Je me suis arrêtée en cours de route, beaucoup d’analyses me semblaient trop biaisées. La lecture de l’article du monde diplo ne m’a pas encouragée à poursuivre ensuite.
Merci Bubu, je vais relire les Barjavel que j’ai.
Je me suis arrêtée en cours de route, beaucoup d’analyses me semblaient trop biaisées. La lecture de l’article du monde diplo ne m’a pas encouragée à poursuivre ensuite.
Je crois saisir la situation, ça m'est aussi arrivé si je puis dire de "lever le frein à main" pendant la lecture d'un livre qui avait pourtant bonne presse, et d'abandonner définitivement mes projets de finir le bouquin en question.
Oui, c'est ce que je pressentais dans ce livre... Il y a certains livres qui sont trop forts pour moi à certains moments, et je reporte leur lecture. Ca a été le cas pour relire L'Idiot : je l'avais lu à 17 ans d'une traite, il m'avait comme donné la fièvre. Le Journal de Kafka me fait le même effet, j'ai du mal à m'y plonger.
Je viens de rechercher Boris Pahor, je ne connaissais pas. Il a été déporté à Dachau, comme mon grand-père paternel. Ca devrait m'intéresser, puisque Le Pélerin parmi les ombres notamment porte sur la déportation (ce n'est pas très gai, mais la littérature des camps est un de mes thèmes de prédilection).Flower a écrit : ↑mardi 29 janvier 2019 à 14:54 Marai a écrit un ouvrage autobiographique sur la période de la 2ème guerre mondiale ("Mémoires de Hongrie") qui est moins difficile à lire que celui de Kertész, mais intéressant par rapport à l'histoire du pays. Je ne sais pas si j'ose te parler de Boris Pahor, un écrivain slovène, parce que le livre que j'ai de lui était tellement ennuyeux que je n'ai pas réussi à le terminer...
J'ai eu l'immense "joie" de devoir faire un exposé sur un poème de Celan au lycée. Pas facile! Le style est spécial par moments, même si c'est très beau.
Ah parce que là, c'était pas encore n'importe quoi ? Tu t'es retenu ? On a de la chance !bubu a écrit : Je ne peux en dire plus, mes émotions me submergent.
Et je risquerais de raconter n'importe quoi.