Bizarreries alimentaires dans l'autisme
-
- Nouveau
- Messages : 6
- Enregistré le : mercredi 20 mars 2019 à 16:15
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
Je boit 2-3 Monster (boisson caféiné) chaque jours, et parfois jusqu’à 6 Litres de thé froids. En moyenne un jours sur deux je ne mange rien de solide, le jours ou je me mange, je mange du chocolat (parfois jusqu’à 4 plaque de choc à la suite), ou des chips, ou du pain et charcuterie, ou encore des œufs et des pâte sans sauce, et des Viennoiserie, et du poulet rôti.
Voila les 90% de mon alimentation.
Étrangement je fait sa depuis des années, et je suis en bonne santé,sauf peut être des soucis de grosse fatigue du la glycémie qui fait trop le yo-yo je pense. j'ai quant même un peu peur qu'un jours à force de manger aussi peu équilibrée je finisse par le payé méchamment. Mais j'arrive pas trop a motivé a manger mieux, malgré de gros efforts sporadique.
Voila les 90% de mon alimentation.
Étrangement je fait sa depuis des années, et je suis en bonne santé,sauf peut être des soucis de grosse fatigue du la glycémie qui fait trop le yo-yo je pense. j'ai quant même un peu peur qu'un jours à force de manger aussi peu équilibrée je finisse par le payé méchamment. Mais j'arrive pas trop a motivé a manger mieux, malgré de gros efforts sporadique.
36 ans - Diagnostique TSA en 2019, Diagnostique TDAH en 2018
-
- Habitué
- Messages : 89
- Enregistré le : dimanche 17 mars 2019 à 12:54
- Localisation : Aveyron
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
Je ne supporte pas de manger du sucré et du salé côte à côte excepté fromage+ fruits et frites+sauce aigre douce.
J'entame toujours ce qui est le plus abîmé en premier, quand je fais des crêpes par exemple si certaines sont en morceaux ou un peu détruites, elles passent en premier, et c'est valable pour tout, même les pâtes ou les lentilles.
Je prends rarement les pains entiers chez le boulanger, il faut que ce soit les moitiés qui restent ou ce qui a déjà été coupé; s'il n'y en a pas, je ne prends rien. Parfois je n'ai pas envie de pain mais si je vois une moitié seule, je la prend quand même (bon, je ne la gâche pas, hein).
Je ne supporte absolument pas le lait animal, ça m'a toujours soulevé le coeur.
Rien de tiède: soit du vraiment chaud, soit du vraiment froid mais pas entre les deux.
Je taille le fromage et les gâteaux/tartes, il faut que la coupe soit très droite et/ou symétrique, si un truc semble disharmonieux, je rectifie.
J'ai des moments pour manger mais surtout pas matin midi soir, il faut que ce soit milieu de matinée et début de soirée, avec des marges d'une demi heure maximum. Si c'est pas possible, je ne mange pas.
Je déteste manger à l'extérieur et/ou devant des gens, et je ne peux pas manger ce qui a été fait par d'autres, dans la mesure du possible je fais tout moi-même.
Enfant, j'ai eu une période pain brioché+moutarde pas désagréable du tout.
Pour les biscuits, il doit toujours en rester un nombre pair à la fin et j'aime en manger un nombre impair (parfois réussir les deux n'est pas possible donc je fais avec mais ça me contrarie beaucoup).
Qaund je cuisine, je fais la vaisselle avant de manger, je ne supporte pas les ustentiles salis qui attendent.
Il me faut un certain nombre de stocks de choses non périssables, un peu comme si j'hibernais.
Ah, et je déteste le gâchis.
Sinon, je trouve que tout le monde a un peu ce genre de manies, ce n'est pas propre aux TSA, si ?
J'entame toujours ce qui est le plus abîmé en premier, quand je fais des crêpes par exemple si certaines sont en morceaux ou un peu détruites, elles passent en premier, et c'est valable pour tout, même les pâtes ou les lentilles.
Je prends rarement les pains entiers chez le boulanger, il faut que ce soit les moitiés qui restent ou ce qui a déjà été coupé; s'il n'y en a pas, je ne prends rien. Parfois je n'ai pas envie de pain mais si je vois une moitié seule, je la prend quand même (bon, je ne la gâche pas, hein).
Je ne supporte absolument pas le lait animal, ça m'a toujours soulevé le coeur.
Rien de tiède: soit du vraiment chaud, soit du vraiment froid mais pas entre les deux.
Je taille le fromage et les gâteaux/tartes, il faut que la coupe soit très droite et/ou symétrique, si un truc semble disharmonieux, je rectifie.
J'ai des moments pour manger mais surtout pas matin midi soir, il faut que ce soit milieu de matinée et début de soirée, avec des marges d'une demi heure maximum. Si c'est pas possible, je ne mange pas.
