Bubu a écrit : ↑mercredi 24 avril 2019 à 19:57
Et j'agresse mes interlocuteurs, même s'ils ne m'agressent pas eux même. C'est une attitude défensive maladive. J'ai peur.
Je ne peux pas anticiper leurs dires, leurs dialogues, et je prends chaque parole comme une offense.
Alors que c'est faux. Je me sens dans un climat hostile. Il faudrait que je me défende.
Je ne sais pas comment me débarrasser de cette psychose. Qui n'est pas la paranoïa.
C'est juste que j'envisage chaque dialogue humain par la (et comme une) souffrance.
Je ne vois pas ça comme une psychose, ni comme de la paranoïa. Je fais la même chose, sans le vouloir, et en aimant pourtant les gens (enfin, en ayant l'impression de les aimer), et le neuropsychologue a appelé ça dans le bilan "déficit en théorie de l'esprit" et "style attributif négatif" (j'attribue des intentions négatives aux gens d'office).
Je trouve également difficile de pallier ça, je ne me rends pas compte la plupart du temps que je le fais !
Bubu a écrit : ↑mercredi 24 avril 2019 à 19:57
Il y a une chose qui me rend malheureux.
C'est que j'ai peur des gens, et je me place sur la défensive, même s'il n'y a pas d'agression.
De manière populaire, on appelle ça la paranoïa.
Même si c'est sans rapport avec la vraie maladie.
Et j'agresse mes interlocuteurs, même s'ils ne m'agressent pas eux même. C'est une attitude défensive maladive. J'ai peur.
Je ne peux pas anticiper leurs dires, leurs dialogues, et je prends chaque parole comme une offense.
Alors que c'est faux. Je me sens dans un climat hostile. Il faudrait que je me défende.
Je ne sais pas comment me débarrasser de cette psychose. Qui n'est pas la paranoïa.
C'est juste que j'envisage chaque dialogue humain par la (et comme une) souffrance.
Mais je ne suis pas animé par le complotisme, et je ne me suis jamais considéré comme une victime de complots.
Plus par une fatalité. Je suis un nul, et ils ont raison.
Dis-toi que tu es probablement stressé en public en France comme énormément de français seraient stressés en public dans un pays qu'il ne connaissent pas.
Dans cette situation là, une hypervigilance épuisante paraîtrait une attitude assez banale, pour ces personnes dans un pays qui leur est tout à fait étranger.
Au travail un collegue me dis bonjour avec un sourire , 1h plus tard il vient m'engeuler car j'ai fait une boulette la seule de la journee ce qui me rend malheureux c'est le questionnement ininterrompue dans ma tete du pourquoi il sourit et apres gueule, mon cerveau va toujours voir plus loin dans le sens ou la conclusion apres des minutes de reflexion c'est que : c'est moi le probleme? je deteste conclure une pensee par une question car beaucoup d'autres questions s"invitent c'est hyper epuisant.
non diagnostiqué , rendez vous chez le psychiatre prochainement .
Comme je te comprends, je vis très mal ces situations et je me rend compte que les gens font ça puis passent à autre chose. Mais je pense etre comme toi, je ne peux m'empécher de revivre l"évement, de culpabiliser… Ca épuise et ne sert à rien mais même en le sachant c'est impossible (pour moi du moins) de réagir autrement…
THPI, Asperger, dépression sévère et résistante depuis 3 ans
la folie est de toujours se comporter de la même manière et de s'attendre a un résultat different
A. Einstein
Bon, j'ai transféré les très nombreuses photos du Nikon D200, après avoir enfin acheté il y a deux jours le lecteur.
La plupart sont loupées : trop sombres ou trop claires.
M'a falloir prendre des cours sur la gestion de la lumière, les différents paramètres, les différents boutons de l'appareil, les significations des abréviations et des symboles sur les appareils.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
freeshost a écrit : ↑dimanche 28 avril 2019 à 18:11
M'a falloir prendre des cours sur la gestion de la lumière, les différents paramètres, les différents boutons de l'appareil, les significations des abréviations et des symboles sur les appareils.
Lire le manuel d'utilisation ?
Je rigole, mais j'ai horreur de ça !!
J'ai acheté l'appareil dans un magasin de ventes-achats. Il y avait juste l'appareil, la carte SD et le chargeur de batterie. Pas de mode d'emploi ni de lecteur de cette grosse carte SD.
Cela dit, c'eut été quand même une bonne affaire : deux-cents francs suisses (environ 182 euros).
Je peux me procurer un livre sur cet appareil, mais ça ne remplacera pas le cours et les nombreux essais.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
freeshost a écrit : ↑dimanche 28 avril 2019 à 18:55
Je peux me procurer un livre sur cet appareil, mais ça ne remplacera pas le cours et les nombreux essais.
Je n'y connais strictement rien en appareil-photos, mais tant mieux si c'était une bonne affaire.
Le cours, tu vois ça comment ? Sur internet ? Et les essais, oui, de toutes façons, ça semble incontournable ! Bon, déjà tu n'as plus le problème de buée sur l'objectif, c'est déjà ça.
Le cours ? En face-à-face avec des personnes professionnelles, même si ça m'en coûte. Ce sera un bon investissement (dans l'acquisition de savoirs et de savoir-faire).
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
freeshost a écrit : ↑dimanche 28 avril 2019 à 19:22
Le cours ? En face-à-face avec des personnes professionnelles, même si ça m'en coûte. Ce sera un bon investissement (dans l'acquisition de savoirs et de savoir-faire).
Oui, c'est sûr, et tu peux apporter ton propre appareil pour travailler avec, je suppose.
freeshost, si tu veux des conseils techniques, n'hésite pas à me demander.
Pas forcément pour ce qui concerne l'ergonomie de ton appareil (le manuel de l'utilisateur saura bien mieux répondre) mais pour la gestion de la lumière et des différents paramètres, pas de souci.
Tests passés le 29/02/2024. Diagnostic officialisé le 26/03/2024.
"All these words I don't just say, and nothing else matters"
ce qui me rend malheureux c'est le questionnement ininterrompue dans ma tete du pourquoi il sourit et apres gueule, mon cerveau va toujours voir plus loin dans le sens ou la conclusion apres des minutes de reflexion c'est que : c'est moi le probleme? 
je deteste conclure une pensee par une question car beaucoup d'autres questions s"invitent c'est hyper epuisant.
