(in)compatibilité HPI et TSA ?
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
Quand je lis ça, j'ai une soudaine envie de tourte fromage et champignons.
Je ne me suis jamais renseigné à ce sujet. Mais les deux syndromes ne sont pas incompatibles.
Et distinguer HPI et HQI franchement .... c'est la même chose. Et ce n'est pas ça le problème.
Je ne me suis jamais renseigné à ce sujet. Mais les deux syndromes ne sont pas incompatibles.
Et distinguer HPI et HQI franchement .... c'est la même chose. Et ce n'est pas ça le problème.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ? = ben non
Le H. P. I., cela implique de grandes facultés d’analyse, notamment une forte tendance à l’introspection. Souvent [généralité], on trouve dans ce profil une meilleure perception des difficultés ainsi que des stratégies de compensation qui vont possiblement être plus développées. Ce n’est pas parce que la douance correspond à « un fonctionnement intense » qu’on doit considérer qu’elle vient intensifier les symptômes de l’autisme ; cela ne me semble pas faire sens. Ça ne veut pas dire qu’on ne peut pas trouver des autistes surdoués qui ont de sévères difficultés, ni qu’autisme et douance ne peuvent pas « interagir ». Mais je ne pense pas que le H. P. I. « doive » accentuer les symptômes. Disons qu’être surdoué, ça peut aider.alexis a écrit : ↑mercredi 10 octobre 2018 à 14:50 Beaucoup pensent que le HPI permettrait de compenser les difficultés liées à l'autisme, jusqu'à le faire paraître "invisible" (apparté : se croire invisible, ou penser qu'on réussi à paraître normal, ne veut pas forcément dire qu'on l'est réellement ou qu'on y arrive). Je pense que ce serait plutôt le contraire. Les HPI étant dans l'excès par rapport à la normale NT, les TSA+HPI devraient en théorie présenter des symptomes plus lourds, plus stigmatisants et excessifs que chez les TSA non HPI. Le TSA+HPI devrait plus ressembler à une caricature où chaque trait de l'autiste moyen est grossi, exagéré, parait surjoué, qu'à un TSA léger ou attenué. Idem chez un même individu HPI, les conflits interieurs et contradictions sont plus accentués ; ainsi, chez le TSA (tout comme le HQI non TSA) on devrait avoir plus d'écart entre les réussites (ex passion, métier, apprentissages) et échecs (comportements défis ponctuels qui demeurent chez des adultes alors qu'on arrive en venir à bout chez la plupart des TSA non HPI).
Pas de diagnostic.
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
27/05/19 : restitution du bilan psy → H. P. I. et « ensemble d’éléments indiquant la présence associée d’un possible T. S. A. ».
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
À part ça, alexis, d’accord avec toi en ce qui concerne les grosses complications induites par le profil « autiste surdoué ».
C’est misty qui rappelait, je crois, que les difficultés autistiques sont explicables par un certain fonctionnement cognitif, tandis que celles du H. P. I. sont plutôt en lien avec une dysharmonie entre le profil de l’individu et l’environnement dans lequel il évolue. Une personne surdouée pourra ainsi traiter plus efficacement, pour prendre un exemple basique, l’ironie ou les expressions faciales. Ce qui n’exclue pas une franche galère en situation sociale...
C’est misty qui rappelait, je crois, que les difficultés autistiques sont explicables par un certain fonctionnement cognitif, tandis que celles du H. P. I. sont plutôt en lien avec une dysharmonie entre le profil de l’individu et l’environnement dans lequel il évolue. Une personne surdouée pourra ainsi traiter plus efficacement, pour prendre un exemple basique, l’ironie ou les expressions faciales. Ce qui n’exclue pas une franche galère en situation sociale...
Pas de diagnostic.
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
27/05/19 : restitution du bilan psy → H. P. I. et « ensemble d’éléments indiquant la présence associée d’un possible T. S. A. ».
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
Euh, si vous lisiez les derniers articles scientifiques et / ou thèses sur les hpi/hqi/surdoués (tous ces mots, acronymes qualifient la même chose), vous sauriez que ces définitions ne reposent sur finalement pas grand chose de viable et non biaisé mis à part le QI.
Surtout que ces mêmes articles / thèses ont prouvé que beaucoup de différences supposées entre surdoués et non surdoués ne reposent sur aucun fondement sérieux scientifiquement.