Je déteste manger à l'extérieur et/ou devant des gens, et je ne peux pas manger ce qui a été fait par d'autres, dans la mesure du possible je fais tout moi-même.
Enfant, j'ai eu une période pain brioché+moutarde pas désagréable du tout.
Pour les biscuits, il doit toujours en rester un nombre pair à la fin et j'aime en manger un nombre impair (parfois réussir les deux n'est pas possible donc je fais avec mais ça me contrarie beaucoup).
Qaund je cuisine, je fais la vaisselle avant de manger, je ne supporte pas les ustentiles salis qui attendent.
Il me faut un certain nombre de stocks de choses non périssables, un peu comme si j'hibernais.
Ah, et je déteste le gâchis.
Sinon, je trouve que tout le monde a un peu ce genre de manies, ce n'est pas propre aux TSA, si ?
Non diagnostiquée. En questionnement, suspicions.
Choses sur lesquelles les psychiatres sont d'accord: phobie sociale, personnalité évitante.
Choses sur lesquelles les psychiatres sont d'accord: phobie sociale, personnalité évitante.
-
- Familier
- Messages : 167
- Enregistré le : dimanche 22 juillet 2018 à 12:53
- Localisation : Paris, 21 ème arrondissement
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
Quand j'ai vu le titre du sujet, je me suis dit "oh, voilà un sujet qui est fait pour moi". Et pour cause, j'ai des troubles alimentaires badass depuis toujours, et quand je dis "toujours", c'est que déjà bébé, ces troubles étaient présents et qu'ils n'ont jamais cessé de persister. À vrai dire, il est plus simple et rapide de compter les aliments que je mange plutôt que ceux que je ne mange pas. D'ailleurs, on ne peut même pas dresser une liste d'aliments que je peux consommer à coup sûr, car non seulement mes goûts évoluent, mais que je peux adorer ou détester un même aliment sous une forme différente.
Je suis ultra sensible aux textures et aux goûts. Je peux ressentir des variations de goût si subtiles que la plupart des gens sont incapables de repérer. Ainsi, je me suis soudain mise à détester certains aliments parce que leur goût avait légèrement changé ou à sentir des arriere goûts dans des aliments, alors que personne, en les goutant, n'avait senti ces goûts, ce qui avait alors attiré l'incompréhension de mes proches.
Je développe aussi des obsessions alimentaires, où je peux me nourir du même plat jusqu'à une dizaine de fois par semaine. Ça peut être n'importe quoi, et rarement des choses bonnes pour la santé. D'ailleurs, ma santé est probablement en danger depuis longtemps.
Le moindre repas est un casse-tête sans nom, me nourrir a été un combat (elle le decrit elle même ainsi) pour ma pauvre mère.
Lorsque je suis obligée de consommer des aliments que je n'apprécie pas, je peux les deglutir, refuser de m'alimenter jusqu'à une journée et demi ou, et c'est plus le cas maintenant entrer dans un état de stress et d'insécurité permanent. Même les hôtes les plus stricts ont finit par assouplir leurs règles alimentaires et à consentir à me faire plaisir, car sinon, je peux simplement devenir dingue. Tout le monde pense qu'il s'agit de caprices, mais les gens ne savent pas à quel point j'aimerai me nourrir comme tout le monde, faire des restos, dîner chez des amis, goûter de bons petits plats du monde.... Ce sont de véritables troubles alimentaires, car je ne les contrôle pas et qu'ils me pourrissent la vie.
Je peux au contraire consommer des aliments étranges. Pendant que je vous écris je consomme de la pâte sablée crue et, petite surtout, je mangeais colle, mines de crayons de couleurs, beurre salé cru, jus de citron pur et tickets de métro. Je pouvais aussi passer des heures à décortiquer minutieusement des oranges pour n'en garder que les grains oranges intacts sans une once de peau que je consommais en grandes cuillerées une fois mon travail fini.
Dès que je découvre un nouvel aliment, je l'examine sous toutes les coutures, avec les doigts si je le peux, ce qui m'a d'ailleurs valu plusieurs surnoms assez marrants comme "la tritureuse". De par leur simple aspect, certains aliments me semblent inconsommables.
Chaque découverte alimentaire est une expérience intense et téméraire pour moi. Chaque fois que je goûte quelque chose de nouveau, c'est comme si je faisais du vélo pour la première fois. Le risque de ne pas aimer semble être au moins aussi important que celui de se casser la gueule sur un vélo, c'est dire comme mes papilles gustatives sont sensibles.
Prenons un repas classique:
Entrée: salade de tomates
Plat: pâtes bolognaise avec boulettes de boeuf
Dessert: gâteau au chocolat
Voilà ce qui se passe:
Entrée: Si les tomates sont de trop mauvaise qualité leur peau me rebutera, mais si au contraire, les tomates appartiennent à des races chères, leur texture me rebutera. Il faut donc que les tomates soient de saison et de qualité moyenne. La vinaigrette doit être liquide, car si elle prend la forme d'une sauce onctueuse je ne pourrais pas la consommer.
