[Index Cinéma] Parlons de Jaws !

Pour les gens qui ont simplement envie de discuter sans souhaiter faire passer d'information particulière.
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Loner
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Loner »

Oui.
Ils ne sont pas du tout attirés par le sang humain. Par contre je n'en connais plus la raison. Je crois que j'avais lu une histoire de toxine. Faudrait que je réétudie le machin.

Bref les attaques de requins sur des humains sont assez rares et ne seront jamais gratuites.
Souvent c'est parcequ'il est emmerdé sur son territoire, comme beaucoup d'animaux d'ailleurs.
Et un surfeur fait beaucoup de bruits. Je pense que ça doit être pire avec le kite surf dont les mouvements sont beaucoup moins réguliers, donc plus dérangeants pour la faune marine.

Les requins sont plutôt des espèces de charognards qui attaquent des animaux marins malades ou déjà morts.

Donc pour revenir à JAWS, imaginer une course poursuite entre un requin et un bateau est tout bonnement impossible.
De toute façon, depuis le moyen-âge, le requin souffre d'une mythologie injustifiée..
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diegoc
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Re: Parlons de Jaws !

Message par diegoc »

Loner a écrit : samedi 4 juillet 2020 à 15:31
Ce qui est sûr, c est qu'ils sont sensibles aux bruits qu'ils perçoivent à des kilomètres. Si il y a peu de battement d'eau à l'approche d'un requin, c'est peu probable qu'il attaque.

Oui. Je crois que c'est grâce à un ensemble d'organes qui s'appellent les ampoules de Lorenzini qui leur permettent de percevoir les ondes de pression qu'émet tout objet en mouvement dans l'eau.

Youpi !!! Je sais citer un post de quelqu'un d'autre.
J'ai été diagnostiqué en 2012 à Cery, on m'a collé un Trouble Envahissant du Développement.
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Loner »

He he merci pour la précision et bravo pour la citation ^^

Voici une courte vidéo qui met en parrallele Hitchcock et Spielberg.
Bon on le savait mais j'aime beaucoup la manière dont les films les Oiseaux et Jaws s'inscrivent dans leur époque et l'histoire du cinéma hollywoodien.

PS : si quelqu'un sait comment faire pour qu on puisse voir la vidéo depuis ce post et non en lien, je suis preneur.




Modération (Tugdual) : Correction de balise (YouTube).
Modifié en dernier par Loner le dimanche 5 juillet 2020 à 22:15, modifié 4 fois.
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Curiouser »

Tuto pour vidéo Youtube
(en gros, il faut enlever le s du https)

Merci pour les précisions, Loner et diegoc ! (les ampoules de Lorenzini, oui !)
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Re: Parlons de Jaws !

Message par diegoc »

Excellent le petit comparatif sur les oiseaux d'Hitchcock et les dents de la mer de Spielberg.
J'ai été diagnostiqué en 2012 à Cery, on m'a collé un Trouble Envahissant du Développement.
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Tugdual »

Curiouser a écrit : dimanche 5 juillet 2020 à 12:31 (en gros, il faut enlever le s du https)
Non, il faut suivre le tuto à la lettre, la balise est un poil psychorigide...
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Loner »

Ben même avec le tuto, je n y arrive pas. Sans doute que c'est parceque j'utilise mon téléphone.
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Tugdual »

Loner a écrit : dimanche 5 juillet 2020 à 22:17 Ben même avec le tuto, je n y arrive pas. Sans doute que c'est parceque j'utilise mon téléphone.
L'URL que tu précises ne correspond pas au format attendu.

Autrement, la vidéo n'est pas mal...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Loner »

Un peu d'humour avec les teasers des 19 Jaws. Teaser parodique dénonçant en somme le saccage de la franchise.

Evidemment il n'y en a pas eu autant. Seulement 4.

Alors pourquoi 19?

