[Index Jeux] Jeu d'écriture : Pour jouer sur les maux !

[Dehlynah]

Après la Mère morte et les larmes (on peut pleurer toutes les larmes de son corps dans la Mer morte, personne n'y verra que du feu) on passe au Hot
Bien aimé ton Néant moins...
Tiens d'ailleurs, mon médecin à qui je disais souvent "J'ai la nausée" me répondait "et les mains sales" (salées plutôt).

[freeshost]

Toute foi, est-elle vouée à une crise ?

Ce pan dans ma maison est solide.

[Dehlynah]

Il faut juste éviter la crise-passion,
car se pendant, il a détruit ma maison.

[Bubu]

Je t'envoie un caramel mou par fax. En espérant que ça te fasse du bien.

[freeshost]

Nous parlions de mangé épicé, fort, scharf, hot, picante.

Une personne me dit qu'elle aime bien manger épicé, mais pas en même temps.

Je lui réponds que le chasseur aime bien manger salé.

Et vous, connaissez-vous une personne qui aime manger salé épicé ?

[freeshost]

Que de choux chouchous qui reposent leurs genoux comme des cailloux sur des joujoux aux allures de hiboux aux yeux de bijoux.

[Bubu]

Que de choux chouchous qui reposent leurs genoux comme des cailloux sur des joujoux aux allures de hiboux aux yeux de bijoux.

Tu as appris les différents mots qui au pluriel se terminent par un x. Bravo ! .
A part cette petite blagounette, je ne connais pas de jeux de mots, et cet art m'insupporte.
C'est faible.

Elabore plutôt des histoires drôles, avec des jeux de mots, car je suis intimement convaincu que tu peux le faire. (Vulgairement, t'es très très loin d'être con, et je te respecte et te lis avec passion)

[freeshost]

Trump le flambeur a de la peine à passer le flambeau.

[Curiouser]

Trump le flambeur a de la peine à passer le flambeau.

[Clovis]

En France on a eu un Flanby eux ils ont eu un flambeur rance, on reste dans le laitage.

N'empêche qu'il vient de se prendre une belle tarte, le flambeur. Avec force lardons, crème fraîche, fromage blanc (appellation d'origine KKK contrôlée) et oignons, bien sûr, ça c'est pour lui tirer quelques larmes. Bien gratinée la tarte, sans vouloir en faire tout un fromage pas sûr qu'il la digère si facilement...

[freeshost]

Aux États-Unis, il y a une personne AOC : Alexandria Ocasio-Cortez !

[freeshost]

Mon premier est le deuxième du Christ.

Mon premier est le cinquième du deuxième.

Qui suis-je ?

Vincent !

Bref, je ne fais pas les choses à moitié. Je me coupe en quatre pour ne récolter que des bribes tel le tiers-État.

[freeshost]

Le pire aîné est loin des graines de lin pendant que le nord mendie et fait la manche, même si l'île est vilaine.

On dit que qui dort dîne. Le sommeil est d'une valeur estimable. Car qui dort comme un loir sait que le loir est cher. Et les émotions, ça creuse. En somme, il est l'heure de se régaler dès la première gare, qu'on orne alors d'un énorme festin.

Parfois, il fait doux. Tantôt, ça se corse. Mais il gère, ce héros, même s'il jura ne jamais prendre l'eau, ni perdre les eaux. Qu'elle est haute, sa voix ! "Qu'ils y viennent !" Et sonnent les mots !

Alors ne loupez pas la départementale. Car la paix, rit, féerique.

[Fluxus]

Pourquoi ce fil me fait penser à :

"En-chantier, je m'appelle-teuse ! Et moi-ssonneuse. Et toi-ture. Et lui c'est-cateur !" ?

[Aby]

Excellent comme toujours, Freeshost !
(pourquoi ne pas avoir écrit "les pires ainés" ?)

Un texte que j'avais relevé, d'un illustre inconnu

"Les problèmes des boulangers sont croissants
Alors que les bouchers veulent défendre leur steak
Les éleveurs de volailles se font plumer
Et en ont assez d’être les dindons de la farce
Les éleveurs de chiens sont aux abois
Les pêcheurs haussent le ton
Et bien sûr, les éleveurs de porcs sont dans la merde
Les céréaliers sont sur la paille
Alors que les brasseurs sont sous pression
Les viticulteurs trinquent
Heureusement, les électriciens résistent
Mais pour les couvreurs, c’est la tuile
Certains plombiers en ont ras-le-bol
Et les autres prennent la fuite
Chez Renault les salariés débrayent
Et la direction fait marche arrière
A EDF, les syndicats sont sous tension
Mais Proglio ne semble pas au courant
Les cheminots voulaient garder leur train de vie
Mais la crise est arrivée sans crier gare
Les veilleurs de nuit vivent au jour le jour
Et les carillonneurs ont le bourdon
Les ambulanciers ruent dans les brancards
Pendant que les pédicures travaillent d’arrache-pied
Les croupiers jouent le tout pour le tout
Les cordonniers sont mis à pied
Les dessinateurs font grise mine
Les exterminateurs ont le cafard
Des militaires partent en retraite
Et les policiers se sont arrêtés
Les imprimeurs dépriment
Les météorologues aussi sont en dépression
Les pendus sont sur la corde raide
Les prostituées se retrouvent sur le trottoir
C’est vraiment une mauvaise passe…"