cléa a écrit : ↑dimanche 1 décembre 2019 à 22:40
J'aime bien ce mode d'expression. Ça me fait penser a ma fille et moi. Parfois nous nous lançons des grognements lorsque il n'y a pas de mots et ça passe mieux que si nous devions l'expliquer.
Souvent nous en rions ensuite alors que si nous avions tenté un dialogue, nous peinerions à trouver le juste mot.
C'est original comme manière de communiquer, j'aime bien.
lulamae a écrit : ↑dimanche 1 décembre 2019 à 23:03
Lilette a écrit : ↑dimanche 1 décembre 2019 à 22:34
bah quand ça va pas ça va pas, pourquoi ?
Le smiley était peut-être mal choisi : en fait, c'était une remarque humoristique, parce que le grognement étendu m'a fait sourire, c'était comme une onomatopée de BD.
Fiston a passé le week-end complet chez son père ; a chaque fois il revient trop triste :
- Se fait fumer pour rien ou presque (la maladresse dans ses gestes, surtout) mais TOUT LE TEMPS.
- Fiston a aidé sa grand-mère à ranger des vieux trucs, elle lui a donné un petit billet. Bah son père lui a pris une fois rentrés chez lui ... mais la honte ! Et je ne vais rien pouvoir dire, sinon c'est Fiston qui prends (tu fayotes a ta maman).
Ras le bol de ce G**S C*****D de M***E qu'il est devenu (ou qu'il était déjà, mais qu'il cachait bien).
Des fois, j'ai vraiment envie de lui rouler dessus avec ma Titine et de bien repasser en marche arrière ...
ou alors une poupée Voodoo dans le fond du jardin.
Étant dans une période difficile ces temps-ci, on m'en demande beaucoup de trop dans mon travail. Le pire, c'est qu'on rejette la faute sur moi !!! C'est comme demander à une personne d'escalader un mur sans avoir appris avant d'escalader. Et on lui propose aussi plusieurs techniques d'escalade mais une seule est la bonne, que l'autre a en tête (sans le dire). Il faut vite choisir sa technique et escalader sinon on se fait marcher dessus et on se fait crier dessus.
Je suis en colère et épuisée par la situation. J'en ai plein le dos et je dois travailler tant au niveau scolaire que sur mes difficultés !!!
Suspicion d'autisme vers 3 ans sans démarches entreprises.
Suspicion de TSA-Asperger depuis le mois de janvier 2019.
Psychiatre : phobie sociale probable.
--> En cours de recherche de professionnel pour diagnostic
Lilas a écrit : ↑vendredi 6 décembre 2019 à 11:02
Contente d'apprendre, de la bouche d'un neuropsychiatre interviewé par France Inter, que les autistes n'ont pas d'émotions.
Marisol a écrit : ↑vendredi 6 décembre 2019 à 11:13
Lilas a écrit : ↑vendredi 6 décembre 2019 à 11:02
Contente d'apprendre, de la bouche d'un neuropsychiatre interviewé par France Inter, que les autistes n'ont pas d'émotions.
Lilas a écrit : ↑vendredi 6 décembre 2019 à 11:02
Contente d'apprendre, de la bouche d'un neuropsychiatre interviewé par France Inter, que les autistes n'ont pas d'émotions.
C’était un neuropsychiatre ? La scission entre les deux disciplines date de 1968, cette spécialiste n’existe plus.
Ils sont devenus psychiatres normalement.
Il est sans doute aussi obsolète que sa spécialité qui n’existe plus...
…C'est ainsi qu'il se présente partout sur Internet, mais le monsieur a 79 ans...…
Mais, il est suivit depuis le temps ?
J'espère…
Désolé, je ne devrais pas en rire,
c'est vrai que ça ne fait pas du tout rigoler
en pensant aux dégâts qu'il a dû faire sur toutes les personnes qu'il aura "diagnostiquées" avec ce genre de certitudes pendant tout ce temps.
Lilas a écrit : ↑vendredi 6 décembre 2019 à 11:02
Contente d'apprendre, de la bouche d'un neuropsychiatre interviewé par France Inter, que les autistes n'ont pas d'émotions.
C'est dans quelle émission ?
TSA suspecté par une psychologue spécialisée dans l'autisme
Jean-Michel Oughourlian, neuropsychiatre et... psychanalyste. Né en 1940, donc il a doit avoir eu son dernier aperçu de l'autisme en lisant Bettelheim dans un livre à l'encre encore fraîche.
(Diagnostiqué autiste en 2013, à 40 ans)
Papa d'un petit garçon autiste né en 2018
Je sème des cailloux, ils m'échappent des doigts,
Mais je prends bien garde qu'ils ne mènent à moi.