Tout simplement du fait du clin d'oeil de Retour vers le futur 2, (produit par Spielberg) lorsque Marty se retrouve dans le futur et découvre l'affiche hologramme de JAWS 19 .
Robert Zemeckis a poussé le clin d'oeil encore plus loin puisque le réalisateur factice de Jaws 19 n'est autre que Max Spielberg (fils de Steven, encore enfant à l'époque de BTTF2)

Voici la scène en question :

https://youtu.be/HgFhZZ7emg4

Ainsi que le teaser des 19 Jaws ;)

https://youtu.be/Pl092whRLlI
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Loner »

Allez, toujours en humour avec des remontages de fan !! :)

"Tout le monde s'en fout de Quint"



"Personne n'aime Hooper".




Modération (Tugdual) : Correction de balise (YouTube).
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Loner »

Après le livre, le film....voici :
LA COMEDIE MUSICALE !!

https://youtu.be/9XgIuBCkTWI
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Loner »

Voici un article que je vous copie tel quel sur la naissance du blockbuster grâce à Jaws ! :)

https://www.telerama.fr/cinema/les-dent ... ,98578.php

En 1975, Steven Spielberg donne naissance au premier blockbuster de l'histoire du cinéma. Avec ce succès sans préméditation, il signe là le début d'une nouvelle ère. Tout au long du mois de juin, Télérama.fr décrypte l'actualité des blockbusters : l'invention du genre, l'eldorado du marché chinois, la foire aux effets spéciaux…

A l'orée des années 70, l'été n'est pas encore la saison des « blockbusters ». Loin de là. Si un correspondant du futur était venu expliquer aux dirigeants des studios hollywoodiens qu'un film comme Iron Man 3 pourrait sortir, le même jour de 2013, sur 4 253 écrans aux Etats-Unis, ils l'auraient sans doute pris d'assez haut.

Jusqu'à la fin des années 60 et l'apparition des salles climatisées, les chiffres sont clairs : les beaux jours ne poussent personne dans les salles et certains cinémas font même relâche pendant les vacances scolaires. Si l'on fait exception de quelques succès inattendus tels Bonnie and Clyde ou Easy Rider, l'été est la saison de la casse.

Comme l'explique une des « bibles » du business, George Lucas's Blockbusting, les films qui sortent en juillet ou en août dans plusieurs villes en même temps sont avant tout les « nanars » dont les studios veulent se débarrasser vite fait. La règle d'or est alors de privilégier les abords de l'hiver pour les productions prestigieuses, puis d'étoffer leur public progressivement, une ville après l'autre, en laissant un sas d'exclusivité aux exploitants qui se sont lancés les premiers.

Il ne faut qu'un film pour inverser le cours des choses. En juillet 1975, Les Dents de la mer, réalisé par Steven Spielberg, jeune cinéaste de 27 ans, sort (à peu près) simultanément sur près de 500 écrans en Amérique pour pulvériser les records de recettes réalisés par Le Parrain et L'Exorciste.

La machine est lancée. Deux étés plus tard, La Guerre des étoiles bat à son tour les records et Hollywood ne changera jamais son fusil d'épaule. Comme nombre de stratégies victorieuses, le lancement estival des Dents de la mer et la folie naissante des produits dérivés – serviettes de plages, bouées, tee-shirts à l'effigie du requin – sont pourtant le fruit d'un accident. Si tout s'était déroulé comme le rêvaient les dirigeants d'Universal Pictures, le film serait sorti six mois plutôt, en plein frimas, pour les fêtes de noël…

La production de ce « tube » est une de ces sagas infernales qui font battre le cœur de Hollywood. Dans son livre The Gross, Peter Bart, chroniqueur vedette sur le front des blockbusters, raconte qu'après s'être battu avec le scénario, le jeune Spielberg termine le tournage au bord de la crise de nerfs, sujet à de sérieuses attaques de panique, persuadé que sa carrière est déjà derrière lui et qu'on ne lui laissera plus jamais les clés d'un film d'importance.

