Oui comme je disais ça aide au quotidien. Mais en cas d'invasion majeure c'est compliqué... quand je suis "trop loin" je n'arrive même pas a juste essayer de me relaxer. Je suis en "état d'alerte" constant et incapable de débranché ça... (surtout si c'est en rapport avec des conflits impliquant mes proches)Siobhan a écrit : ↑vendredi 10 mai 2019 à 13:47 Vider le cache, ça peut être une solution, mais parfois si dans une situation de vie le cache se rempli trop rapidement trop souvent ça n'est pas un super bon signe non plus...
Rester ou partir... La grande question vis-à-vis de ma formation en ce moment.
J'ai des projets pour la suite, mais il faut que je continue à expliquer la situation à mes proches, qui pour l'instant ne comprennent pas je crois (et le conflit que ça génère est un petit peu hardcore).
Je suis dans cette situation depuis cet été. Formation réussie difficilement mais avec succès, je me suis rétamée après 2 mois et demi de boulot...
Je ne sais pas ce que je dois faire. Je ne sais même pas pourquoi j'ai tout gâché (Je me suis "enfouie" en pleine nuit et j'ai envoyé ma démission... ).
Je pense réessayer une deuxième fois ailleurs dans de meilleurs conditions de travail pour être certaine car mon psy dit que je ne vois pas que j'étais maltraitée là-bas et que ça a eu une grosse part dans mon échec, ma famille aussi me le dit et ne comprend pas que je suis "bloquée" en ce moment. (Mon employeur de l'été dernier est au tribunal pour traite des êtres humains...)
Si c'est de nouveau la cata ce sera retour à la case départ "quoi faire de ma vie"... et "que faire de mes limites" ... J'ai du mal avec les limites que je me découvre, en fait c'est le pire pour moi dans cette histoire d'autisme vu que je cherchais à les dépasser au départ en allant de psy en psy... Mais comme je n'ai aucune confirmation pour l'instant j'ai peur de baisser les bras alors que je ne le suis pas...
J'ai l'impression que mon cerveau est une toupie depuis plus d'un an...