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freeshost
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par freeshost »

J'espère qu'il n'en sera pas rendu d'même pour les moniteurs.
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Tugdual
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par Tugdual »

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par Tugdual »

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par Tugdual »

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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freeshost
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par freeshost »

Les dirigeants de l'Union Européenne semble vouloir rendre le partage illégal...

Articles 11 et 13 : le texte de la directive de l’UE sur le droit d’auteur vient d’être finalisé.
Depuis près de 2 ans, les rédactions des articles 11 et 13 de la directive européenne sur les droits d’auteurs suscitent le débat. Aujourd’hui le Parlement et la Commission européenne annoncent avoir finalisé le texte, qui devrait être voté dans les prochains mois.

Depuis près de 2 ans, les rédactions des articles 11 et 13 de la directive européenne sur les droits d’auteurs suscitent le débat. Aujourd’hui le Parlement et la Commission européenne annoncent avoir finalisé le texte, qui devrait être voté dans les prochains mois.

Les filtres de téléchargement de l’Article 13 validés

Pour rappel, ces articles prévoient de nouvelles règles pour les grandes plateformes comme Google, Facebook et consorts. Dans le cadre de l’Article 13, celles-ci devront en effet signer des contrats de licence avec des détenteurs de droits, tels que musiciens, artistes interprètes ou exécutants, auteurs, éditeurs de presse et journalistes, pour pouvoir utiliser leurs travaux en ligne.

Plus précisément, l’Article 13 prévoit que :

Les sites commerciaux et les applications sur lesquels les utilisateurs peuvent publier du contenu doivent tout mettre en œuvre pour acheter de manière préventive des licences sur tout ce que les utilisateurs peuvent télécharger, c’est-à-dire tout le contenu protégé par le droit d’auteur dans le monde.
Les sites web, quelles que soient leur taille et leur ancienneté, devront faire tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher la mise en ligne d’une copie non autorisée d’une œuvre qu’un titulaire de droits a enregistrée sur la plateforme. Ils devront donc installer des filtres de téléchargement pour empêcher les utilisateur de télécharger un contenu protégé.
Si un tribunal trouve que leurs efforts en matière de licences ou de filtrage de contenu ne sont pas assez puissants, les sites sont considérés responsables des infractions.

La taxe sur les liens de l’Article 11 maintenue malgré des échecs en Allemagne et en Espagne

Concernant l’élaboration d’une taxe sur les liens, le législateur européen Axel Voss a déclaré qu’il était temps que les géants de l’internet paient leurs cotisations aux détenteurs de droits. Toutefois, l’histoire a démontré que Google avait le pouvoir de faire pression aux pays qui désiraient faire payer le géant pour la diffusion d’actualité.

En Espagne, Google News s’était tout simplement retiré du pays quand le gouvernement lui a exigé de payer aux éditeurs des extraits de leurs articles, entraînant ainsi une chute considérable du trafic. Même punition pour l’Allemagne, qui avait décidé de bloquer le moteur de recherche s’il ne versait pas cette taxe.

De plus, le texte de l’Article 11 ne prévoit pas de faire la distinction entre le géant du web et des sites plus modestes. Les services fournis par des particuliers, des petites entreprises ou des organisations à but non lucratif comme des blogs ou des sites Web monétisés pourraient ainsi être concernés par cette législation.

Le vote des textes au mois de mars et avril

Si les textes des Articles11 et 13 sont finalisés en l’état, la loi n’a quant à elle pas été votée. Le Parlement doit encore obtenir l’approbation de la commission des affaires juridiques, qui devrait avoir lieu le lundi 18 février.

Ensuite, les gouvernements des États membres de l’UE voteront au Conseil, à une date encore inconnue. A ce stade, la loi peut encore être bloquée si un ensemble de gouvernements représentant plus de 35% de la population s’y oppose.