Plat: Les pâtes ne doivent ni être aldente ni trop cuites, sans bouillon, avoir une forme particulière (ni calenonni ni coquillettes par exemple) et posséder un goût particulier dont je ne connais pas l'origine sans quoi je les rejetterai systématiquement. Je déteste la bolognaise, il s'agit là de mon goût personnel. Quant aux boulettes, je ne les mangerai probablement pas, car dans ces morceaux de viande reconstitués, on peut trouver ma hantise: les morceaux de cartilage, de graisse et de nerfs. Le simple fait d'en trouver un morceau me coupe tout appétit et m'empêche de continuer le repas, alors mieux vaut éviter de les manger pour contourner le problème.
Dessert: Le gâteau devra obligatoirement être au chocolat au lait, le chocolat noir me faisant littéralement vomir. Je retirai probablement le tiers du gâteau en enlevant la croûte, qui trop cuite ou pas, contraste bien trop avec le moelleux du reste du gâteau.
Résultat: Dans ce plat pourtant basique, il est fort possible que je ne mange au final rien du tout. Et cela n'est pas qu'une supposition, ça m'est arrivé maintes fois, de ne rien manger.
Quelqu'un ici aurait-il des troubles alimentaires aussi importants que les miens, par un heureux hasard?
Je suis ultra sensible aux textures et aux goûts. Je peux ressentir des variations de goût si subtiles que la plupart des gens sont incapables de repérer. Ainsi, je me suis soudain mise à détester certains aliments parce que leur goût avait légèrement changé ou à sentir des arriere goûts dans des aliments, alors que personne, en les goutant, n'avait senti ces goûts, ce qui avait alors attiré l'incompréhension de mes proches.
Je développe aussi des obsessions alimentaires, où je peux me nourir du même plat jusqu'à une dizaine de fois par semaine. Ça peut être n'importe quoi, et rarement des choses bonnes pour la santé. D'ailleurs, ma santé est probablement en danger depuis longtemps.
Le moindre repas est un casse-tête sans nom, me nourrir a été un combat (elle le decrit elle même ainsi) pour ma pauvre mère.
Lorsque je suis obligée de consommer des aliments que je n'apprécie pas, je peux les deglutir, refuser de m'alimenter jusqu'à une journée et demi ou, et c'est plus le cas maintenant entrer dans un état de stress et d'insécurité permanent. Même les hôtes les plus stricts ont finit par assouplir leurs règles alimentaires et à consentir à me faire plaisir, car sinon, je peux simplement devenir dingue. Tout le monde pense qu'il s'agit de caprices, mais les gens ne savent pas à quel point j'aimerai me nourrir comme tout le monde, faire des restos, dîner chez des amis, goûter de bons petits plats du monde.... Ce sont de véritables troubles alimentaires, car je ne les contrôle pas et qu'ils me pourrissent la vie.
Je peux au contraire consommer des aliments étranges. Pendant que je vous écris je consomme de la pâte sablée crue et, petite surtout, je mangeais colle, mines de crayons de couleurs, beurre salé cru, jus de citron pur et tickets de métro. Je pouvais aussi passer des heures à décortiquer minutieusement des oranges pour n'en garder que les grains oranges intacts sans une once de peau que je consommais en grandes cuillerées une fois mon travail fini.
Dès que je découvre un nouvel aliment, je l'examine sous toutes les coutures, avec les doigts si je le peux, ce qui m'a d'ailleurs valu plusieurs surnoms assez marrants comme "la tritureuse". De par leur simple aspect, certains aliments me semblent inconsommables.
Chaque découverte alimentaire est une expérience intense et téméraire pour moi. Chaque fois que je goûte quelque chose de nouveau, c'est comme si je faisais du vélo pour la première fois. Le risque de ne pas aimer semble être au moins aussi important que celui de se casser la gueule sur un vélo, c'est dire comme mes papilles gustatives sont sensibles.
Prenons un repas classique:
Entrée: salade de tomates
Plat: pâtes bolognaise avec boulettes de boeuf
Dessert: gâteau au chocolat
Voilà ce qui se passe:
Entrée: Si les tomates sont de trop mauvaise qualité leur peau me rebutera, mais si au contraire, les tomates appartiennent à des races chères, leur texture me rebutera. Il faut donc que les tomates soient de saison et de qualité moyenne. La vinaigrette doit être liquide, car si elle prend la forme d'une sauce onctueuse je ne pourrais pas la consommer.