De plus qu'une méthode/étude a prouvé qu'il est possible via un entrainement de raisonnement abstrait répété (théorie des cadres relationnels) que le QI peut augmenter de 14 à 32 points. Alors, si on nait avec un QI de 115, et que l'on arrive à 130/145 après entrainement on devient surdoué? ça remet beaucoup de choses en question. Par ailleurs, il me semble aussi avoir lu que Dabrowski et sa théorie (pare sûr.e?) des hyper excitabilités était aussi remis en question et vue comme biaisée aussi. A vérifier.
Vous pouvez tester ça ici si vous êtes intéressés. => https://raiseyouriq.com/
Les articles en question
http://stephanieaubertin.fr/pseudoscien ... nce-exacte
http://www.scilogs.fr/ramus-meninges/la ... -surdoues/
De plus, les différences de raisonnement (séquentiel versus arborescent), elles aussi ne reposent sur rien de scientifique. (personnellement j'aurai tendance à penser que cela va de paire avec les préférences de style d'apprentissage, global/séquentiel, visuel/auditif, etc... Mais que ce n'est pas une caractéristique propres aux surdoués)
Alors au final, que reste-t-il de valide scientifiquement de cette définition des surdoués? Et bien pas grand chose.
Ne laissez pas une étiquette vous dicter comment être. ET comme j'aime me le répéter (pour moi ), le meilleur moyen de vivre avec une étiquette c'est de s'en débarrasser.
Surtout que ces mêmes articles / thèses ont prouvé que beaucoup de différences supposées entre surdoués et non surdoués ne reposent sur aucun fondement sérieux scientifiquement.
De plus qu'une méthode/étude a prouvé qu'il est possible via un entrainement de raisonnement abstrait répété (théorie des cadres relationnels) que le QI peut augmenter de 14 à 32 points. Alors, si on nait avec un QI de 115, et que l'on arrive à 130/145 après entrainement on devient surdoué? ça remet beaucoup de choses en question. Par ailleurs, il me semble aussi avoir lu que Dabrowski et sa théorie (pare sûr.e?) des hyper excitabilités était aussi remis en question et vue comme biaisée aussi. A vérifier.
Vous pouvez tester ça ici si vous êtes intéressés. => https://raiseyouriq.com/
Les articles en question
http://stephanieaubertin.fr/pseudoscien ... nce-exacte
http://www.scilogs.fr/ramus-meninges/la ... -surdoues/
De plus, les différences de raisonnement (séquentiel versus arborescent), elles aussi ne reposent sur rien de scientifique. (personnellement j'aurai tendance à penser que cela va de paire avec les préférences de style d'apprentissage, global/séquentiel, visuel/auditif, etc... Mais que ce n'est pas une caractéristique propres aux surdoués)
Alors au final, que reste-t-il de valide scientifiquement de cette définition des surdoués? Et bien pas grand chose.
Ne laissez pas une étiquette vous dicter comment être. ET comme j'aime me le répéter (pour moi ), le meilleur moyen de vivre avec une étiquette c'est de s'en débarrasser.
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
Vad : « Euh, si vous lisiez les derniers articles scientifiques et / ou thèses sur les hpi/hqi/surdoués (tous ces mots, acronymes qualifient la même chose), vous sauriez que ces définitions ne reposent sur finalement pas grand chose de viable et non biaisé mis à part le QI. »
Puisque le Q. I. est la seule chose qui soit mesurable, malgré des tas de failles. On ne peut pas nier, néanmoins, qu’un certain profil général correspond au H. Q. I., qui est un indice. Et jusqu’ici, cette condition, si je puis dire, constitue toujours la meilleure explication aux particularités [facilités ou difficultés] de ces individus. Après, pas besoin d’établir des dichotomies profondes de type « raisonnement en arborescence »/« raisonnement linéaire » ; je ne suis pas friande de ces trucs non plus.
Vad : « De plus qu'une méthode/étude a prouvé qu'il est possible via un entrainement de raisonnement abstrait répété (théorie des cadres relationnels) que le QI peut augmenter de 14 à 32 points. Alors, si on nait avec un QI de 115, et que l'on arrive à 130/145 après entrainement on devient surdoué? ça remet beaucoup de choses en question. »
Oui, évidemment que le Q. I. peut augmenter en cas de stimulation intellectuelle régulière. Mais on naît H. P. I., c’est une prédisposition qui se manifeste dès l’enfance ; ça ne se normalisera pas au bout d’un moment. La profonde différence de maturité à un âge précoce, l’aisance durable dans certains domaines, la grande richesse de « l’intériorité », la tendance à être foncièrement logique, la sensibilité émotionnelle... Certains traits se retrouvent invariablement. Je ne parle pas ici de l’anxiété, qui est une conséquence éventuelle, ou d’autres problèmes possibles.
