Jean a écrit : ↑mardi 19 novembre 2019 à 17:52
je ne suis pas sûr que ce soit judicieux dans la mesure où il n'est pas à l'origine de la mesure.
L'aide ménagère peut être demandée au CCAS, pas à la MDPH.
Par contre, une orientation vers un SAVS (service d'accompagnement à la vie sociale) me semble plus adaptée. C'est la MDPH qui décide, même s'il n'y a pas de demande explicite de l'intéressé.
Ce serait une suggestion à faire à l'assistante sociale de la MDPH, et cela pourrait se faire à l'occasion du renouvellement de son AAH. Signaler à l'assistante sociale qu'il y a un risque de rupture de droit.
Merci de rebondir là dessus.
L'assistante sociale de la MDPH m'a envoyé promener, pas d'infos à me donner sur "ce monsieur" comme elle écrit...
Elle a changé de manière de m'écrire dans son mail, ce refus de lien est nouveau de sa part.
J'imagine que c'est parce qu'elle a vu le gaillard... et qu'il lui a dit qu'il ne voulait plus entendre parler de moi. ça me semble le plus vraisemblable. Confidentialité, j'veux bien, mais bon, dans le cas présent, c'est nul.
Il est gonflé. Après tout ça. Et je suis caution, quand même, et il rompt tout. Comment il peut demander à quelqu'un d'être caution en le chassant de sa vie ? Bon, enfin...
L'aide ménagère, il n'en voulait pas. Par le CCAS pour en trouver une, oui, mais MDPH pour aide financière dans ce but.
Je n'ai aucune idée de ce qu'il a choisi avec l'assistante sociale.
Pour le SAVS, vu sa réaction envers moi, je ne sais pas si elle s'est rendu compte de ce dont est capable l'énergumène...
Pour l'instant, je prends de la distance.
Mais je suis certaine que l'état de l'appart va coincer à un moment ou à un autre. Pour sa santé, tant pis pour lui, malheureusement, j'ai pas envie de batailler.
Je sais que c'est horrible de lui imposer une demande de prise en charge par le tribunal, tutelle ou autre. Et c'est contre mes principes aussi. C'est pour ça que je laisse traîner...