Il y a plein de facteurs qui peuvent entrer en compte :
- le niveau de théorie de l'esprit,
- le vécu, les apprentissages, les relations,
- les lectures diverses, les habitudes de lecture, [lecture de livres sur la rhétorique, sur la communication non verbale, sur les spécificités inter- et intra-culturelles, etc. lecture de journaux satiriques, de romans satiriques, d'humour anglais, de blagues françaises sur les Belges]
- les habitudes relationnelles, communicationnelles, l'expérience,
- la confiance en soi, et en de nouveaux défis, de nouvelles situations,
- la confiance en chaque autre personne,
- le niveau de fatigue,
- le niveau de volonté, de motivation,
- les représentations qu'on se fait du monde en général,
- le niveau de prise de recul face aux représentations simplistes (une personne qui connaît bien les biais cognitifs et est humaniste ne va pas forcément apprécier les blagues sur les blondes, sur les femmes, sur les Belges, etc. et autres stéréotypes...),
- etc.
C'est quand plein de facteurs interviennent que ça ne passe plus comme une lettre à la poste.