Après, je manque possiblement de connaissances scientifiques ; mais je ne pense pas qu’on puisse tout réduire à un gros score aux tests de Q. I. On ne peut pas non plus extrapoler que les personnes surdouées ont un genre de cerveau surpuissant et magique...
Puisque le Q. I. est la seule chose qui soit mesurable, malgré des tas de failles. On ne peut pas nier, néanmoins, qu’un certain profil général correspond au H. Q. I., qui est un indice. Et jusqu’ici, cette condition, si je puis dire, constitue toujours la meilleure explication aux particularités [facilités ou difficultés] de ces individus. Après, pas besoin d’établir des dichotomies profondes de type « raisonnement en arborescence »/« raisonnement linéaire » ; je ne suis pas friande de ces trucs non plus.
Vad : « De plus qu'une méthode/étude a prouvé qu'il est possible via un entrainement de raisonnement abstrait répété (théorie des cadres relationnels) que le QI peut augmenter de 14 à 32 points. Alors, si on nait avec un QI de 115, et que l'on arrive à 130/145 après entrainement on devient surdoué? ça remet beaucoup de choses en question. »
Oui, évidemment que le Q. I. peut augmenter en cas de stimulation intellectuelle régulière. Mais on naît H. P. I., c’est une prédisposition qui se manifeste dès l’enfance ; ça ne se normalisera pas au bout d’un moment. La profonde différence de maturité à un âge précoce, l’aisance durable dans certains domaines, la grande richesse de « l’intériorité », la tendance à être foncièrement logique, la sensibilité émotionnelle... Certains traits se retrouvent invariablement. Je ne parle pas ici de l’anxiété, qui est une conséquence éventuelle, ou d’autres problèmes possibles.
Après, je manque possiblement de connaissances scientifiques ; mais je ne pense pas qu’on puisse tout réduire à un gros score aux tests de Q. I. On ne peut pas non plus extrapoler que les personnes surdouées ont un genre de cerveau surpuissant et magique...
Pas de diagnostic.
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
27/05/19 : restitution du bilan psy → H. P. I. et « ensemble d’éléments indiquant la présence associée d’un possible T. S. A. ».
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
27/05/19 : restitution du bilan psy → H. P. I. et « ensemble d’éléments indiquant la présence associée d’un possible T. S. A. ».
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
ça se sont des affirmations personnelles et des suppositions qui ne reposent sur bien de concret. Pas d'études, d'articles scientifiques ou tout autre document sérieux pour étayer tout cela, ça ne reste que du "on dit".
Par ailleurs, as tu lu ces articles qui réfutent bon nombre de différences, spécificités associées aux hpi/surdoués/hqi? (entourez votre mention préférée)
La différence de sensibilité émotionnelle est citée dans l'article de Stéphanie Aubertin, à voir ici => http://stephanieaubertin.fr/pseudoscien ... nce-exacte
citation + thèse dispo ici :
http://les-tribulations-dun-petit-zebre ... -belgique/
Pour le moment au vu des dernières recherches, réduire à un test de QI est probablement la chose la plus objective et impartiale par rapport aux biais qu'il y avait eu dans les témoignages et les ouvrages traitant du sujet tentant de définir les personnes surdouées et leur particularités, aussi bien comportementales qu'intellectuelle.
Contre exemple : dans ce cas, les étudiant.es poursuivant de longues études (ou tout autre personne étant amené à faire un travail intellectuel quotidien) verrait son QI augmenter dans le temps. Et par conséquent se retrouverait avec un QI bien plus élevé à la fin de sont cycle d'études/après une certaine durée de travail qu'en début. Or ce n'est pas le cas. (les rares études sur ça, ne sont pas viables), exemple rapide ici : https://www.breizh-info.com/2017/11/10/ ... tude-debatOui, évidemment que le Q. I. peut augmenter en cas de stimulation intellectuelle régulière
Par ailleurs, as tu lu ces articles qui réfutent bon nombre de différences, spécificités associées aux hpi/surdoués/hqi? (entourez votre mention préférée)
La différence de sensibilité émotionnelle est citée dans l'article de Stéphanie Aubertin, à voir ici => http://stephanieaubertin.fr/pseudoscien ... nce-exacte
citation + thèse dispo ici :
http://les-tribulations-dun-petit-zebre ... -belgique/
Pour le moment au vu des dernières recherches, réduire à un test de QI est probablement la chose la plus objective et impartiale par rapport aux biais qu'il y avait eu dans les témoignages et les ouvrages traitant du sujet tentant de définir les personnes surdouées et leur particularités, aussi bien comportementales qu'intellectuelle.
