Toutes discussions concernant l'autisme et le syndrome d'Asperger, leurs définitions, les méthodes de diagnostic, l'état de la recherche, les nouveautés, etc.
Lilette a écrit : ↑vendredi 5 juin 2020 à 14:12
Je ne comprends pas où est le problème en fait.
Rencontrer des spécialistes peut-être, j'en sais fichtre rien, je me désintéresse totalement de ce type qui n'est qu'un usurpateur, ça ne change rien au fait que SANS diagnostic, tu ne PEUX te prétendre autiste, lui ou un autre, ça n'est pas parce que c'est HH que forcément c'est différent pour lui.
Chacun dans le même bateau.
Ne te méprends pas
Je suis le premier étonné concernant ce monsieur. Je n avais même pas notion de son absence de diag avant que tu ne l evoques. D ailleurs à part sa médiatisation, je ne sais même pas qui il est. Je concerve le même point de vue que j ai évoqué plus haut qu il soit connu ou pas. A savoir que je réfute totalement.
J essaie juste de comprendre d'où lui vient l autisme. Et si comme tu le dis, il n a aucun diagnostic, oui c est de l usurpation.
Lilette a écrit : ↑vendredi 5 juin 2020 à 14:12ce type qui n'est qu'un usurpateur, ça ne change rien au fait que SANS diagnostic, tu ne PEUX te prétendre autiste
Jean a écrit : ↑samedi 7 avril 2018 à 20:02Hugo Horiot a expliqué que lorsque les journalistes lui ont demandé une preuve de diagnostic, il a fourni des films de son enfance.
Certains de ces films sont visibles dans des vidéos de ses conférences, et y on voit vraiment un autiste typique (langage haché, regard, démarche, etc. - ce qu'il décrit aussi dans L'empereur, c'est moi), même si maintenant il est probablement sorti des critères de l'autisme ("issue optimale" comme on dit).
Le voilà par exemple à l'adolescence, et il y a sans doute pas mal de gens ici qui à cet âge-là ressemblaient à ça:
TSA de type syndrome d'Asperger (03/2017) + HQI (11/2016).
4 enfants adultes avec quelques traits me ressemblant, dont 1 avec diagnostic TSA et 1 au début du parcours de diagnostic.
Lilette a écrit : ↑vendredi 5 juin 2020 à 14:12ce type qui n'est qu'un usurpateur, ça ne change rien au fait que SANS diagnostic, tu ne PEUX te prétendre autiste
Jean a écrit : ↑samedi 7 avril 2018 à 20:02Hugo Horiot a expliqué que lorsque les journalistes lui ont demandé une preuve de diagnostic, il a fourni des films de son enfance.
Certains de ces films sont visibles dans des vidéos de ses conférences, et y on voit vraiment un autiste typique (langage haché, regard, démarche, etc. - ce qu'il décrit aussi dans L'empereur, c'est moi), même si maintenant il est probablement sorti des critères de l'autisme ("issue optimale" comme on dit).
Le voilà par exemple à l'adolescence, et il y a sans doute pas mal de gens ici qui à cet âge-là ressemblaient à ça:
Ah ouais Youpi il a fourni des films.
Et il le fourni quand son diag ?
On passe notre temps à rabâcher ici que des traits autistiques ne font pas de nous un autiste pour autant, qu'il n'y a que le diagnostic comme preuve, et lui il fait une déclaration à la télé comme quoi en fait il n'a jamais été diag, et c'est suffisant pour le proclamer autiste ?
2 poids 2 mesures ?
Bah voyons.
Des vidéos ne sont pas preuves de diag, pas de diag pas d'assurance d'autisme, point.
Euh scusez moi j'ai pas tout compris. On a une personne non diagnostiqué qui s'auto proclame autiste mais qui a guéri mais qui en fait non n'est pas guerri? Parce que dans la vidéo il n'arrête pas de répéter "quand j'étais autiste" et il dit même qu'on peut en guérir.
