Là est bien tout le problème des maladies/handicaps invisibles, tu as bien de la chance d'avoir un médecin sensible à ta situation. Bien des personnes en arrêt maladie pour un mal de dos sont considérées par des feignants par leurs collègues, bien des personnes en dépression se voient refuser un arrêt de travail par leur médecin, bien des personnes cardiaques ou hépatiques sont perçues comme en bonne santé par leur entourage...jusqu'au jour où elles y passent.
Ton amie ne fait que refléter les lieux communs qui polluent la société. La seule solution, c'est la pédagogie, offrir des livres sur l'autisme, comme celui-ci, aide à la compréhension :
Le seul problème est qu'une démarche pédagogique ne fonctionne pas avec les khons.
Comment parler de son autisme à ses parents/proche?
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Re: Comment parler de son autisme à ses parents/proche?
Merci pour ta réponse Barbibul,
Oui tu as raison, pour ces lieux communs qui polluent la vision des choses. De plus cette "amie" m'a dit un jour que je lui disais que j'étais fatiguée m'a dit que je n'avais qu'à me faire arrêter. Je lui ai répondu que je n'étais pas malade et que je n'allais pas chez le médecin pour ça. Elle m'a répondu, tu dis que tu as mal au dos, ça marche a tous les coups, ils ne peuvent rien voir....
Enfin je mets des guillemets au mot amie car il y a bien longtemps que j'ai réalisé qu'elle est calculatrice et vénale, tout l'opposé de ce que je suis. Je continue a la voir car son mari est un ami d'enfance du sien
Et l'aspect pédagogique est perdu pour elle car elle fait partie de ces fameux khon...
Mais du coup si je reprends le travail,bje pensais ne pas le dire, mais comme l'environnement est bruyant je porterai mon casque anti bruit qui va susciter des questions... Difficile a gérer. Je verrai le moment venu et en discuterait avec les médecins.
Heureusement pour moi les collègues de travail et mon chef sont compréhensifs et bienveillants (pour ma dépression) et vu que j'ai des fils autistes, ils connaissent un peu le problème.
Oui tu as raison, pour ces lieux communs qui polluent la vision des choses. De plus cette "amie" m'a dit un jour que je lui disais que j'étais fatiguée m'a dit que je n'avais qu'à me faire arrêter. Je lui ai répondu que je n'étais pas malade et que je n'allais pas chez le médecin pour ça. Elle m'a répondu, tu dis que tu as mal au dos, ça marche a tous les coups, ils ne peuvent rien voir....
Enfin je mets des guillemets au mot amie car il y a bien longtemps que j'ai réalisé qu'elle est calculatrice et vénale, tout l'opposé de ce que je suis. Je continue a la voir car son mari est un ami d'enfance du sien
Mon psychiatre m'a dit que ce sont des amis toxiques et il y a longtemps que je la vois qu'en cas d'obligation.Barbibul a écrit : ↑dimanche 28 avril 2019 à 8:58
Ton amie ne fait que refléter les lieux communs qui polluent la société. La seule solution, c'est la pédagogie, offrir des livres sur l'autisme, comme celui-ci, aide à la compréhension :
Le seul problème est qu'une démarche pédagogique ne fonctionne pas avec les khons.
Et l'aspect pédagogique est perdu pour elle car elle fait partie de ces fameux khon...
Mais du coup si je reprends le travail,bje pensais ne pas le dire, mais comme l'environnement est bruyant je porterai mon casque anti bruit qui va susciter des questions... Difficile a gérer. Je verrai le moment venu et en discuterait avec les médecins.
Heureusement pour moi les collègues de travail et mon chef sont compréhensifs et bienveillants (pour ma dépression) et vu que j'ai des fils autistes, ils connaissent un peu le problème.
THPI, Asperger, dépression sévère et résistante depuis 3 ans
la folie est de toujours se comporter de la même manière et de s'attendre a un résultat different
A. Einstein
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