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
Je pensais à une possibilité d’augmenter les compétences qui sont évaluées par le Q. I. Exemples : en arithmétique en s’entraînant au calcul mental, en vocabulaire en lisant... Faire travailler sa mémoire, s’habituer à des exercices auxquels on peut être complètement étranger... C’est possible, non ? Dans une certaine mesure, en tout cas.Vad a écrit : ↑dimanche 14 octobre 2018 à 13:28 Contre exemple : dans ce cas, les étudiant.es poursuivant de longues études (ou tout autre personne étant amené à faire un travail intellectuel quotidien) verrait son QI augmenter dans le temps. Et par conséquent se retrouverait avec un QI bien plus élevé à la fin de sont cycle d'études/après une certaine durée de travail qu'en début. Or ce n'est pas le cas. (les rares études sur ça, ne sont pas viables), exemple rapide ici : https://www.breizh-info.com/2017/11/10/ ... tude-debat
Non, je ne les ai pas lus... Je reste curieuse.
Les traits que j’ai cités ne sont-ils pas communs ?
Pour la sensibilité émotionnelle, j’ai hésité à l’écrire... Mais : « Dans la conclusion générale de sa thèse, elle explique les difficultés émotionnelles que peuvent rencontrer certains jeunes à haut potentiel par un traitement cognitif de la situation qui serait plus important et qui perdurerait beaucoup plus longtemps, c’est-à-dire une très forte intellectualisation dans le temps qui amènerait à ruminer et à donc maintenir une émotion à un fort niveau. »
Le problème, je te l’avoue, c’est que j’ai une expérience personnelle en tête qui est extraordinairement proche de tout ce que j’ai pu lire au sujet de ce fameux profil. Il est officieux, on le généralise trop souvent... mais c’est tout moi. Et surtout, ça explique beaucoup, beaucoup de choses... Mais halte, « je vivais mon Q. I. », ce n’est pas moi ! Comme pour l’autisme, je m’interroge au sujet de la douance parce qu’un énorme mystère m’obsède complètement depuis que j’ai 10 ans ; et, avec ces deux cadres de réflexion [reste à savoir lequel est à bannir ou si je les combine], tout est résolu. Du coup, pour moi, c’est difficile de rejeter cette description...
Modifié en dernier par Grisha le dimanche 14 octobre 2018 à 15:06, modifié 1 fois.
Pas de diagnostic.
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
27/05/19 : restitution du bilan psy → H. P. I. et « ensemble d’éléments indiquant la présence associée d’un possible T. S. A. ».
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
Le point commun entre les approches type Aubertin et Ramus sur le sujet des HQI est que leur argumentaire est celui- ci avancé par des personnes à tendance "trouble d'opposition", soit des personnalités soupe-au-lait qui aiment la confrontation avec l'autre et être le grain de sable pour se mettre en avant. C'est les plus médiocres citations que tu pouvais opposer à mon point de vue sur le HQI. Des limites à cette théorie sur le HPI, il en existe mais pour les trouver, il faut élargir sa culture scientifique à autre chose que Ramus pour cela.
L'article de Aubertin est complètement crétin, et ne mérite aucune attention ni commentaire. Celui de Ramus aussi a priori, mais comme c'est "une huile" (=personne influente politiquement), je vais faire un petit effort pour exprimer ce qui est une évidence pour beaucoup de ses détracteurs.
Ramus a un profil de chercheur universitaire, ce type de profil n'est pas mis en avant pour apporter de l'innovation, mais pour leur vocation conservatrice, c'est à dire entretenir le savoir académique et diffuser cette bonne parole aux étudiants en formation. Ce type de profil fait dans le "consensuel", pour faire plaisir à tout le monde pour être aimé de tous, être rassembleur, éviter les sujets qui fâchent et faire des courbettes aux vieux grincheux pour être renouvelé à son poste de chef (lire son cv pour comprendre). Ramus a un comportement et parcours professionnel plus proche de celui d'un politicien que de celui d'un chercheur ou d'un scientifique, ou même d'un simple praticien psy. Un gros bonnet lui commande une étude anti-HPI, il la pond bien docilement. A l'autre bout du spectre comportemental de la recherche, on trouve des gens comme Mottron qui en introduction de chacune de leurs interventions publiques expliquent qu'ils ont fuit le système français parce qu'ils voulaient se donner une chance de faire avancer la connaissance, avec une méthodologie d'émission d'hypothèses à partir de constats statistiques et de vérifications avec examens médicaux vérifiables et reproductibles par un tiers (par ex IRM). La méthode des thèses universitaires, c'est de compiler des résultats de recherches pris à tord et travers pour plaire à son directeur de thèse ; et plus tu seras fayot plus t'auras une mention élevée. Si tu veux argumenter sans que ce soit risible, ne cites jamais des thèses parce que tu passes pour un inculte auprès de gens qui sont passé par cet exercice de bizutage de fin d'étude obligatoire pour avoir le droit de pratiquer un métier très codifié. Préfères plutôt les idées émises par des gens dont c'est le travail de toute une vie ; l'implication d'un passionné réfléchi c'est un des meilleurs gage de qualité.
