
L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Hé bien, ce " on " se trompe.... 

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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Je ne perd plus mon temps à lire Baron-Cohen
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Voilà une solution radicale et efficace Emmanuel.!!! 

Murielle,
Maman de Pauline 21 ans,Léo (asperger) 17 ans et demi .
Savoir profiter du moment présent ,
Savoir vivre pleinement chaque instant et ne pas uniquement penser aux jours à venir, voilà un défi à relever maintenant.
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Moi, je suis sceptique sur la notion de cerveau masculin.
Si le cerveau masculin n'existe pas, celà n'a pas de sens de le rapprocher de l'autisme.
Si le cerveau masculin n'existe pas, celà n'a pas de sens de le rapprocher de l'autisme.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
L'article m'a étonnée, pour autant je ne prends pas la défense ou non du sujet



Maman d'un petit bonhomme extraordinaire 
"On a deux vies, et la deuxième commence quand on se rend compte qu'on n'en n'a qu'une" - Confucius

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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Il semble bien, de plus en plus d'études semblent rapporter qu'on "loupe" la plupart des femmes autistes.Jonquille57 a écrit :Il y a peut-être plus d'hommes concernés car ils sont peut-être plus facilement diagnosticables... ( je ne sais pas si ce mot existe...), non ?
Modifié en dernier par Ole Ferme l'oeil le vendredi 10 décembre 2010 à 14:54, modifié 1 fois.
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Ce qui fait que toutes les statistiques sont faussées.... 

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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Être dépourvu de sentiment et être autiste me semblent incompatibles... enfin il faudrait encore que l'on se mette d'accord sur une définition de ce que sont les "sentiments"Jonquille57 a écrit :
nous serons tous des singes savants ( pardon, des humains savants ) dépourvus de sentiments ? Et serons-nous tous autistes ?
C'est sûr que je manque tellement d'imagination !Jonquille57 a écrit : Et que dire de l'imagination de Gilles Tréhin qui a conçu sa ville ( Urville ) ? Ne dit-on pas que les autistes manquent d'imagination ?![]()

à noter que même les auties à l'esprit ultra-scientifiques... comment dire, je rappelle qu'une certaine forme d'imagination est nécessaire pour faire des mathématiques
Ah, ça te fait aussi cet effet à toi?, je me sens moins seul!Jonquille57 a écrit :Bref, beaucoup de choses intéressantes dans cette vidéo, mais pour moi, la généralité me dérange toujours autant : c'est ramener l'être humain à un sujet scientifique que l'on explore pour mieux le comprendre... Intéressant, certes, mais un peu angoissant tout de même... pour l'avenir de l'humanité.
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Moi non-plus!Jonquille57 a écrit :Voilà encore une fois pourquoi je n'aime pas les généralités....
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Je suis à priori d'accord avec toi, Olé, mais quand on entend Temple Grandin, ce n'est pas l'impression que l'on a....Ole Ferme l'oeil a écrit : Être dépourvu de sentiment et être autiste me semblent incompatibles...
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Exact hélas, les deux gros cliché de l'autisme:omega a écrit :Ca fait partie du folklore de l'autisme... que tout bon reportage doit illustrer, sinon il n'a pas traité le sujet. C'est ce que "les gens" veulent voir de l'autisme, ou qu'"on" croit qu'ils veulent voir.Jonquille57 a écrit :Il faut juste dire que les personnes autistes montrées dans la vidéo paraissent un peu sous cette forme : savants ( et impressionnants ! ) mais fermées aux sentiments...
1. L'aspie brillant (toujours au masculin, sauf quand on veut ajouter une touche d'exotisme en exhibant un de ces "rares" spécimens au féminin (mais bien sûr à l'esprit "hyper-masculin"!)) juste un peu nerd ou passionné par la science qui réussit toujours à l'école parce qu'il est "super intelligent", mais qui pour son grand malheur ne sait pas comment se tenir en public, est assez égocentrique et n'y comprend rien aux sentiments des autres.
2. l'autiste "de bas-niveau" qui n'apprend jamais rien, ne peut communiquer en aucune manière passe sa vie à se balancer et se cogner la tête contre les murs.
En fait ce mélange entre ces idées qu'il y a plus de garçons que de filles autistes et que le cerveau autiste soit "hyper-masculin" semble être ce que les anglophones appellent une "self-fulfilling-prophecy"... comme le cliché entre dans la tête des proffessionnels faisant le diagnostique, ils tendent à ne pas diagnostiquer tous ceux qui ne collent pas au cliché!
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Oui.Jonquille57 a écrit :Hé bien, ce " on " se trompe....
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Il a l'air sympa le Simon, à priori il est pour l'idée d'une description du cerveau autiste qui ne soit pas ultra-négative.emmanuel_data a écrit :Je ne perd plus mon temps à lire Baron-Cohen
Mais il semble qu'il y ait un si grand nombre de trucs qui posent problème dans ses théories et leur "science", que ça casse pas mal les pieds de la plupart des personnes dont je lis le blog.
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Entièrement d'accord avec toi Jean.Jean a écrit :Moi, je suis sceptique sur la notion de cerveau masculin.
Si le cerveau masculin n'existe pas, celà n'a pas de sens de le rapprocher de l'autisme.
Il semble y avoir tant de confusion entre la notion de sexe et celle de genre.
Et j'ai l'impression qu'un certain nombre de "scientifiques" ont de la peine à reconnaitre combien la construction des "genres" semble tenir d'avantage d'une construction sociale que d'une vérité biologique.
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Tu vois, Olé, tout ce que tu écris me conforte dans l'idée qu'il faut se méfier de tout ce que l'on peut lire ou entendre à propos de l'autisme : qui croire, comment faire la part des choses, comment se faire une idée perso ?
Au début du diag de Mysterio, je me suis lancée à corps perdu dans la documentation sur l'autisme, comme certainement tous les parents. Mais plus le temps passe, plus je me dis que c'est un truc qui n'a pas grand chose à voir avec la réalité. Les scientifiques ont chacun leurs idées, mais finalement ont beaucoup de lacunes. Cela me fait penser aux politiques qui regardent le monde derrière une vitre... Ce qui importe, c'est le chemin que prend chaque personne pour avancer selon ses propres aspirations.
Au début du diag de Mysterio, je me suis lancée à corps perdu dans la documentation sur l'autisme, comme certainement tous les parents. Mais plus le temps passe, plus je me dis que c'est un truc qui n'a pas grand chose à voir avec la réalité. Les scientifiques ont chacun leurs idées, mais finalement ont beaucoup de lacunes. Cela me fait penser aux politiques qui regardent le monde derrière une vitre... Ce qui importe, c'est le chemin que prend chaque personne pour avancer selon ses propres aspirations.