Diagnostique par psychiatre : TSA avec HPI et trouble anxio-depressif chronique
Le 15/04/2019
Pré diagnostiquée TSA sans HPI le 24/05/2018
Lilette a écrit : ↑vendredi 5 juin 2020 à 15:29
Ah ouais Youpi il a fourni des films.
Et il le fourni quand son diag ?
On passe notre temps à rabâcher ici que des traits autistiques ne font pas de nous un autiste pour autant, qu'il n'y a que le diagnostic comme preuve, et lui il fait une déclaration à la télé comme quoi en fait il n'a jamais été diag, et c'est suffisant pour le proclamer autiste ?
2 poids 2 mesures ?
Bah voyons.
Des vidéos ne sont pas preuves de diag, pas de diag pas d'assurance d'autisme, point.
Ou encore Hugo Horiot, qui même si sa mère raconte que quand même il a tous les traits, n'est en fait même pas diagnostiqué
Ah oui ? C'est drôle dans mon souvenir, sa mère l'avait fait diagnostiqué dans le Petit Prince cannibale. Il faudrait que je relise ce bouquin.
https://informations.handicap.fr/a-hugo ... e-7673.php
Dans cet article, il mentionne quand même un diagnostic d' "autisme" par les médecin de l'époque à sa mère (c'est le souvenir que j'ai du Petit Prince Cannibale et aussi de Autisme J'accuse) même si on ne peut pas les comparer avec ceux aujourd'hui, étant données les avancées qui ont été faites.
J'ai aussi vu un article où il explique qu'il n'a pas été réellement diagnostiqué. A mon avis, si le mot "autiste" est prononcé dans les années 80, ce n'était pas à la légère (vu que à l'époque c'était une condamnation) et il y a de fortes chances qu'il entrerait toujours dans les critères DSM_V aujourd'hui.
Lorsqu'il parle de lui d'ailleurs en général il ne dit pas qu'il est autiste, en réalité. Si on écoute bien il parle de troubles autistiques, de neurodiversité psychologique et il rejette systématiquement l'autisme de Haut niveau et l'autisme asperger. Ce sont les journalistes qui empruntent des raccourcis. Pourquoi il ne se fait pas diagnostiquer de façon "officiel" aujourd'hui c'est vrai que c'est intéressant, comme question. Peut-être qu'il n'en voit pas le besoin.
Quoiqu'il en soit, pour moi il ne rentre pas dans la catégorie des auto-diagnostiqués. Il a reçu cette étiquette (peut-être pas un véritable diagnostic mais encore une fois c'était les années 80) petit, en se basant sur des comportements tout de même très marqués. Que ce soit son témoignage ou celui de sa mère, ils me paraissent assez probants.
Et ça ne discrédite pas ses interventions, ou son ouvrage Autisme j'accuse, qui est pour moi - que son auteur soit un "vrai" autiste ou pas - important pour la prise en compte de l'autisme en france.
Je veux savoir comment je m'y prendrais, moi aussi, pour être heureuse. Vous dites que cest si beau, la vie. Je veux savoir comment je m'y prendrai pour vivre." Anhouil
Euh scusez moi j'ai pas tout compris. On a une personne non diagnostiqué qui s'auto proclame autiste mais qui a guéri mais qui en fait non n'est pas guéri? Parce que dans la vidéo il n'arrête pas de répéter "quand j'étais autiste" et il dit même qu'on peut en guérir.
Ou encore Hugo Horiot, qui même si sa mère raconte que quand même il a tous les traits, n'est en fait même pas diagnostiqué
Ah oui ? C'est drôle dans mon souvenir, sa mère l'avait fait diagnostiqué dans le Petit Prince cannibale. Il faudrait que je relise ce bouquin.
https://informations.handicap.fr/a-hugo ... e-7673.php
Dans cet article, il mentionne quand même un diagnostic d' "autisme" par les médecin de l'époque à sa mère (c'est le souvenir que j'ai du Petit Prince Cannibale et aussi de Autisme J'accuse) même si on ne peut pas les comparer avec ceux aujourd'hui, étant données les avancées qui ont été faites.