Plat: Les pâtes ne doivent ni être aldente ni trop cuites, sans bouillon, avoir une forme particulière (ni calenonni ni coquillettes par exemple) et posséder un goût particulier dont je ne connais pas l'origine sans quoi je les rejetterai systématiquement. Je déteste la bolognaise, il s'agit là de mon goût personnel. Quant aux boulettes, je ne les mangerai probablement pas, car dans ces morceaux de viande reconstitués, on peut trouver ma hantise: les morceaux de cartilage, de graisse et de nerfs. Le simple fait d'en trouver un morceau me coupe tout appétit et m'empêche de continuer le repas, alors mieux vaut éviter de les manger pour contourner le problème.
Dessert: Le gâteau devra obligatoirement être au chocolat au lait, le chocolat noir me faisant littéralement vomir. Je retirai probablement le tiers du gâteau en enlevant la croûte, qui trop cuite ou pas, contraste bien trop avec le moelleux du reste du gâteau.
Résultat: Dans ce plat pourtant basique, il est fort possible que je ne mange au final rien du tout. Et cela n'est pas qu'une supposition, ça m'est arrivé maintes fois, de ne rien manger.
Quelqu'un ici aurait-il des troubles alimentaires aussi importants que les miens, par un heureux hasard?
Suspicion de TSA
Restitution le 3 novembre 2021
Restitution le 3 novembre 2021
-
- Prolifique
- Messages : 958
- Enregistré le : samedi 2 mai 2009 à 20:36
- Localisation : Ouest
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
Aujourd'hui je mange très varié et équilibré parce que j'aime cuisiner et que j'y passe beaucoup de temps chaque jour (je cuisine à 95% des produits frais et non transformés, achetés directement au producteur, au marché, ou chez de petits commerçants). J'ai également beaucoup moins de "dégoûts" que par le passé. La cuisine est d'ailleurs mon sujet de conversation refuge depuis quelques années...
Je sais par contre que ce ne serait plus le cas si je devais vivre seul : même si cuisiner me fait beaucoup de bien je sais pertinemment que je n'aurais pas le courage de tout ce que ça implique si ce n'était que pour moi.
Lorsque j'ai commencé à vivre seul j'achetais à peu près la même chose à chaque fois que j'allais faire les courses, mon panier habituel ne se modifiait que très lentement (il faut dire qu'aller faire les courses était une torture, ça n'a d'ailleurs pas trop changé).
Aux époques les plus difficiles de ma vie je ne prenais pas de petit déjeuner, je me contentais souvent de petits gâteaux secs trempés dans du café pendant la journée. Le soir, si j'avais les ingrédients nécessaires je faisais mon plat fétiche : pâtes, jambon, crème fraîche et fromage râpé. Quand ma femme n'est pas là c'est d'ailleurs le genre de régime qui me revient immédiatement...
En tout état de cause j'essayais de faire durer mes réserves le plus longtemps possible pour retarder l'épreuve du supermarché (je pouvais tenir avec de la semoule de blé nature pour retarder l'échéance...).
Pour me récompenser de mes efforts j'avais des nourritures un peu "rituelles" : du genre de petits feuilletés au fromage bas de gamme et quasiment dénués de goût, réchauffés au micro-onde alors qu'ils n'étaient peut-être même pas faits pour ça.
Chez mes parents, lorsque j'étais seul tout un après-midi, je me faisais systématiquement un sachet de crème pâtissière industrielle... J'adorais ça. Bizarrement je n'en ai jamais acheté, depuis 15 ans que j'ai quitté le domicile parental (par contre je continuais à le faire quand je revenais pour les vacances... Et je pense même que je le referais si je devais me retrouver chez eux dans cette situation !).
Je sais par contre que ce ne serait plus le cas si je devais vivre seul : même si cuisiner me fait beaucoup de bien je sais pertinemment que je n'aurais pas le courage de tout ce que ça implique si ce n'était que pour moi.
Lorsque j'ai commencé à vivre seul j'achetais à peu près la même chose à chaque fois que j'allais faire les courses, mon panier habituel ne se modifiait que très lentement (il faut dire qu'aller faire les courses était une torture, ça n'a d'ailleurs pas trop changé).
Aux époques les plus difficiles de ma vie je ne prenais pas de petit déjeuner, je me contentais souvent de petits gâteaux secs trempés dans du café pendant la journée. Le soir, si j'avais les ingrédients nécessaires je faisais mon plat fétiche : pâtes, jambon, crème fraîche et fromage râpé. Quand ma femme n'est pas là c'est d'ailleurs le genre de régime qui me revient immédiatement...
En tout état de cause j'essayais de faire durer mes réserves le plus longtemps possible pour retarder l'épreuve du supermarché (je pouvais tenir avec de la semoule de blé nature pour retarder l'échéance...).
Pour me récompenser de mes efforts j'avais des nourritures un peu "rituelles" : du genre de petits feuilletés au fromage bas de gamme et quasiment dénués de goût, réchauffés au micro-onde alors qu'ils n'étaient peut-être même pas faits pour ça.