Enfin le vote final en plénière du Parlement européen se déroulera entre le 25 et le 28 mars, le 4 avril ou entre le 15 et le 18 avril.
Quelques autres explications ici :

Qu’est-ce que l’article 13 ? Le nouveau plan de l’UE en matière de droit d’auteur, qui divise l’opinion publique, expliqué.
Les articles 11 et 13 de la nouvelle directive de l’UE sur le droit d’auteur ont alimenté les craintes que les mèmes soient effectivement interdits et que les plates-formes doivent payer les éditeurs lorsque les gens font un lien vers leurs sites web, et Google est fermement contre cela

Le Parlement européen a voté en faveur d’une nouvelle directive controversée sur le droit d’auteur qui pourrait obliger les géants de la technologie à faire beaucoup plus pour arrêter la diffusion de matériel protégé par le droit d’auteur sur leurs plateformes. La directive de l’Union européenne sur le droit d’auteur dans le marché unique numérique, pour lui donner son nom complet, est conçue pour mettre à jour les lois existantes sur le droit d’auteur à l’ère de l’internet.

En termes simples, la Directive sur le droit d’auteur responsabilise davantage les sites Web tels que YouTube, Facebook et Twitter pour s’assurer que le matériel protégé par le droit d’auteur n’est pas partagé illégalement sur leurs plateformes. Jusqu’à présent, il incombait principalement aux détenteurs de droits d’auteur – généralement les sociétés qui produisent du contenu audio, vidéo ou écrit – de faire respecter la protection du droit d’auteur, mais en vertu de la nouvelle loi, cette responsabilité sera transférée aux principales plateformes elles-mêmes.

Au cœur de la directive sur le droit d’auteur se trouvent deux articles qui divisent – l’article 11 et l’article 13 – qui ont été qualifiés respectivement de “taxe de lien” et d'”interdiction de membre”. Les critiques de la directive sur le droit d’auteur font valoir que ces articles signifient que les plates-formes devront payer une redevance pour partager un lien vers un article d’actualité et devront commencer à filtrer et à supprimer les mèmes.

Mais la Directive sur le droit d’auteur n’a pas encore force de loi. Elle doit encore passer par une série d’étapes avant d’être finalisée en tant que directive de l’UE, puis elle doit encore être transposée en droit par les États membres. Pour vous aider à clarifier les choses, voici le guide de WIRED sur la directive européenne sur le droit d’auteur.
Lire la suite

Soyons réalistes, le déterminisme technologique est une politique terrible.

Qu’est-ce que la directive sur le droit d’auteur ?

La directive de l’Union européenne sur le droit d’auteur dans le marché unique numérique est une proposition de directive de l’Union européenne qui vise à limiter la manière dont le contenu protégé par le droit d’auteur est partagé sur les plateformes en ligne. Les directives de l’UE sont une forme de législation qui fixe un objectif que les États membres doivent atteindre, de sorte que si la Directive sur le droit d’auteur est adoptée, tous les États membres de l’UE devront éventuellement adopter leur propre législation nationale conformément aux dispositions de la directive.

La directive sur le droit d’auteur est parfois désignée sous le nom d'”article 13″ après son élément le plus controversé – l’article qui obligerait les plates-formes en ligne à filtrer ou à supprimer du matériel protégé par le droit d’auteur de leurs sites web. C’est cet article que les gens pensent que l’on pourrait interpréter comme exigeant des plates-formes qu’elles interdisent les mèmes, mais nous en reparlerons plus loin.

La directive sur le droit d’auteur rendrait les plates-formes en ligne et les sites agrégateurs responsables des violations du droit d’auteur et affecterait davantage de recettes des géants de la technologie aux artistes et aux journalistes. En vertu de la législation actuelle, les plateformes comme YouTube ne sont pas responsables des violations des droits d’auteur, bien qu’elles doivent retirer ce contenu lorsque les détenteurs de droits leur en donnent l’ordre. Les partisans de la directive sur le droit d’auteur affirment que cela signifie que les gens écoutent, regardent et lisent du matériel protégé par le droit d’auteur sans que les créateurs soient correctement payés pour cela.

Alors que la version modifiée de la directive sur le droit d’auteur se compose de 17 articles individuels, les points les plus importants et les plus controversés sont les articles 13 et 11.

Article 13, “l’interdiction de copier et de partager” ?

C’est la partie de la directive sur le droit d’auteur qui inquiète le plus les gens. Cet article stipule que “les fournisseurs de services de partage de contenu en ligne et les titulaires de droits coopèrent de bonne foi afin de garantir que des œuvres protégées non autorisées ou d’autres objets ne sont pas disponibles sur leurs services”. Vous pouvez lire le texte intégral de la directive dans son intégralité ici.

