@Marisol, tu mets ça en très gras, on dirait que tu cries.Marisol a écrit : ↑lundi 9 décembre 2019 à 14:13Suis-je dans l'erreur ? Il s'agit d'assistant/e sexuel, non ?lulamae a écrit : ↑lundi 9 décembre 2019 à 13:28 Il y a aussi ça :
Autant il me paraît louable de mentionner l'apprentissage des codes de la séduction (encore qu'apprendre à déguiser un besoin sexuel derrière des marques d'intérêt pour l'autre s'apparente à de la manipulation en bonne et due forme, mais on peut dire que c'est le jeu, du moment que les personnes qui s'y prêtent sont informées et consentantes), autant la référence à la prostitution, j'ai du mal : enfin, on sait bien que les réseaux de prostitution sont une forme de trafic humain ! Si on légifère sur la légalisation de la vente du corps d'autrui, qu'est-ce qu'on légitime ensuite ? La pédo-prostitution ? Je suis volontairement choquante, mais j'aimerais bien qu'on m'explique quel pourcentage de prostitué(e)s vendent leur corps par pure vénalité (en encaissant la totalité du bénéfice) et sans dommages aux personnes concernées. Parce que des syndromes de stress post traumatique, on doit en trouver des paquets chez les travailleurs/ses du sexe…Mouton Divergent a écrit : Je souhaite qu’à l’avenir soient prises des mesures concrètes par les pouvoirs publics pour nous permettre d’avoir une vie sexuelle, affective et amoureuse. Cela pourrait se traduire par la dépénalisation et légalisation des accompagnateur/trices sexuel/le/s avec des prix très raisonnables, le remboursement total par la sécurité sociale des coachs de séduction et des psychologues pour celles et ceux qui en expriment le besoin ; ou encore par l’individualisation des prestations sociales comme l’AAH pour les personnes en situation de handicap ou ayant simplement une particularité vivant en couple ; ou enfin des campagnes de sensibilisation sur le sujet afin que ce tabou soit levé une bonne fois pour toute, au sein de la société française.
Autant dire que je vais délaisser ce sujet, auquel je n'aurais même pas dû répondre. Ca me débecte !
Il me semble que cette fonction existe et est reconnue dans d'autres pays d'Europe.
C'est très légiféré, demande des connaissances et savoirs particuliers, lié aux handicaps... loin de la prostitution "de base".
Je ne connais ce statut que de loin, et pour tout dire, ça ne m'intéresse pas plus que ça. Toujours est-il qu'en France, quand on parle de prostitution, on n'est pas dans ce type de processus.
C'est très bien si c'est réglementé, mais dans les pays où on déréglemente et où sévit le tourisme sexuel, on voit ce que ça donne.
Je ne poursuis pas plus avant : je l'ai dit, l'exploitation des personnes pour le sexe n'est pas le sujet où il faut que je donne mon avis. J'ai tendance à être plutôt radicale dans le respect du corps de l'autre.
Peut-être que quand on a connu soi-même des abus, une des réactions peut être de n'avoir PAS DU TOUT envie que ce soit le cas pour PERSONNE.
Edit : je ne sais pas ce qui se passe avec la police de caractères, mais mon texte apparaît aussi en gras.