Chez mes parents, lorsque j'étais seul tout un après-midi, je me faisais systématiquement un sachet de crème pâtissière industrielle... J'adorais ça. Bizarrement je n'en ai jamais acheté, depuis 15 ans que j'ai quitté le domicile parental (par contre je continuais à le faire quand je revenais pour les vacances... Et je pense même que je le referais si je devais me retrouver chez eux dans cette situation !).
Diagnostiqué TSA.
-
- Passionné
- Messages : 315
- Enregistré le : lundi 21 janvier 2008 à 19:17
- Localisation : Lille
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
oui quelques-uns (pas nécessairement autistes d'ailleurs, c'est un autre débat).
http://www.phobie-alimentaire.fr/
Tu peux lire le blog d'une jeune femme sur le sujet, qui a le mérite d'exister même si ses prises de positions ne sont pas toujours très judicieuses (par exemple, les TSA et HPI y sont des sujets interdits, il n'y sera jamais fait référence, et ce n'est pas un simple oubli). Tu y trouveras surtout un lien vers un groupe facebook plutôt bien fréquenté dans lequel tu auras la possibilité d'entrer en contact avec d'autres personnes, TSA pour certaines mais pas toutes, de ta tranche d'âge et dans ton secteur géographique.
entrepreneur, surdoué, hyper-sélectivité alimentaire sévère depuis bb, Mottron friendly
PS : Ne vous embêtez pas à répondre à mes propos, je n'y répondrai pas. Je ne revendique rien, juste je me renseigne sur un symptôme en commun.
PS : Ne vous embêtez pas à répondre à mes propos, je n'y répondrai pas. Je ne revendique rien, juste je me renseigne sur un symptôme en commun.
-
- Familier
- Messages : 167
- Enregistré le : dimanche 22 juillet 2018 à 12:53
- Localisation : Paris, 21 ème arrondissement
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
Oh merci, le site est plutôt bien fichualexis a écrit : ↑jeudi 21 mars 2019 à 16:12
oui quelques-uns (pas nécessairement autistes d'ailleurs, c'est un autre débat).
http://www.phobie-alimentaire.fr/
Tu peux lire le blog d'une jeune femme sur le sujet, qui a le mérite d'exister même si ses prises de positions ne sont pas toujours très judicieuses (par exemple, les TSA et HPI y sont des sujets interdits, il n'y sera jamais fait référence, et ce n'est pas un simple oubli). Tu y trouveras surtout un lien vers un groupe facebook plutôt bien fréquenté dans lequel tu auras la possibilité d'entrer en contact avec d'autres personnes, TSA pour certaines mais pas toutes, de ta tranche d'âge et dans ton secteur géographique.
(J'ai trouvé ma famille )
Suspicion de TSA
Restitution le 3 novembre 2021
Restitution le 3 novembre 2021
-
- Familier
- Messages : 136
- Enregistré le : jeudi 21 mars 2019 à 21:19
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
- j’adore le sucre. Problème, mon estomac aime beaucoup moins, donc je me rends régulièrement malade. J’adore le sucré-salé (la compote de pommes dans la purée, c’est trop bon !)
- ‘jai aussi mes périodes salé… où je vais me goinfrer de saucisson, chips, jambon et compagnie…
- j’ai plusieurs intolérances alimentaires (gluten, lait de vache, crustacés, champignons). Mais des fois, pour je ne sais quelle raison, je craque. Et après je suis malade pendant une semaine, et je me déteste (mais ça semble une si bonne idée sur le moment^^). ça ne m'empêche pas de recommencer quelques mois plus tard
- j’ai ainsi parfois des espèces de crises de « boulimie », j’arrive pas à m’arrêter de manger…
-… le reste du temps, je suis obligée de fractionner mes repas parce que mon estomac se remplit avec que dalle… (si j’insiste, ça ressort. Ça se joue à une cuillère à café, en général).
- Et parfois, je vais me contenter d’une compote par jour pendant plusieurs jours, parce que trop fatiguée ou d’autres choses plus importantes à faire, genre lire
- j’ai beaucoup de mal avec certaines textures, qui me provoquent des hauts le cœur. Notamment les légumes (s’ls sont encore assez croquants, ça va encore). Pareil avec les fruits un peu trop mûrs, ou avec des défauts (du genre à dégager la moitié d’une pomme ou d’une banane parce que y’a un début de noir^^). Les nouilles passent difficilement, sauf si y’a une montagne de fromage (de brebis ou chèvre) et de sauce tomate (par contre, j'aime pas les lasagnes... jamais compris pourquoi). J'ai aussi un peu de mal avec les textures genre soupe, ça m'écoeure assez vite. Note : je parle bien sûr de pâtes sans gluten . J'ai aussi toujours détesté les textures molles et pateuses genre flans, clafoutis, riz au lait, quiche et compagnie (par contre j'adore le risotto... allez comprendre...)