“Je voulais réaliser un film qui laisse une trace.
Pas au box-office mais dans l'esprit des gens.”
Steven Speilberg

Les équipes sont restées mobilisées trois fois plus longtemps que prévu et il vient d'exploser le budget fixé par le studio. Les Dents de la mer coûte environ dix millions de dollars (l'équivalent de quarante millions aujourd'hui), ça n'est pas grand-chose en regard des sommes engagées en 2013, mais c'est infiniment plus que la mise envisagée par Universal.

La mécanique n'est pas très bien huilée. A l'époque, les « auteurs » font la loi à Hollywood et Spielberg veut imposer sa signature. Il a hésité avant d'accepter le scénario tiré d'un livre qui a passé presque toute l'année 1974 sur la liste des best-sellers. « Je voulais réaliser un film qui laisse une trace, a-t-il raconté à Peter Biskind pour son livre sur le Nouvel Hollywood. Pas au box-office mais dans l'esprit des gens. Je voulais être Antonioni, Bon Rafelson, Hal Ashby ou Scorsese. Tout le monde sauf moi. » Il accepte le défi commercial mais tient à une certaine part de vérité dans l'entreprise et insiste pour que l'on tourne en pleine mer, loin des piscines des studios. Il veut aussi des acteurs peu connus auxquels le public s'identifiera (« Le problème des stars, c'est le cortège de souvenirs qu'elles véhiculent avec elles.

Dés les premiers claps, le film quitte les rails d'une production confortable pour devenir une aventure qui n'est pas du goût de tous. Le requin mécanique (que Spielberg a rebaptisé « Bruce » comme son avocat Bruce Raymer connu, dans le monde du showbiz, pour sa rapacité féroce) montre d'inquiétants signes de faiblesse et ses circuits électriques s'adaptent mal à l'eau salée. La météo est évidemment capricieuse et le cinéaste, masquant son inquiétude, tourne à son rythme, sans emballement. Toute l'équipe est coincée sur l'île de Martha's Vineyard dans le Massachusetts et prend difficilement son mal en patience. La blague préférée des techniciens devient « Avec qui faut-il coucher pour quitter ce film ? »

Richard Dreyfuss annonce
que le film sera la “daube de l'année”.

Les acteurs ne se font pas non plus à ce tournage agité qui menace de s'éterniser. D'autant qu'ils ne croient pas à l'intérêt du film et n'ont pas une confiance illimitée dans la vision du réalisateur : « On a commencé le film sans scénario, sans acteurs et sans requin », ironise Richard Dreyfuss que Les Dents de la mer vont propulser en haut de l'affiche. Robert Shaw, le comédien vedette de L'Arnaque, se désolidarise même dans Time Magazine : « Les Dents de la mer, ça n'est pas un roman, juste une vague histoire écrite par différentes personnes, une vraie merde » Dans les mêmes colonnes, Richard Dreyfuss annonce que le film sera la « daube de l'année ».

Que se passe-t-il alors ? Dans l'adversité, Spielberg trouve des qualités de meneur de troupe qui feront de lui un des grands réalisateurs de son époque. Et les premières projections tests sont tellement bonnes que les producteurs décident de mettre le paquet. Ils choisissent une méthode qui n'a pas encore fait ses preuves à l'époque : une campagne intensive de spots publicitaires à la télévision. 700 000 dollars pour des « teasers » de 30 secondes qui saturent les ondes et font planer l'ombre du requin. « C'était un coup à tenter, raconte le producteur Mike Medavoy qui, à l'époque, travaillait à la promotion du film. Mais personne ne s'était préparé à ce que cela marche de la sorte. »

La bande-annonce, qui fait planer l'ombre du requin sur l'Amérique.

En quelques jours, des millions de personnes se précipitent pour voir le film. L'Amérique n'a d'yeux que pour le requin. La peur viscérale est un puissant moteur. D'autant que l'actualité fait « bien » les choses et qu'un requin carnassier se manifeste, dans les premiers jours de l'été, près de San Diego. Plus de 60 millions de spectateurs en un été, 260 millions de dollars de recette dans les seules salles américaines : l'ampleur du phénomène laisse Hollywood sans voix, mais rien n'a été laissé au hasard.

