ect...
Jusqu'à présent, je n'ai eut qu'un cas d'autiste radicalisé dans les fillières d'extrême droite identitaire avec des allégances claires et publiques aux waffen ss. Ses discours l'ont poussé face à la police nationale qui l'a recadré déjà sans qu'il y'eut à l'époque de besoin d'aller plus loin (c'était en 2009 à limoges et merci au commissaire qui l'as fait).
Mais aujourd'hui le contexte n'est plus le même.


Je travaille pour l'état mais hônnetement, je ne peux pas me supplier à un travail qui relève d'une part d'un tas de gens et aussi de la sûreté départementale...
Alors je me tourne vers vous tous et toutes et la présidence d'asperansa...
Que pouvez vous faire, ne pas faire?