- quand il y a un aliment que j’aime bien, j’en mange sans arrêt, jusqu’à l’écoeurement… et je peux ensuite être des années sans y toucher (voire ne jamais y retoucher). Comme mes parents le savent et que c'est mon père qui fait la cuisine et les courses, je n'ai pas pu le faire depuis que je suis retournée chez eux^^
- je ne supporte pas quand il reste du rouge dans une viande, le goût de l’alcool, le gras dans la viande…
- la texture des œufs me dérange (pas vraiment le goût, la texture). En œuf dur, maintenant j’arrive à les manger, et les œufs sur le plat à condition que ce soit très cuit.
- quand je suis stressée, j'ai tendance à manger les mouchoirs et le papier^^ (et les petites peaux mortes... ouais, je sais c'est dégueu...)
- le matin, je ne peux manger que du salé, mais généralement je ne mange pas (café, jus de fruits, c'est tout). par contre j'ai une marge de manœuvre assez étroite pour les "vrais" repas. Trop tôt ou trop tard, et je ne peux plus manger.
- partager une boisson, un aliment ou un couvert avec quelqu'un me dégoûte ( j'ai toujours MA bouteille d'eau perso, parce que même si j'ai la bouche très sèche (ce qui m'arrive souvent), je ne pourrai pas boire dans le verre/la bouteille de quelqu'un^^)
Ajoutez à cela un système digestif absolument merdique
- ‘jai aussi mes périodes salé… où je vais me goinfrer de saucisson, chips, jambon et compagnie…
- j’ai plusieurs intolérances alimentaires (gluten, lait de vache, crustacés, champignons). Mais des fois, pour je ne sais quelle raison, je craque. Et après je suis malade pendant une semaine, et je me déteste (mais ça semble une si bonne idée sur le moment^^). ça ne m'empêche pas de recommencer quelques mois plus tard
- j’ai ainsi parfois des espèces de crises de « boulimie », j’arrive pas à m’arrêter de manger…
-… le reste du temps, je suis obligée de fractionner mes repas parce que mon estomac se remplit avec que dalle… (si j’insiste, ça ressort. Ça se joue à une cuillère à café, en général).
- Et parfois, je vais me contenter d’une compote par jour pendant plusieurs jours, parce que trop fatiguée ou d’autres choses plus importantes à faire, genre lire
- j’ai beaucoup de mal avec certaines textures, qui me provoquent des hauts le cœur. Notamment les légumes (s’ls sont encore assez croquants, ça va encore). Pareil avec les fruits un peu trop mûrs, ou avec des défauts (du genre à dégager la moitié d’une pomme ou d’une banane parce que y’a un début de noir^^). Les nouilles passent difficilement, sauf si y’a une montagne de fromage (de brebis ou chèvre) et de sauce tomate (par contre, j'aime pas les lasagnes... jamais compris pourquoi). J'ai aussi un peu de mal avec les textures genre soupe, ça m'écoeure assez vite. Note : je parle bien sûr de pâtes sans gluten . J'ai aussi toujours détesté les textures molles et pateuses genre flans, clafoutis, riz au lait, quiche et compagnie (par contre j'adore le risotto... allez comprendre...)
- quand il y a un aliment que j’aime bien, j’en mange sans arrêt, jusqu’à l’écoeurement… et je peux ensuite être des années sans y toucher (voire ne jamais y retoucher). Comme mes parents le savent et que c'est mon père qui fait la cuisine et les courses, je n'ai pas pu le faire depuis que je suis retournée chez eux^^
- je ne supporte pas quand il reste du rouge dans une viande, le goût de l’alcool, le gras dans la viande…
- la texture des œufs me dérange (pas vraiment le goût, la texture). En œuf dur, maintenant j’arrive à les manger, et les œufs sur le plat à condition que ce soit très cuit.
- quand je suis stressée, j'ai tendance à manger les mouchoirs et le papier^^ (et les petites peaux mortes... ouais, je sais c'est dégueu...)
- le matin, je ne peux manger que du salé, mais généralement je ne mange pas (café, jus de fruits, c'est tout). par contre j'ai une marge de manœuvre assez étroite pour les "vrais" repas. Trop tôt ou trop tard, et je ne peux plus manger.
- partager une boisson, un aliment ou un couvert avec quelqu'un me dégoûte ( j'ai toujours MA bouteille d'eau perso, parce que même si j'ai la bouche très sèche (ce qui m'arrive souvent), je ne pourrai pas boire dans le verre/la bouteille de quelqu'un^^)
Ajoutez à cela un système digestif absolument merdique
Atteinte d'un syndrome d'ehlers danlos, en plein questionnement sur les TSA.
-
- Assidu
- Messages : 203
- Enregistré le : vendredi 7 décembre 2018 à 22:39
- Localisation : IDF
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
En lisant vos messages, je me rends compte de la diversité des troubles alimentaires.