Alors qu’est-ce que ça veut dire ? En résumé, tout ce que dit cet article, c’est que tout site Web qui héberge une grande quantité de contenu généré par les utilisateurs (pensez à YouTube, Twitter et Facebook) est responsable de retirer ce contenu s’il viole le droit d’auteur.

Mais les choses ne sont pas si simples. Personne ne peut tout à fait convenir de la manière dont ces plates-formes sont censées identifier et supprimer ce contenu. Une version antérieure de la directive faisait référence aux “technologies de reconnaissance proportionnelle de contenu”, ce qui ressemble beaucoup à demander aux propriétaires de plates-formes d’utiliser des filtres automatisés pour analyser chaque élément de contenu téléchargé et empêcher tout ce qui pourrait violer le copyright d’être téléchargé.

La dernière version modifiée de la directive supprime ce membre de phrase et introduit une exception indiquant qu'”il convient de tenir particulièrement compte des droits fondamentaux, de l’utilisation des exceptions et limitations, ainsi que de veiller à ce que la charge imposée aux PME reste appropriée et que le blocage automatique du contenu soit évité”.

La raison pour laquelle cet article a été surnommé “l’interdiction de copier et de partager” est que personne n’est sûr que les mèmes, qui sont souvent basés sur des images protégées par le droit d’auteur, ne seront pas en infraction avec ces lois. Les partisans de la loi soutiennent que les mèmes sont protégés en tant que parodies et qu’il n’est donc pas nécessaire de les supprimer en vertu de cette directive, mais d’autres soutiennent que les filtres ne seront pas en mesure de faire la distinction entre les copies et d’autres documents protégés par le droit d’auteur et qu’ils seront de toute façon pris dans les feux croisés.

Article 11, la “taxe de lien”.

L’article vise à obtenir des sites agrégateurs de nouvelles, tels que Google News, à payer les éditeurs pour l’utilisation d’extraits de leurs articles sur leurs plates-formes. Les publications de presse “peuvent obtenir une rémunération équitable et proportionnée pour l’utilisation numérique de leurs publications de presse par les fournisseurs de services de la société de l’information”, précise la directive.

Personne ne sait vraiment comment celui-ci fonctionnerait non plus. Quelle part d’un article doit être partagée avant qu’une plate-forme ne doive payer l’éditeur ? La directive stipule que les plates-formes n’auront pas à payer si elles partagent “de simples hyperliens qui sont accompagnés de mots individuels”, mais comme la plupart des liens sont accompagnés de plus de deux mots, il semble que de nombreuses plates-formes et agrégateurs de nouvelles seraient en infraction à cette règle.

La directive contient une exemption pour “l’utilisation privée et non commerciale légitime des publications de presse par des utilisateurs individuels”, de sorte qu’il ne semble pas que les personnes partageant des liens sur les plateformes sociales devront puiser dans leurs poches. Mais même ceci est sujet à interprétation. Est-ce que quelqu’un qui a une grande audience sur les médias sociaux, qui publie des publicités pour ce public, est une entité “privée et non commerciale” ?

Qu’y a-t-il d’autre ?

L’article 12 bis pourrait empêcher quiconque n’est pas l’organisateur officiel d’un match sportif de publier des vidéos ou des photos de ce match. Cela pourrait mettre un terme aux GIF de sports viraux et même empêcher les gens qui ont assisté aux matchs de poster des photos sur les médias sociaux. Mais comme pour les articles ci-dessus, tout cela dépend de la manière dont la directive est interprétée par les Etats membres lorsqu’ils la transposent en droit national.

Qui est pour et contre la directive ?

La directive sur le droit d’auteur a suscité des critiques virulentes des deux côtés du débat, mais vous pouvez diviser les défenseurs et les détracteurs en deux grandes catégories.

Les organismes de l’industrie représentant les producteurs de contenu sont favorables à la directive. Il s’agit notamment de la Society of Authors et de l’Alliance for Intellectual Property and Proponents, basée au Royaume-Uni. En juin 2018, 84 organisations européennes de la musique et des médias, dont Universal Music Group et Waner Music Group, ont déclaré publiquement leur soutien à la directive. Au Parlement européen, le principal député européen qui présente la directive au Parlement est Axel Voss, député allemand et membre du Parti populaire européen.

