Je ne reste pas convaincue, et trouve qu'il y a beaucoup d'amertume dans ce jugement généralisant sur les femmes ; si je comprends bien, il s'agit de
certaines femmes, qui n'ont rien à voir avec une attitude féministe, mais qui n'ont pas envie d'être abordées lorsqu'elles sont avec leurs copines, ou par quelqu'un avec qui elles n'ont pas fait connaissance autrement que par la drague.
Vous décrivez des femmes neurotypiques qui réagissent par rapport à un mode d'entrée en relation différent : mais comment voulez-vous qu'elles se fassent une idée de quelqu'un qui les aborde en entrant directement dans le vif du sujet (le sexe) ?
Je ne crois pas être excessive en disant qu'une femme peut être patient(e) envers une personne et chercher à la comprendre si elle a un minimum un lien affectif avec cette personne, et que celle-ci représente quelque chose pour elle ; c'est ce qui s'est passé, @Mouton Divergent, avec les amies qui ont eu une relation sexuelle avec toi.
Et puis, pourquoi persister à vouloir aborder le même type de femme si c'est un échec ? Pourquoi ne pas changer de stratégie ? Toutes les femmes ne sont pas centrées sur l'apparence et/ou la réussite masculine, mais celles qui ont une mentalité qui vous conviendrait mieux et qui traiteraient les autres personnes avec respect, sont peut-être plus discrètes visuellement, attirent moins l'attention, ont peut-être moins de magnétisme sexuel. En outre, elles sont peut-être timides et auraient besoin d'être abordées comme des personnes, pour elles et non pour le sexe.
Il ne faut pas tout mélanger non plus : rencontrer une personne et se lier d'affection avec elle, c'est
la personne qui compte. Pour un besoin purement sexuel, où la personne est donc interchangeable, il est normal de demander du respect, mais l'affection n'entre pas en ligne de compte.
La meilleure solution était encore l'amitié sexuelle, sécurisante parce qu'on connaît la personne, mais ça peut ne pas durer toujours, les sentiments sont compliqués.
Diagnostic d'autisme juillet 2019.