Les règles de la synergie sont déjà bien établies : le livre qui a mis le film sur orbite est en place dans toutes les vitrines, un même logo épingle la couverture et les posters. Le requin s'affiche partout et pendant tout l'été. Sur les maillots, les canots pneumatiques…

L'affiche et les produits dérivés, ingrédients indispensables à un bon blockbuster.
L'affiche et les produits dérivés, ingrédients indispensables à un bon blockbuster.

« L'invention du “blockbuster” (littéralement la bombe qui souffle d'un coup tout un pâté de maison) a bouleversé d'un coup les règles de notre métier, dit Mike Medavoy. La coordination d'une idée porteuse, d'un grand nombre de salles et d'un fort investissement marketing s'est mise à générer de tels bénéfices que les studios n'ont jamais cessé de chercher de nouveaux moyens pour créer l'évènement. On n'en est toujours pas revenu : aujourd'hui, il est difficile de convaincre un studio qu'il est possible de produire un film sans débourser des fortunes en marketing »

Dès les premiers mots du premier paragraphe, le livre Les Dents de la mer annonçait la couleur : « C'est ainsi que tout a commencé… »
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Loner »

Parceque c'est le 16 juillet (comme ça) , je vous offre le hit single JAWS !!!
Et ça groove !

https://youtu.be/52X2m6HcsWI
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Loner »

Je délaisse Jaws pour évoquer un film de requin (je rappelle que les shark Movie sont un sous genre du cinéma).
Il y a eu beaucoup de nanard depuis JAWS mais je dois reconnaître que celui là m'a particulièrement plu.

https://youtu.be/xGR4N6aIOLc

Instinct de Survie (The Shallow)

Pour résumer, c'est l'histoire d'une surfeuse prisonnière de la menace d'un grand blanc. Une sorte de huis clos en mer rappelant des films claustrophobes comme Gravity.

J'ai trouvé le film particulièrement cohérent concernant le squale.
Déjà, en image de synthèse, la physionomie est particulièrement réaliste.

Ensuite, la situation ne se déroule pas en pleine mer mais très proche du rivage. Ce qui correspond aussi à la réalité des requins qui peuvent attaquer à 1m de profondeur et 3 mètres du sable (ce qui est finalement très peu).
Le titre original Shallow signifie "peu profond"

Contrairement à JAWS dont la seule explication serait d'envisager un requin fou (cela avait été d'ailleurs suggéré lors des attaques de NewHaven en 1916) dans "the shallow , les attaques sur les humains ne sont pas gratuites.
Elles résultent de leur présence sur le lieu où se trouve la nourriture du poisson (à savoir une baleine semi dévorée qui flotte).
De fait l'instinct de survie du requin et de protection de sa charogne , le rend agressif vis à vis de qui s'aventure dans son sillage.

De fait, on est loin de JAWS où clairement le requin en veut aux humains (stupide à souhait )

Mais j'ai aimé surtout la première attaque sur la surfeuse qui répondait parfaitement aux processus connus des requins.
Il fait d'abord des cercles autour de sa proie, resserrant l'étau de plus en plus.
Puis il frôle de façon à blesser et en somme gouter..Et attaque si ça lui correspond.

Ce qui je le rappelle ne correspond pas à JAWS ou les attaque sont verticales et non circulaire.(mais bon Jaws est le meilleur de tous, mais pas sur la sociologie du requin evidemment)

Bref j'ai apprécié ce film parceque l'instinct de survie (titre VF) est aussi valable pour le requin que la surfeuse. Et aussi celui d'une mouette d'ailleurs.
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Re: Parlons de Jaws !

Message par Loner »

Pour vos soirées entre amis, le jeu de société JAWS !

https://www.trictrac.net/actus/les-dent ... n-cest-bon
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