L’autre partie du débat, les critiques de la directive, sont peut-être plus virulents. Il s’agit notamment du groupe de pression influent de la Silicon Valley, le CCIA, dont les membres comprennent Google, Facebook, eBay, Amazon et Netflix. Le 12 juin, un grand nombre de grands noms de l’internet, dont Jimmy Wales, fondateur de Wikipédia, et Tim Berners-Lee, ont signé une lettre ouverte dans laquelle ils s’opposaient à cette directive. Il convient de noter qu’en dépit du fait que la directive inclut une exception qui exclut explicitement Wikipedia et GitHub de ces règles, les deux sociétés ont maintenu leur opposition à la directive.

YouTube est de loin la critique la plus virulente à l’égard de l’article 13, l’entreprise s’efforçant de promouvoir l’opposition à la directive parmi ses créateurs et ses utilisateurs. Une fenêtre contextuelle sur le site Web et l’application YouTube dirige les utilisateurs vers une page intitulée “#saveyourinternet” qui comprend une vidéo de YouTube expliquant les objections de l’entreprise à la directive. Dans la vidéo, Matt Koval, un stratège en matière de contenu sur YouTube, affirme que – dans sa forme actuelle – l’article 13 “menace des centaines de milliers de créateurs, artistes et autres employés de l’économie créative”.

En plus de l’explicatif officiel de YouTube, la page héberge une poignée de vidéos de réactions et de commentaires d’éminents YouTubers. Dans une vidéo de réaction, le YouTuber Craig Thompson, qui compte un peu moins d’un demi-million d’abonnés, a résumé la situation comme suit : “Les joueurs sont morts, vous êtes morts, je suis mort, nous sommes tous morts, allons boire.”

Bien que la campagne #saveyourinternet se soit concentrée sur la mobilisation de l’opposition à la directive parmi les YouTubers et les utilisateurs, les plus hauts échelons de la direction de YouTube se sont également joints à l’opposition. Le 22 octobre, Susan Wojcicki, PDG de YouTube, a publié sur son blog un avertissement contre l’impact de la directive. “L’article 13, tel qu’il est rédigé, menace d’empêcher des millions de personnes – des créateurs comme vous aux utilisateurs ordinaires – de télécharger du contenu sur des plateformes comme YouTube “, a-t-elle écrit. “Et, s’il est mis en œuvre tel que proposé, l’article 13 menace des centaines de milliers d’emplois, de créateurs européens, d’entreprises, d’artistes et de tous ceux qu’ils emploient “, a-t-elle poursuivi, avant d’inviter les lecteurs à prendre l’argument des médias sociaux avec le hashtag “#SaveYourInternet”.

Depuis, Wojcicki écrit à nouveau. Dans un deuxième billet de blog, le 12 novembre, elle a déclaré qu’il y avait des “conséquences involontaires” de l’article 13. “L’approche du Parlement est irréaliste dans de nombreux cas parce que les titulaires de droits d’auteur sont souvent en désaccord sur qui détient quels droits “, a-t-elle écrit. “Si les propriétaires ne sont pas d’accord, il est impossible de s’attendre à ce que les plateformes ouvertes qui hébergent ce contenu prennent les bonnes décisions en matière de droits.”

Julia Reda, députée européenne et membre du Pirate Party Germany, est à la tête de l’opposition à la directive sur le droit d’auteur au sein du Parlement européen. “Les législateurs ont examiné le droit d’auteur principalement sous un angle très particulier : celui des grandes sociétés de médias, dont le contrôle sur les canaux de distribution s’affaiblit “, a-t-elle affirmé dans un éditorial à la suite du vote. “Le plus grand espace public que nous ayons jamais inventé ne doit pas devenir une victime des tentatives d’utiliser la loi sur le droit d’auteur pour résoudre des problèmes qu’elle n’a pas causés en premier lieu. Notre liberté d’expression en ligne est trop précieuse pour être gaspillée en munitions dans une bataille d’entreprise.”

Quand l’article 13 est-il abrogé ?

Après son adoption par le Parlement européen, la directive va maintenant faire l’objet de négociations informelles entre la Commission européenne, le Conseil et le Parlement. Les trois organisations décideront de la formulation finale de la législation avant de la présenter à la commission des affaires juridiques de l’UE à un moment donné, probablement vers décembre.