J'ai aussi vu un article où il explique qu'il n'a pas été réellement diagnostiqué. A mon avis, si le mot "autiste" est prononcé dans les années 80, ce n'était pas à la légère (vu que à l'époque c'était une condamnation) et il y a de fortes chances qu'il entrerait toujours dans les critères DSM_V aujourd'hui.
Lorsqu'il parle de lui d'ailleurs en général il ne dit pas qu'il est autiste, en réalité. Si on écoute bien il parle de troubles autistiques, de neurodiversité psychologique et il rejette systématiquement l'autisme de Haut niveau et l'autisme asperger. Ce sont les journalistes qui empruntent des raccourcis. Pourquoi il ne se fait pas diagnostiquer de façon "officiel" aujourd'hui c'est vrai que c'est intéressant, comme question. Peut-être qu'il n'en voit pas le besoin.
Quoiqu'il en soit, pour moi il ne rentre pas dans la catégorie des auto-diagnostiqués. Il a reçu cette étiquette (peut-être pas un véritable diagnostic mais encore une fois c'était les années 80) petit, en se basant sur des comportements tout de même très marqués. Que ce soit son témoignage ou celui de sa mère, ils me paraissent assez probants.
Et ça ne discrédite pas ses interventions, ou son ouvrage Autisme j'accuse, qui est pour moi - que son auteur soit un "vrai" autiste ou pas - important pour la prise en compte de l'autisme en france.
Ah oui.
Il en parle dans son livre oui, quand il se présentait encore en tant qu'autiste, avant qu'il balance en direct à la télé qu'il ne l'est pas.
Il a annoncé ça bien après la sortie de son livre, je ne l'invente pas, dsl de décevoir des gens mais c'est comme ça, pas ma faute s'il a entourloupé tlm et que certains ont du mal à y croire.
C'est la même chose av RS, d'ailleurs ils sont amis, haha ..
Il faut que je répète encore ou pas ?
Oh purée, mais vous le faites exprès ou quoi ?
NON il n'est PAS diagnostiqué, années 80 ou pas (c'est mon année de naissance, je sais pertinemment qu'à cette époque là on ne posait pas de diag d'autisme), "un vague diagnostic" ce n'est pas un diagnostic concret, pas de diag --> pas de diag, auto diag et basta, c'est simple non ?
Ce qui est pour moi le plus dérangeant dans son "cas", c'est que sa mère ait "tout fait pour le "sortir de l'autisme" : j'ai lu Surtout ne me dessine pas un mouton de cette dernière (Françoise Lefèvre), et je n'ai pas apprécié ses outrances de style, ni sa manière de parler de l'autisme, même si dans ce roman Hugo apparaissait clairement autiste. J'aimais bien ce qu'il avait l'air d'être, mais pas la manière de sa mère d'en parler. Déjà ce truc de "petit prince", bof, ça fait enfant-roi.
lilette a écrit :Oh purée, mais vous le faites exprès ou quoi ?
NON il n'est PAS diagnostiqué, années 80 ou pas (c'est mon année de naissance, je sais pertinemment qu'à cette époque là on ne posait pas de diag d'autisme), "un vague diagnostic" ce n'est pas un diagnostic concret, pas de diag --> pas de diag, auto diag et basta, c'est simple non ?
Je suis pas désolée, ou déçue d'avoir été "entourloupée" comme tu dis. Je n'ai pas non plus remis en question tes propos. J'ai dit comment je ressentais les choses. J'entends ta remarque néanmoins je n'y adhère pas, ne la considère pas comme une véritable inaliénable, c'est mon droit.
