C'est un ouvrage jeunesse et non pas un traité sur l'autisme, c'est ça qu'il faut garder en mémoire. C'est pour ça que je ne comprends pas les attaques des critiques. Douglas Kennedy ne s'est jamais présenté comme un psychiatre.Je pense qu’il faut vraiment se dire que c’est un ouvrage jeunesse comme tu l’expliques,
Que le critiques discutent sur le style, les personnages, les illustrations éventuellement... c'est normal c'est leur boulot. Par contre, je ne vois pas en quoi ils sont plus légitimes que l'auteur pour décréter si Aurore est autiste ou non.
Et les remarques sur le fait qu'elle lise dans les yeux, et bien il faut relier elle dit lire derrière le regard. Pour moi ça traduit juste une hypersensibilité, la capacité à ressentir plus fortement que les autres certaines choses. Ceux qui pensent qu'un autiste n'en serait pas capable sont bien mal informés...