En janvier 2019, la directive sera renvoyée au Parlement européen pour un vote sur la formulation finale. C’est juste avant les élections au Parlement européen, de sorte que les eurodéputés pourraient bien commencer à prêter attention aux électeurs qui se font entendre alors qu’ils commencent à envisager la perspective de leur réélection.

Dans l’hypothèse de l’adoption de la directive, les États membres de l’UE disposent alors de deux ans pour adopter des lois qui mettront leurs lois en conformité avec les nouvelles réglementations. Les directives de l’UE ne sont pas des lois en soi, mais obligent simplement les gouvernements nationaux à adopter leurs propres lois qui font des directives une réalité, de sorte qu’il reste encore beaucoup à voir comment l’un des articles de la directive sera effectivement mis en œuvre dans le monde réel.

Source : Wired.Co.Uk

Ceci est la continuité du système totalitaire qui est fondé sur les valeurs les plus basses moralement de l’humanité (propriété matérielles, accaparation des biens, l’argent avant tout, refus de partage, manipulation des pensées par les grands groupes…).

Alors que les valeurs Universelles sont à l’opposée (partage, don, générosité, liberté d’expression, harmonie, échange, communication…).

On a dans l’article 13 la signature “de la bête” en plein visage.

Je rappelle que tous nos articles et vidéo originales sont libres de droit. Que nous ne croyons pas ici au “c’est moi qui l’ai fait, paye moi”.

Il faut en finir avec le droit d’auteur.

Est ce que le soleil vous dit “je t’éclaire, paye moi” ou que l’air vous dit “tu me respire, paye moi”, ou que l’eau vous dit “je te désaltère, paye moi”… non bien sur que non, la Terre nous donne aussi a manger gratuitement sans nous envoyer la facture… Il faut revenir a l’esprit naturel des choses et aux valeurs universelles de partage, de don, de générosité et de liberté.

Les droits d’auteurs ne profitent qu’aux riches, les artistes qui ne se sont pas vendus aux mega corporations (l’immense majorité) doivent recevoir des donations et non pas jouer le jeu des mega-corporations. Solution provisoire de toute façon avant que nous soyons sorti de ce système complètement et que nous vivions enfin sans argent.
Hmmm... le partage de fichiers pdf attachés à des messages de ce forum ? la citation d'articles ? les articles copiés-collés d'un média à l'autre ? :mrgreen: L'hébergement de fichiers divers sur des serveurs de personnes physiques ou de personnes morales ? :lol:

Des "exceptions" pour les œuvres sous licences libératrices (Creative Commons, ArtLibre, GNU/GPL, entre autres) ? :lol: :P :lol:

Même si j'essaie de ne pas trop dépendre des géants de l'internet (GAFAM, NATU, etc.), nous ramons dans le même sens sur ce point : opposition à ces folies du droit d'auteur (copyright madness).
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China Uses DNA to Track Its People, With the Help of American Expertise.
The Chinese authorities turned to a Massachusetts company and a prominent Yale researcher as they built an enormous system of surveillance and control.

BEIJING — The authorities called it a free health check. Tahir Imin had his doubts.

They drew blood from the 38-year-old Muslim, scanned his face, recorded his voice and took his fingerprints. They didn’t bother to check his heart or kidneys, and they rebuffed his request to see the results.

“They said, ‘You don’t have the right to ask about this,’” Mr. Imin said. “‘If you want to ask more,’ they said, ‘you can go to the police.’”

Mr. Imin was one of millions of people caught up in a vast Chinese campaign of surveillance and oppression. To give it teeth, the Chinese authorities are collecting DNA — and they got unlikely corporate and academic help from the United States to do it.

China wants to make the country’s Uighurs, a predominantly Muslim ethnic group, more subservient to the Communist Party. It has detained up to a million people in what China calls “re-education” camps, drawing condemnation from human rights groups and a threat of sanctions from the Trump administration.

Collecting genetic material is a key part of China’s campaign, according to human rights groups and Uighur activists. They say a comprehensive DNA database could be used to chase down any Uighurs who resist conforming to the campaign.

Police forces in the United States and elsewhere use genetic material from family members to find suspects and solve crimes. Chinese officials, who are building a broad nationwide database of DNA samples, have cited the crime-fighting benefits of China’s own genetic studies.

To bolster their DNA capabilities, scientists affiliated with China’s police used equipment made by Thermo Fisher, a Massachusetts company. For comparison with Uighur DNA, they also relied on genetic material from people around the world that was provided by Kenneth Kidd, a prominent Yale University geneticist.