Je n'apprécie pas du tout ce ton et cette arrogance. Tu as ton point de vue sur la question, je le respecte. Il me semble que j'ai été très courtoise. Je ne te demande pas d'adhérer au mien (tu n'es même pas obligée de le lire), mais de le respecter. Merci de calmer ton agressivité.
lulumae a écrit :
Ce qui est pour moi le plus dérangeant dans son "cas", c'est que sa mère ait "tout fait pour le "sortir de l'autisme" : j'ai lu Surtout ne me dessine pas un mouton de cette dernière (Françoise Lefèvre), et je n'ai pas apprécié ses outrances de style, ni sa manière de parler de l'autisme, même si dans ce roman Hugo apparaissait clairement autiste. J'aimais bien ce qu'il avait l'air d'être, mais pas la manière de sa mère d'en parler. Déjà ce truc de "petit prince", bof, ça fait enfant-roi.
Je n'ai pas lu ce second roman mais j'avais beaucoup aimé le petit prince cannibale. Je ne suis pas choquée par le terme, pour moi il ne s'agit pas de l'enfant roi mais plus du petit prince de saint Ex' ! Mais en effet le roman fait résonner des choses différentes en chacun. Je sais juste que le roman (lu très jeune) m'avait bouleversée, avec notamment la scène du supermarché qui me trotte encore dans la tête (si tu ne t'en souviens pas c'est pas grave... sache que dans dirty dancing la seule chose qui me reste c'est la scène de l'avortement et que 99 % des gens à qui j'en parlent n'en ont aucun souvenir )
Ce qui me gêne dans tout ça, c'est cette manière qu'elle a de se valoriser, de se légitimer à travers l'autisme de son fils, je trouve ça malsain.
Je ne l'avais pas remarqué non plus. Après j'ai quand même l'impression que c'est monnaie courante (les livre-témoignage /blogs/compte insta retraçant les vies de parents d'enfants autistes, comme des sortes de héros , sont légions et ils me mettent très mla à l'aise aussi... pas parce que les parents ne méritent pas un peu de reconnaissance mais parce que j'y vois une sorte d'instrumentalisation d'enfants qui n'ont pas donné leurs consentements pour que chaque instant de leur vie soit montrés à des inconnus)
Je veux savoir comment je m'y prendrais, moi aussi, pour être heureuse. Vous dites que cest si beau, la vie. Je veux savoir comment je m'y prendrai pour vivre." Anhouil
J avais un cousin diagnostiqué autiste dans les années 80 et c est sûr qu'entre lui et moi, à l'epoque , je n'aurais jamais imaginé que ce qualificatif pouvait me correspondre, quand bien même j etais décalé. Parceque je parlais, communiquais et ne me frappais pas...
Heureusement, ça s'est affiné et s affirme davantage maintenant.
Antigone a écrit : ↑vendredi 5 juin 2020 à 17:04
Je n'ai pas lu ce second roman mais j'avais beaucoup aimé le petit prince cannibale. Je ne suis pas choquée par le terme, pour moi il ne s'agit pas de l'enfant roi mais plus du petit prince de saint Ex' ! Mais en effet le roman fait résonner des choses différentes en chacun. Je sais juste que le roman (lu très jeune) m'avait bouleversée, avec notamment la scène du supermarché qui me trotte encore dans la tête (si tu ne t'en souviens pas c'est pas grave... sache que dans dirty dancing la seule chose qui me reste c'est la scène de l'avortement et que 99 % des gens à qui j'en parlent n'en ont aucun souvenir )
Dans ce roman, je me souviens d'une scène où il a peur de descendre l'escalier, mais pas du supermarché. Il est vrai que le titre et la référence au mouton évoque certainement le Petit Prince... Disons que je la trouve lyrique sur la différence de son fils, mais ensuite elle ne le prend pas vraiment comme il est, elle veut changer son autisme en quelque sorte. Ca me dérange ce côté glorification de l'enfant venu d'ailleurs, pour finalement vouloir qu'il soit autrement.
Après j'ai quand même l'impression que c'est monnaie courante (les livre-témoignage /blogs/compte insta retraçant les vies de parents d'enfants autistes, comme des sortes de héros , sont légions et ils me mettent très mla à l'aise aussi... pas parce que les parents ne méritent pas un peu de reconnaissance mais parce que j'y vois une sorte d'instrumentalisation d'enfants qui n'ont pas donné leurs consentements pour que chaque instant de leur vie soit montrés à des inconnus)
Pas faux. J'ai été plus sensible sur ce qu'elle disait de sa "vie" (plus exactement du fait de ne pas avoir de vie), en tant que femme et écrivain.