vrai et décrit tel quel par divers professionnels du hqi que je connais personnellement, mais pas par tous (le niveau de connaissance, d'efficacité, d'enjeu et de type de clientèle est variables parmi ces pros)De plus, les différences de raisonnement (séquentiel versus arborescent), elles aussi ne reposent sur rien de scientifique. (personnellement j'aurai tendance à penser que cela va de paire avec les préférences de style d'apprentissage, global/séquentiel, visuel/auditif, etc... Mais que ce n'est pas une caractéristique propres aux surdoués)
dixit quelqu'un qui se revendique sous une étiquette "aspis" alors qu'elle est rendue obsolète par consensus scientifique depuis les derniers DSM et CIMNe laissez pas une étiquette vous dicter comment être. ET comme j'aime me le répéter (pour moi ), le meilleur moyen de vivre avec une étiquette c'est de s'en débarrasser.
vrai aussi qu'en s'entrainant, on peut biaiser le résultat. Normalement, il y a un délai de plusieurs années à attendre si on veut repasser le test QI, parce qu'on pense par ex avoir sous-performer pour une raison ou une autre (ex on était dépressif la période du test). C'est une des raisons pour lequel le test Qi est considéré comme non fiable scientifiquement. Il est également non généralisable à toute la population, à cause de cas comme celui des autistes par exemple, et aussi de ces profils visuels/arborescents qui d'une certaine manière truandent lors des tests en utilisant une méthode de raisonnement qui n'est pas celle attendue par le concepteur des tests (le test Qi suppose que vous aller utiliser un raisonnement séquentiel typiquement scolaire).De plus qu'une méthode/étude a prouvé qu'il est possible via un entrainement de raisonnement abstrait répété (théorie des cadres relationnels) que le QI peut augmenter de 14 à 32 points. Alors, si on nait avec un QI de 115, et que l'on arrive à 130/145 après entrainement on devient surdoué? ça remet beaucoup de choses en question. Par ailleurs, il me semble aussi avoir lu que Dabrowski et sa théorie (pare sûr.e?) des hyper excitabilités était aussi remis en question et vue comme biaisée aussi. A vérifier.
entrepreneur, surdoué, hyper-sélectivité alimentaire sévère depuis bb, Mottron friendly
PS : Ne vous embêtez pas à répondre à mes propos, je n'y répondrai pas. Je ne revendique rien, juste je me renseigne sur un symptôme en commun.
PS : Ne vous embêtez pas à répondre à mes propos, je n'y répondrai pas. Je ne revendique rien, juste je me renseigne sur un symptôme en commun.
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
Pas besoin d’en arriver là... C’est sa signature.alexis a écrit : ↑dimanche 14 octobre 2018 à 15:06dixit quelqu'un qui se revendique sous une étiquette "aspis" alors qu'elle est rendue obsolète par consensus scientifique depuis les derniers DSM et CIMNe laissez pas une étiquette vous dicter comment être. ET comme j'aime me le répéter (pour moi ), le meilleur moyen de vivre avec une étiquette c'est de s'en débarrasser.
Pas de diagnostic.
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
27/05/19 : restitution du bilan psy → H. P. I. et « ensemble d’éléments indiquant la présence associée d’un possible T. S. A. ».
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
27/05/19 : restitution du bilan psy → H. P. I. et « ensemble d’éléments indiquant la présence associée d’un possible T. S. A. ».
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
je retourne juste la condescendance à l'envoyeur ; c'est juste pour le fun et sans méchanceté, bien qu'un peu moqueurPas besoin d’en arriver là... C’est sa signature.
entrepreneur, surdoué, hyper-sélectivité alimentaire sévère depuis bb, Mottron friendly
PS : Ne vous embêtez pas à répondre à mes propos, je n'y répondrai pas. Je ne revendique rien, juste je me renseigne sur un symptôme en commun.