On Wednesday, Thermo Fisher said it would no longer sell its equipment in Xinjiang, the part of China where the campaign to track Uighurs is mostly taking place. The company said separately in an earlier statement to The New York Times that it was working with American officials to figure out how its technology was being used.

Dr. Kidd said he had been unaware of how his material and know-how were being used. He said he believed Chinese scientists were acting within scientific norms that require informed consent by DNA donors.

China’s campaign poses a direct challenge to the scientific community and the way it makes cutting-edge knowledge publicly available. The campaign relies in part on public DNA databases and commercial technology, much of it made or managed in the United States. In turn, Chinese scientists have contributed Uighur DNA samples to a global database, potentially violating scientific norms of consent.

Cooperation from the global scientific community “legitimizes this type of genetic surveillance,” said Mark Munsterhjelm, an assistant professor at the University of Windsor in Ontario who has closely tracked the use of American technology in Xinjiang.

Swabbing Millions

In Xinjiang, in northwestern China, the program was known as “Physicals for All.”

From 2016 to 2017, nearly 36 million people took part in it, according to Xinhua, China’s official news agency. The authorities collected DNA samples, images of irises and other personal data, according to Uighurs and human rights groups. It is unclear whether some residents participated more than once — Xinjiang has a population of about 24.5 million.

In a statement, the Xinjiang government denied that it collects DNA samples as part of the free medical checkups. It said the DNA machines that were bought by the Xinjiang authorities were for “internal use.”

China has for decades maintained an iron grip in Xinjiang. In recent years, it has blamed Uighurs for a series of terrorist attacks in Xinjiang and elsewhere in China, including a 2013 incident in which a driver struck two people in Tiananmen Square in Beijing.

In late 2016, the Communist Party embarked on a campaign to turn the Uighurs and other largely Muslim minority groups into loyal supporters. The government locked up hundreds of thousands of them in what it called job training camps, touted as a way to escape poverty, backwardness and radical Islam. It also began to take DNA samples.

In at least some of the cases, people didn’t give up their genetic material voluntarily. To mobilize Uighurs for the free medical checkups, police and local cadres called or sent them text messages, telling them the checkups were required, according to Uighurs interviewed by The Times.

“There was a pretty strong coercive element to it,” said Darren Byler, an anthropologist at the University of Washington who studies the plight of the Uighurs. “They had no choice.”

Calling Dr. Kidd

Kenneth Kidd first visited China in 1981 and remained curious about the country. So when he received an invitation in 2010 for an expenses-paid trip to visit Beijing, he said yes.

Dr. Kidd is a major figure in the genetics field. The 77-year-old Yale professor has helped to make DNA evidence more acceptable in American courts.

His Chinese hosts had their own background in law enforcement. They were scientists from the Ministry of Public Security — essentially, China’s police.

During that trip, Dr. Kidd met Li Caixia, the chief forensic physician of the ministry’s Institute of Forensic Science. The relationship deepened. In December 2014, Dr. Li arrived at Dr. Kidd’s lab for an 11-month stint. She took some DNA samples back to China.

“I had thought we were sharing samples for collaborative research,” said Dr. Kidd.

Dr. Kidd is not the only prominent foreign geneticist to have worked with the Chinese authorities. Bruce Budowle, a professor at the University of North Texas, says in his online biography that he “has served or is serving” as a member of an academic committee at the ministry’s Institute of Forensic Science.

Jeff Carlton, a university spokesman, said in a statement that Professor Budowle’s role with the ministry was “only symbolic in nature” and that he had “done no work on its behalf.”

“Dr. Budowle and his team abhor the use of DNA technology to persecute ethnic or religious groups,” Mr. Carlton said in the statement. “Their work focuses on criminal investigations and combating human trafficking to serve humanity.”

Dr. Kidd’s data became part of China’s DNA drive.

In 2014, ministry researchers published a paper describing a way for scientists to tell one ethnic group from another. It cited, as an example, the ability to distinguish Uighurs from Indians. The authors said they used 40 DNA samples taken from Uighurs in China and samples from other ethnic groups from Dr. Kidd’s Yale lab.