"ne pas avoir de diagnostic"
pour ma part, ça peut recouvrir deux situations très différentes l'une de l'autre.
soit parce que la personne n'a pas cherché à savoir si elle est concernée ou personne n'a cherché pour elle
ou bien parce qu'une démarche "valable" a été engagée et les spécialistes ont décrété que la personne "n'est pas concernée" .
Dans le premier cas, cela n'est absolument pas synonyme à tous les coups que cette personne "n'est pas concernée".
Beaucoup de gens vivent sans se savoir porteur d'une maladie, ou concerné par un trouble dys, ou que sais-je encore...
ils ne sont pas diagnostiqués, mais ça ne veut pas dire qu'ils ne sont pas concernés!
Si la personne s'autoproclame concernée, je comprends que ça pose problème, méfiance etc etc (mais ça n'indique pas à 100% qu'elle n'est pas concernée! sauf si des spécialistes ont effectivement conclu que non.)
Spoiler :
j'ai attendu 38 ans de ma vie pour qu'on me diagnostique une maladie auto-immune.
Est-ce que pour autant avant cela, on aurait pu dire que je n'étais pas concernée?
bon, évidemment, je ne criais pas sur tous les toits être concernée puisque j'ai appris l'existence de cette maladie lors du diagnostic.
Mais concernée je le suis, depuis ma naissance.
autre chose qui revient telle une ritournelle apaisante pour certains, qui s'auto-persuadent ainsi encore plus en martelant ça à toutes les sauces, alimentant leur propre boucle où ils se complaisent:
certaines (pas toutes!!) personnes non TSA peuvent nous apprendre des choses sur le TSA. Je n'écris pas que c'est toujours le cas, j'écris que cela arrive.
Les professionnels qui ont diagnostiqué mon fils, m'ont beaucoup appris sur le TSA et sur son fonctionnement à lui. Ils ne sont pas eux mêmes autistes ...idem pour les professionnels qui le suivent. J'ai rencontré en conférence Mme Barthélémy qui a écrit des livres, je n'ai pas l'impression qu'elle soit autiste elle même...et si je ne partage pas tous les propos qu'elle a tenus (entre langue de bois politiquement correcte et amalgame surprenant de la part d'une spécialiste qui a l'époque en tant que femme dans un univers très masculin, a osé remettre en cause l'emprise de la psychanalyse dans le domaine, "les TSA sans DI vont trouver du travail en informatique", j'avoue qu'elle m'a aussi déçue, je ne pense pas pour autant que c'est parce qu'elle n’est pas autiste!).
J'ai même rencontré une personne qui n'est pas autiste, dont le fils né en 1990, "présente des signes similaires à" (pas de diagnostic) et cette personne m'aide aussi beaucoup à comprendre mon fils qui lui est diagnostiqué par un CRA.
Bien entendu je comprends que des personnes qui disent être TSA qui écrivent des bouquins là dessus et qui finalement avouent ne pas l'être, on peut sérieusement se poser des questions sur ce qu'elles écrivent, mais également prendre du recul et constater que dans ces écrits, tout n'est peut-être pas à jeter...parfois oui, parfois non!
et de même certaines personnes avec TSA peuvent raconter des âneries sur le TSA ou ... ne pas en raconter et nous apprendre à nous parents, beaucoup de choses utiles pour comprendre notre proche concerné.
C'est ici sur le forum que j'ai trouvé beaucoup d'informations, notamment de maman elles mêmes TSA...mais je lis aussi très souvent des choses ridicules, écrites par des personnes, diagnostiquées ou pas!
il faut croiser les sources, prendre du recul...
maman d'un jeune homme diagnostiqué avec TSA.
"Caminante, no hay camino, se hace camino al andar." Antonio Machado