PS : Ne vous embêtez pas à répondre à mes propos, je n'y répondrai pas. Je ne revendique rien, juste je me renseigne sur un symptôme en commun.
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
L'étiquette en signature est requise par la charte du forum. Difficile d'y échapper. A choisir, je préfère en écrire aucune. (de plus j'ai omis volontairement une autre étiquette)
Quand au reste, entre affirmations douteuses et non étayées, no comment.
Si "On dit" était un parti, ce serait le plus populaire.
Et le plus gros menteur s'appelle "on dit".
Tu as tout à fait raison après réflexion, tout n'est pas à jeter non plus dans la description des hpi, telle que l'on peut la connaitre. Et les étiquettes quelles qu'elles soient sont une grande aide pour se comprendre et avancer dans une phase de recherche et de compréhension de soi, quoi que j'en dise personnellement. (je tente d'avancer et me comprendre dans mon fonctionnement en essayant de me détacher de ces étiquettes et non plus de me définir par leur seule lecture comme j'ai pu le faire avec le passé, et je suis assez agacé.e par les fausses idées qui circulent sur le sujet, et n'y voyez aucune attaque personnelle, je sais que je peux réagir fortement sur certains sujets et je m'en excuse si cela est reçu comme une agression ou une attitude condescendante)
Les articles que j'ai postés en liens précédemment, n'invalident pas l'existence des hpi, mais plutôt l'image faussée qui s'était répandue dans les médias (livres, blogs, études, ect...) tout en étant basés sur des études bancales et des témoignages par toujours très viables. Je les vois comme une éponge qui efface un tableau couvert de fautes et d'approximations, avec la possibilité d'une nouvelle définition et approche du sujet de la douance qui reste à réécrire en grande partie.
Quand au reste, entre affirmations douteuses et non étayées, no comment.
Si "On dit" était un parti, ce serait le plus populaire.
Et le plus gros menteur s'appelle "on dit".
Pardon, j'avais manqué ton message.Grisha a écrit : ↑dimanche 14 octobre 2018 à 15:06
Je pensais à une possibilité d’augmenter les compétences qui sont évaluées par le Q. I. Exemples : en arithmétique en s’entraînant au calcul mental, en vocabulaire en lisant... Faire travailler sa mémoire, s’habituer à des exercices auxquels on peut être complètement étranger... C’est possible, non ? Dans une certaine mesure, en tout cas.
Non, je ne les ai pas lus... Je reste curieuse.
Les traits que j’ai cités ne sont-ils pas communs ?
Pour la sensibilité émotionnelle, j’ai hésité à l’écrire... Mais : « Dans la conclusion générale de sa thèse, elle explique les difficultés émotionnelles que peuvent rencontrer certains jeunes à haut potentiel par un traitement cognitif de la situation qui serait plus important et qui perdurerait beaucoup plus longtemps, c’est-à-dire une très forte intellectualisation dans le temps qui amènerait à ruminer et à donc maintenir une émotion à un fort niveau. »
Le problème, je te l’avoue, c’est que j’ai une expérience personnelle en tête qui est extraordinairement proche de tout ce que j’ai pu lire au sujet de ce fameux profil. Il est officieux, on le généralise trop souvent... mais c’est tout moi. Et surtout, ça explique beaucoup, beaucoup de choses... Mais halte, « je vivais mon Q. I. », ce n’est pas moi ! Comme pour l’autisme, je m’interroge au sujet de la douance parce qu’un énorme mystère m’obsède complètement depuis que j’ai 10 ans ; et, avec ces deux cadres de réflexion [reste à savoir lequel est à bannir ou si je les combine], tout est résolu. Du coup, pour moi, c’est difficile de rejeter cette description...
Tu as tout à fait raison après réflexion, tout n'est pas à jeter non plus dans la description des hpi, telle que l'on peut la connaitre. Et les étiquettes quelles qu'elles soient sont une grande aide pour se comprendre et avancer dans une phase de recherche et de compréhension de soi, quoi que j'en dise personnellement. (je tente d'avancer et me comprendre dans mon fonctionnement en essayant de me détacher de ces étiquettes et non plus de me définir par leur seule lecture comme j'ai pu le faire avec le passé, et je suis assez agacé.e par les fausses idées qui circulent sur le sujet, et n'y voyez aucune attaque personnelle, je sais que je peux réagir fortement sur certains sujets et je m'en excuse si cela est reçu comme une agression ou une attitude condescendante)
Les articles que j'ai postés en liens précédemment, n'invalident pas l'existence des hpi, mais plutôt l'image faussée qui s'était répandue dans les médias (livres, blogs, études, ect...) tout en étant basés sur des études bancales et des témoignages par toujours très viables. Je les vois comme une éponge qui efface un tableau couvert de fautes et d'approximations, avec la possibilité d'une nouvelle définition et approche du sujet de la douance qui reste à réécrire en grande partie.