In patent applications filed in China in 2013 and 2017, ministry researchers described ways to sort people by ethnicity by screening their genetic makeup. They took genetic material from Uighurs and compared it with DNA from other ethnic groups. In the 2017 filing, researchers explained that their system would help in “inferring the geographical origin from the DNA of suspects at crime scenes.”

For outside comparisons, they used DNA samples provided by Dr. Kidd’s lab, the 2017 filing said. They also used samples from the 1000 Genomes Project, a public catalog of genes from around the world.

Paul Flicek, member of the steering committee of the 1000 Genomes Project, said that its data was unrestricted and that “there is no obvious problem” if it was being used as a way to determine where a DNA sample came from.

The data flow also went the other way.

Chinese government researchers contributed the data of 2,143 Uighurs to the Allele Frequency Database, an online search platform run by Dr. Kidd that was partly funded by the United States Department of Justice until last year. The database, known as Alfred, contains DNA data from more than 700 populations around the world.

This sharing of data could violate scientific norms of informed consent because it is not clear whether the Uighurs volunteered their DNA samples to the Chinese authorities, said Arthur Caplan, the founding head of the division of medical ethics at New York University’s School of Medicine. He said that “no one should be in a database without express consent.”

“Honestly, there’s been a kind of naïveté on the part of American scientists presuming that other people will follow the same rules and standards wherever they come from,” Dr. Caplan said.

Dr. Kidd said he was “not particularly happy” that the ministry had cited him in its patents, saying his data shouldn’t be used in ways that could allow people or institutions to potentially profit from it. If the Chinese authorities used data they got from their earlier collaborations with him, he added, there is little he can do to stop them.

He said he was unaware of the filings until he was contacted by The Times.

Dr. Kidd also said he considered his collaboration with the ministry to be no different from his work with police and forensics labs elsewhere. He said governments should have access to data about minorities, not just the dominant ethnic group, in order to have an accurate picture of the whole population.

As for the consent issue, he said the burden of meeting that standard lay with the Chinese researchers, though he said reports about what Uighurs are subjected to in China raised some difficult questions.

“I would assume they had appropriate informed consent on the samples,” he said, “though I must say what I’ve been hearing in the news recently about the treatment of the Uighurs raises concerns.”

Machine Learning

In 2015, Dr. Kidd and Dr. Budowle spoke at a genomics conference in the Chinese city of Xi’an. It was underwritten in part by Thermo Fisher, a company that has come under intense criticism for its equipment sales in China, and Illumina, a San Diego company that makes gene sequencing instruments. Illumina did not respond to requests for comment.

China is ramping up spending on health care and research. The Chinese market for gene-sequencing equipment and other technologies was worth $1 billion in 2017 and could more than double in five years, according to CCID Consulting, a research firm. But the Chinese market is loosely regulated, and it isn’t always clear where the equipment goes or to what uses it is put.

Thermo Fisher sells everything from lab instruments to forensic DNA testing kits to DNA mapping machines, which help scientists decipher a person’s ethnicity and identify diseases to which he or she is particularly vulnerable. China accounted for 10 percent of Thermo Fisher’s $20.9 billion in revenue, according to the company’s 2017 annual report, and it employs nearly 5,000 people there.

“Our greatest success story in emerging markets continues to be China,” it said in the report.

China used Thermo Fisher’s equipment to map the genes of its people, according to five Ministry of Public Security patent filings.

The company has also sold equipment directly to the authorities in Xinjiang, where the campaign to control the Uighurs has been most intense. At least some of the equipment was intended for use by the police, according to procurement documents. The authorities there said in the documents that the machines were important for DNA inspections in criminal cases and had “no substitutes in China.”

In February 2013, six ministry researchers credited Thermo Fisher’s Applied Biosystems brand, as well as other companies, with helping to analyze the DNA samples of Han, Uighur and Tibetan people in China, according to a patent filing. The researchers said understanding how to differentiate between such DNA samples was necessary for fighting terrorism “because these cases were becoming more difficult to crack.”

The researchers said they had obtained 95 Uighur DNA samples, some of which were given to them by the police. Other samples were provided by Uighurs voluntarily, they said.

Thermo Fisher was criticized by Senator Marco Rubio, Republican of Florida, and others who asked the Commerce Department to prohibit American companies from selling technology to China that could be used for purposes of surveillance and tracking.

On Wednesday, Thermo Fisher said it would stop selling its equipment in Xinjiang, a decision it said was “consistent with Thermo Fisher’s values, ethics code and policies.”