Chez nous chacun est différent et les choses ne d=sont pas figées, elles évoluent.
Mon fils ainé a toujours mangé beaucoup. Mais depuis son diagnostic, c'est de la boulimie… Il a pris environ 80 kg en 5 ans…
Son frère benjamin a des problèmes depuis bébé. Beaucoup de textures ne passaient pas. Les morceaux le faisait vomir. Il a mangé des petits pots (enfin une cuiller en général) jusqu'à ses 5 ans, pour enfin manger un nugget du Mac Do… Aujourd'hui ses gouts sont assez restreints mais plus trop de souci de texture.
Pour moi depuis enfant je ne posais pas de question,j'avalais ce qu'il y avait dans mon assiette pour ne pas avoir d'ennuis. Lors de ma dépression, je ne pouvais plus manger, tout me donnat la nausée. Je me suis alimentée pendant plusieurs mois d'un fromage blanc et d'une tranche de pain par jour, tout en marchant 10 km ou nageant 2 km. Je me suis remise à manger petit à petit, mais encore aujourd'hui ce n'est pas une alimentation très "normale". Est ce la dépression, ou le fait que la dépression est due à mon enfance et que depuis je n'ai jamais vécu comme je le voulais mais comme on l'attendait ? Toujours est-il qu'aujourd'hui je mange quand j'ai faim, c'est donc à n'importe quelle heure et souvent je n'ai envie de rien alors je mange du pain pour caler cette faim. Aujourd'hui mon premier repas était un morceau de pain et un verre de lait à 18h... Heureusement, j'arrive maintenant à manger normalement quand je suis invitée.
Chez nous chacun est différent et les choses ne d=sont pas figées, elles évoluent.
Mon fils ainé a toujours mangé beaucoup. Mais depuis son diagnostic, c'est de la boulimie… Il a pris environ 80 kg en 5 ans…
Son frère benjamin a des problèmes depuis bébé. Beaucoup de textures ne passaient pas. Les morceaux le faisait vomir. Il a mangé des petits pots (enfin une cuiller en général) jusqu'à ses 5 ans, pour enfin manger un nugget du Mac Do… Aujourd'hui ses gouts sont assez restreints mais plus trop de souci de texture.
Pour moi depuis enfant je ne posais pas de question,j'avalais ce qu'il y avait dans mon assiette pour ne pas avoir d'ennuis. Lors de ma dépression, je ne pouvais plus manger, tout me donnat la nausée. Je me suis alimentée pendant plusieurs mois d'un fromage blanc et d'une tranche de pain par jour, tout en marchant 10 km ou nageant 2 km. Je me suis remise à manger petit à petit, mais encore aujourd'hui ce n'est pas une alimentation très "normale". Est ce la dépression, ou le fait que la dépression est due à mon enfance et que depuis je n'ai jamais vécu comme je le voulais mais comme on l'attendait ? Toujours est-il qu'aujourd'hui je mange quand j'ai faim, c'est donc à n'importe quelle heure et souvent je n'ai envie de rien alors je mange du pain pour caler cette faim. Aujourd'hui mon premier repas était un morceau de pain et un verre de lait à 18h... Heureusement, j'arrive maintenant à manger normalement quand je suis invitée.
THPI, Asperger, dépression sévère et résistante depuis 3 ans
la folie est de toujours se comporter de la même manière et de s'attendre a un résultat different
A. Einstein
la folie est de toujours se comporter de la même manière et de s'attendre a un résultat different
A. Einstein
-
- Intarissable
- Messages : 6007
- Enregistré le : vendredi 17 mars 2017 à 15:06
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
Un ouvrage très intéressant pour comprendre et accompagner les troubles alimentaires dans l’autisme : Autisme et alimentation.
Il aide bien à comprendre les comportements alimentaires et à tenter de cerner d’où viennent les difficultés, puis de tenter d’y pallier pour éviter carences et augmentation de l’anxiété.
Il aide bien à comprendre les comportements alimentaires et à tenter de cerner d’où viennent les difficultés, puis de tenter d’y pallier pour éviter carences et augmentation de l’anxiété.
TSA
-
- Familier
- Messages : 167
- Enregistré le : dimanche 22 juillet 2018 à 12:53
- Localisation : Paris, 21 ème arrondissement
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
Merci pour la ressource, j'irai sûrement me le procurerhazufel a écrit : ↑jeudi 25 avril 2019 à 8:07 Un ouvrage très intéressant pour comprendre et accompagner les troubles alimentaires dans l’autisme : Autisme et alimentation.
Il aide bien à comprendre les comportements alimentaires et à tenter de cerner d’où viennent les difficultés, puis de tenter d’y pallier pour éviter carences et augmentation de l’anxiété.