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
Des "idées émises par des gens dont c'est le travail de toute une vie", impliqués, passionnés, réfléchis (à leur manière), il y en a plein les pseudo-sciences !
Le meilleur gage de qualité, c'est le consensus scientifique, et c'est ce consensus que rappelle Ramus dans ses articles de vulgarisation.
Mettre en opposition le consensus et des travaux récents et novateurs n'a pas de sens. Le consensus représente ce qu'on a de plus digne de confiance à un instant donné, tandis que des travaux novateurs restent des potentialités, qui feront - ou pas - évoluer le consensus à l'avenir...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
C’est aussi ce que je pense : les étiquettes, ça sert avant tout à repenser ses expériences et à se comprendre. Et après, on est libre d’en faire ce qu’on veut.Vad a écrit : ↑dimanche 14 octobre 2018 à 15:29 Tu as tout à fait raison après réflexion, tout n'est pas à jeter non plus dans la description des hpi, telle que l'on peut la connaitre. Et les étiquettes quelles qu'elles soient sont une grande aide pour se comprendre et avancer dans une phase de recherche et de compréhension de soi, quoi que j'en dise personnellement. (je tente d'avancer et me comprendre dans mon fonctionnement en essayant de me détacher de ces étiquettes et non plus de me définir par leur seule lecture comme j'ai pu le faire avec le passé, et je suis assez agacé.e par les fausses idées qui circulent sur le sujet, et n'y voyez aucune attaque personnelle, je sais que je peux réagir fortement sur certains sujets et je m'en excuse si cela est reçu comme une agression ou une attitude condescendante)
Les articles que j'ai postés en liens précédemment, n'invalident pas l'existence des hpi, mais plutôt l'image faussée qui s'était répandue dans les médias (livres, blogs, études, ect...) tout en étant basés sur des études bancales et des témoignages par toujours très viables. Je les vois comme une éponge qui efface un tableau couvert de fautes et d'approximations, avec la possibilité d'une nouvelle définition et approche du sujet de la douance qui reste à réécrire en grande partie.
Aucun souci avec tes messages.
Pour travailler à détruire les stéréotypes, je suis avec toi.
Récemment encore, un prof a dit : « Les parents qui ont des enfants surdoués, ils sont catastrophés... Ce sont des gens qui, souvent, sont très malheureux... ». J’ai frôlé la tachycardie. Le mec entretenait le mythe de l’intelligence qui nuit au bonheur, mythe auquel je suis parfaitement allergique ; et en plus, il était en train d’associer « surdoué » et « génial » — on parlait de Pascal. Je n’ai pas osé intervenir. Et des tas de gens qui vont rester convaincus pour encore un bon moment qu’être surdoué, c’est être mathématicien prodige...
Pas de diagnostic.
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
27/05/19 : restitution du bilan psy → H. P. I. et « ensemble d’éléments indiquant la présence associée d’un possible T. S. A. ».
25/03/19 : entretien d’anamnèse.
10/05/19 : évaluation de l’efficience intellectuelle.
27/05/19 : restitution du bilan psy → H. P. I. et « ensemble d’éléments indiquant la présence associée d’un possible T. S. A. ».