“As the world leader in serving science, we recognize the importance of considering how our products and services are used — or may be used — by our customers,” it said.

Human rights groups praised Thermo Fisher’s move. Still, they said, equipment and information flows into China should be better monitored, to make sure the authorities elsewhere don’t send them to Xinjiang.

“It’s an important step, and one hopes that they apply the language in their own statement to commercial activity across China, and that other companies are assessing their sales and operations, especially in Xinjiang,” said Sophie Richardson, the China director of Human Rights Watch.

American lawmakers and officials are taking a hard look at the situation in Xinjiang. The Trump administration is considering sanctions against Chinese officials and companies over China’s treatment of the Uighurs.

China’s tracking campaign unnerved people like Tahir Hamut. In May 2017, the police in the city of Urumqi in Xinjiang drew the 49-year-old Uighur’s blood, took his fingerprints, recorded his voice and took a scan of his face. He was called back a month later for what he was told was a free health check at a local clinic.

Mr. Hamut, a filmmaker who is now living in Virginia, said he saw between 20 to 40 Uighurs in line. He said it was absurd to think that such frightened people had consented to submit their DNA.

“No one in this situation, not under this much pressure and facing such personal danger, would agree to give their blood samples for research,” Mr. Hamut said. “It’s just inconceivable.”
Êtes-vous une personne d'intérêt ?

Et à côté de ça... le PLR (oui, le PLR suisse) dit que nous devons fournir nos données médicales... une raison de plus pour ne pas faire confiance au PLR !

Ça fait penser aussi à Lucky Luke contre Pinkerton (et les cousins Dalton). Toutes nos données... ben... d'un côté, des personnes veulent gagner des millions (si ce n'est plus) avec (alias Joe Dalton) ; de l'autre, des personnes veulent ficher, cartographier, suivre les citoyens à la trace (alias Allan Pinkerton ; "Tout citoyen est un criminel en puissance.").
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.

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freeshost
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par freeshost »

D'ailleurs, la Chine commence à mettre son système de points.

Un peu comme le permis de conduire en France :mrgreen: , mais pour tout (et pas seulement les infractions de conduite automobile).

Manifestement, la Chine a remplacé prudent par totalitariste dans l'adage "On n'est jamais trop prudent."

Quand la Chine se réveillera... le monde tremblera... [Autrement, d'Alain Peyrefitte, on peut aussi lire L’Empire immobile ou le choc des mondes.]

Image

Et des humains chinois, qui plus est ! Qui composent plus du sixième de la population. [Tout comme les humains indiens. Les deux pays font presque - ou auraient déjà dépassé ? - les deux cinquièmes ?]
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Tugdual
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par Tugdual »

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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lulamae
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par lulamae »

Live Le media à 20 h 30 ce soir :
Le Media a écrit : MACRON CONTRE L'INFORMATION
Après le projet de loi sur les fake news, le pouvoir français prépare une nouvelle loi sur l’information. Officiellement conçue pour lutter contre les contenus haineux sur Internet, celle-ci ouvre une fois encore la voie à une réduction des libertés publiques. Que nous prépare l’Etat, main dans la main avec les GAFAS ? Quelles menaces pèsent sur la liberté d’informer en France ?

NOUS DÉBATTRONS DE TOUT CELA AVEC :
Gaspard Glanz, journaliste indépendant (Taranis News)
John R. MacArthur, journaliste et essayiste, patron du Harper's
Olivier Berruyer, fondateur du site Les Crises
Benjamin Bayart, co-fondateur de La Quadrature Du Net
Diagnostic d'autisme juillet 2019.
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Jiheu
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par Jiheu »

En savoir plus sur le HDCP:
https://fr.wikipedia.org/wiki/High-band ... Protection
Le numérique n'a pas que des avantages !
Fils de 16 ans dont le diagnostic est confirmé.
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par Tugdual »

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par Tugdual »

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Pour parler des libertés numériques, ici !

Message par Tugdual »

Tout va bien dans le meilleur des mondes :
Si la pratique n’est pas totalement saine, notamment pour les employés confrontés à des extraits audio qu’ils n’aimeraient pas avoir entendus, cela n’a rien d’inquiétant pour l’utilisateur.
:shock:

Ben voyons !

:roll:

Bonus :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).