Suspicion de TSA
Restitution le 3 novembre 2021
Restitution le 3 novembre 2021
-
- Intarissable
- Messages : 5692
- Enregistré le : dimanche 25 février 2018 à 15:10
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
J'ai appris un mot en lisant @hazufel ici :
viewtopic.php?f=6&t=7188&start=1065
viewtopic.php?f=6&t=7188&start=1065
Du même coup, j'ai repensé à ce passage-là de ton post, que j'ai lu ce matin :comprendrel'autisme.com a écrit : Information complémentaire : Le pica est un trouble du comportement alimentaire caractérisé par l’ingestion durable (plus d’un mois) de substances non nutritives et non comestibles : terre, craie, sable, papier, plastique, céruse, haie végétale, couches, cendre de cigarette, etc
Bon voilà, tu sais comment ça s'appelle... A part la pâte crue, que je fais parfois exprès pour la manger crue, je ne mange rien de tout ça (si, j'aime bien ronger les crayons de couleur). J'ai une tante qui cassait des pots de fleurs en grès et mangeait des morceaux.Liloë a écrit : Je peux au contraire consommer des aliments étranges. Pendant que je vous écris je consomme de la pâte sablée crue et, petite surtout, je mangeais colle, mines de crayons de couleurs, beurre salé cru, jus de citron pur et tickets de métro. Je pouvais aussi passer des heures à décortiquer minutieusement des oranges pour n'en garder que les grains oranges intacts sans une once de peau que je consommais en grandes cuillerées une fois mon travail fini.
Diagnostic d'autisme juillet 2019.
-
- Prolifique
- Messages : 1484
- Enregistré le : jeudi 22 mars 2018 à 14:23
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
Alors ça !Liloë a écrit : Je peux au contraire consommer des aliments étranges. Pendant que je vous écris je consomme de la pâte sablée crue et, petite surtout, je mangeais colle, mines de crayons de couleurs, beurre salé cru, jus de citron pur et tickets de métro. Je pouvais aussi passer des heures à décortiquer minutieusement des oranges pour n'en garder que les grains oranges intacts sans une once de peau que je consommais en grandes cuillerées une fois mon travail fini.
Petit, je mangeais aussi la pâte crue (normalement, juste le "surplus" mais il m'est arrivé de manger la tarte entière avant qu'elle ne soit cuite ...), le beurre salé, le jus de citron pur (directement depuis le citron) et non pas les tickets de métro, mais des boulettes de papier. C'est marrant quand même - même si je ne trouve pas ça si bizarre que ça.
Tests passés le 29/02/2024. Diagnostic officialisé le 26/03/2024.
"All these words I don't just say, and nothing else matters"
"All these words I don't just say, and nothing else matters"
-
- Intarissable
- Messages : 6007
- Enregistré le : vendredi 17 mars 2017 à 15:06
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
À noter que le pica indique l’ingestion de choses non comestibles, et potentiellement dangereuses.
C’est un trouble qui nécessite une grande surveillance.
C’est un trouble qui nécessite une grande surveillance.
TSA
-
- Assidu
- Messages : 290
- Enregistré le : lundi 13 août 2018 à 19:10
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
Je rejoins les rangs des amateurs de pâte crue... J’adore me faire des bols de farine & lait.Fift a écrit : ↑jeudi 25 avril 2019 à 20:59Alors ça !Liloë a écrit : Je peux au contraire consommer des aliments étranges. Pendant que je vous écris je consomme de la pâte sablée crue et, petite surtout, je mangeais colle, mines de crayons de couleurs, beurre salé cru, jus de citron pur et tickets de métro. Je pouvais aussi passer des heures à décortiquer minutieusement des oranges pour n'en garder que les grains oranges intacts sans une once de peau que je consommais en grandes cuillerées une fois mon travail fini.
Petit, je mangeais aussi la pâte crue (normalement, juste le "surplus" mais il m'est arrivé de manger la tarte entière avant qu'elle ne soit cuite ...), le beurre salé, le jus de citron pur (directement depuis le citron) et non pas les tickets de métro, mais des boulettes de papier. C'est marrant quand même - même si je ne trouve pas ça si bizarre que ça.
Pas de diagnostic.
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
27/05/19 : restitution du bilan psy → H. P. I. et « ensemble d’éléments indiquant la présence associée d’un possible T. S. A. ».
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
27/05/19 : restitution du bilan psy → H. P. I. et « ensemble d’éléments indiquant la présence associée d’un possible T. S. A. ».
-
- Familier
- Messages : 136
- Enregistré le : jeudi 21 mars 2019 à 21:19
Re: Troubles et bizarreries alimentaires dans l'autisme
Mais c'est juste trop bon la pâte crue (dernière en date, pâte crue de madeleines miam miam)
Atteinte d'un syndrome d'ehlers danlos, en plein questionnement sur les TSA.