).
Merci de ta réponse.
Il le sent très mal, tu penses !EnHans a écrit : ↑samedi 3 octobre 2020 à 13:58 Comment il le sent, ton fils, ce voyage seul en train ? Avec un bon livre, ça peut passer vite ? Tu lui laisses un téléphone et restes en contact constant avec lui, comme si tu étais avec lui. Tu mets une alarme 5 mn avant l'horaire d'arrivé. Tu peux aussi lui donner quelques recommandation comme ne pas aller aux wc... Et tu peux aussi, lorsque tu le laisses dans le train, demander aux gens de la même cabine de faire attention à lui.
).
Pour info : pas d'erreur 404 chez moi.
Oui, j'espère bien que c'est prévu !MlleHulotte a écrit : ↑samedi 3 octobre 2020 à 19:51 Est-ce que faire le trajet en train (ou autre trajet en train) avec lui au moins une fois avant qu'il ait à le faire seul ne pourrait pas limiter le stress ? ça fait moins de nouveau d'un coup.
Je comprends bien que tout cela le submerge. mais pourtant un jour, il sera obligé d'y être confronté. Donc il me semblerait plus judicieux de lui faire travailler le décryptage des émotions et de lui apprendre des techniques de relaxation . Et aussi le pousser à accepter et bien que les autres existent aussi même imparfaits!Marisol a écrit : ↑samedi 3 octobre 2020 à 14:32Il le sent très mal, tu penses !EnHans a écrit : ↑samedi 3 octobre 2020 à 13:58 Comment il le sent, ton fils, ce voyage seul en train ? Avec un bon livre, ça peut passer vite ? Tu lui laisses un téléphone et restes en contact constant avec lui, comme si tu étais avec lui. Tu mets une alarme 5 mn avant l'horaire d'arrivé. Tu peux aussi lui donner quelques recommandation comme ne pas aller aux wc... Et tu peux aussi, lorsque tu le laisses dans le train, demander aux gens de la même cabine de faire attention à lui.
Il a un téléphone, il se met dessus avec ses écouteurs et oui ça peux passer vite et bien se passer tout court.
Mais pas pour lui !
Impossible pour lui de ne pas aller aux toilettes surtout en cas de situation stressante.
Il lui est tellement arrivé de se retrouver enfermé dans les wc publiques que maintenant il ne ferme plus du tout
(mais des gens essaient d'entrer du coup parce que c'est "vert" sur la serrure
Les noeuds au cerveau sont déjà en action et en grande partie à cause de son père qui se déplace souvent.
Il lui raconte donc :
- les grèves
- les retards
- les arrêts inattendus
- les voisins de siège (qui puent, qui parlent trop, qui dorment sur lui ; qui existent, quoi !)
Toutefois, merci pour tes commentaires : c'est vrai que je peux rester en contact avec lui via le téléphone
(comme pour les courses pendant le confinement).
C'est comment le web sur les TGV? ça marche bien ? ou pas ? ou c'est variable ?
(j'ai pas pris le train depuis des lustres)
Oui, entièrement d'accord !Controleur a écrit : ↑dimanche 4 octobre 2020 à 11:02 Je comprends bien que tout cela le submerge. mais pourtant un jour, il sera obligé d'y être confronté. Donc il me semblerait plus judicieux de lui faire travailler le décryptage des émotions et de lui apprendre des techniques de relaxation . Et aussi le pousser à accepter et bien que les autres existent aussi même imparfaits!
Ca me fait penser au rejet du diagnostic de ma propre soeur par mon papa. en même temps un ado autiste qui a moultes choses à gérer si il a quelques raisons de constater que l'adulte ne veux pas le considérer comme il est mais une étiquette stigmatisante, ça n'ira pas. C'est ce qui se passait justement avec mon père en classe de quatrième, année ou justement les symptômes ont litteralement exploser dans un contexte scolaire instable et ou j'étais menacé d'être renvoyé avant que ma prof principal réalise ce que ça impliquait pour moi: balancer ma black list, expliquer une tentative de suicide au refectoire plus aussi aller écrire au substitut du procureur de la république ( je suis allé le voir en personne et bon les substituts sont pas aussi méchants qu'on le prétends) à l'inspection académique.Marisol a écrit : ↑dimanche 4 octobre 2020 à 11:42Oui, entièrement d'accord !Controleur a écrit : ↑dimanche 4 octobre 2020 à 11:02 Je comprends bien que tout cela le submerge. mais pourtant un jour, il sera obligé d'y être confronté. Donc il me semblerait plus judicieux de lui faire travailler le décryptage des émotions et de lui apprendre des techniques de relaxation . Et aussi le pousser à accepter et bien que les autres existent aussi même imparfaits!
C'est le manque de temps pour s'y préparer qui est angoissant.
Surtout que c'est une "grosse" année : stages, cfg, suite de scolarité (+ famille paternelle toujours pas raccord avec ses difficultés).
Il a déjà beaucoup de stress et de futures situations à envisager. Vraiment pas besoin de celle-là, en plus.
En plus, son père va lui en parler à chaque DVH et moi je vais passer beaucoup de temps à "déminer" ; au lieu d'être sur les autres sujets beaucoup plus importants (future scolarité, rien que ça).
Techniques de relaxation : son père a tenté par lui même avec pour résultat un rejet définitif de la part de notre garçon (comme pour le ski, la voile, le scrabble, ...).