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
Et toi, à part émettre des généralités à 2 balles, c'est quoi ton "type de profil"?alexis a écrit :Ramus a un profil de chercheur universitaire, ce type de profil n'est pas mis en avant pour apporter de l'innovation, mais pour leur vocation conservatrice, c'est à dire entretenir le savoir académique et diffuser cette bonne parole aux étudiants en formation. Ce type de profil fait dans le "consensuel", pour faire plaisir à tout le monde pour être aimé de tous, être rassembleur, éviter les sujets qui fâchent et faire des courbettes aux vieux grincheux pour être renouvelé à son poste de chef (lire son cv pour comprendre). Ramus a un comportement et parcours professionnel plus proche de celui d'un politicien que de celui d'un chercheur ou d'un scientifique, ou même d'un simple praticien psy. Un gros bonnet lui commande une étude anti-HPI, il la pond bien docilement. A l'autre bout du spectre comportemental de la recherche, on trouve des gens comme Mottron qui en introduction de chacune de leurs interventions publiques expliquent qu'ils ont fuit le système français parce qu'ils voulaient se donner une chance de faire avancer la connaissance, avec une méthodologie d'émission d'hypothèses à partir de constats statistiques et de vérifications avec examens médicaux vérifiables et reproductibles par un tiers (par ex IRM). La méthode des thèses universitaires, c'est de compiler des résultats de recherches pris à tord et travers pour plaire à son directeur de thèse ; et plus tu seras fayot plus t'auras une mention élevée. Si tu veux argumenter sans que ce soit risible, ne cites jamais des thèses parce que tu passes pour un inculte auprès de gens qui sont passé par cet exercice de bizutage de fin d'étude obligatoire pour avoir le droit de pratiquer un métier très codifié. Préfères plutôt les idées émises par des gens dont c'est le travail de toute une vie ; l'implication d'un passionné réfléchi c'est un des meilleurs gage de qualité.
Tu es à ce point à court d'arguments que tu es obligé de passer à de l'insulte gratuite et à des insinuations dégueulasses? Il m'est arrivé d'être en désaccord avec certains écrits de Ramus, mais c'est quelqu'un qui fait beaucoup pour que les choses avancent dans le domaine de l'autisme, et au vu des résultats il le fait plutôt bien. Tu fais quoi toi, concrètement?
Si tu as des publications scientifiques fiables et solides concernant le HPI, tu veux pas les poster au lieu de faire des allusions sur l'ensemble des chercheurs français qui seraient des vendus et des fayots?
Franchement, ton attitude dessert beaucoup ta "cause" (si tant est que le HPI puisse être considéré comme une cause). Ca en devient pathétique.
C'est le problème quand on aborde ce sujet: il y a toujours plein de réactions épidermiques qui aboutissent à des messages pleins de mesquinerie crasse mais sans aucune rigueur dans le raisonnement.
Pour finir, je voulais signaler que la personne qui a initié ce topic a entendu le discours dont il est question dans un des CRA les plus reconnus du pays. Un de ceux qui font l'unanimité question sérieux et actualisation des connaissances. Je le sais parce que j'ai pas mal échangé avec cette personne, et que j'ai beaucoup de retours de ce CRA là, aussi.
Donc franchement, soyez vexés si vous voulez, réagissez comme des gamins de maternelle autant qu'il vous plaira, mais pitié ne venez pas démonter le boulot de certains des meilleurs spécialistes du pays en vous appuyant uniquement sur du "on dit" et sur des auteurs aussi prolifiques que creux qui sont là uniquement pour faire du fric (ça marche bien, apparemment, ya qu'à voir le résultat).
*Diag TSA*
***Nullius in verba***
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Re: (in)compatibilité HPI et TSA ?
Cette intervention va être ignorée et tant mieux car je n'ai pas envie d'entrer dans votre petite guéguerre à savoir qui pisse le plus loin.
(Enfant on me prenait pour un surdoué alors que c'est faux. Lors de mon diagnostic on m'a appris que j'étais dans la moyenne, à peine plus de 100, et avec de sévères déficiences dans certains domaines. (Planification de tâches, attention notamment). Bref.)
Le principal c'est d'être heureux, d'accepter son diagnostic et faire avec.
Chercher à le surmonter est souvent un échec, et mène à la dépression, la dépréciation de soi suite aux échecs, etc.
Et à la camisole.
N'attendez pas de miracle après le diagnostic.
C'est l'acceptation des autres, nous prendre tels que nous sommes, qui est salvateur. Après faut les trouver ces gens là.
C'est pas évident. Ils sont rares. Mais c'est aussi grâce à eux qu'on peut avoir une vie heureuse et épanouie.
(Enfant on me prenait pour un surdoué alors que c'est faux. Lors de mon diagnostic on m'a appris que j'étais dans la moyenne, à peine plus de 100, et avec de sévères déficiences dans certains domaines. (Planification de tâches, attention notamment). Bref.)
Le principal c'est d'être heureux, d'accepter son diagnostic et faire avec.
Chercher à le surmonter est souvent un échec, et mène à la dépression, la dépréciation de soi suite aux échecs, etc.
Et à la camisole.
N'attendez pas de miracle après le diagnostic.
C'est l'acceptation des autres, nous prendre tels que nous sommes, qui est salvateur. Après faut les trouver ces gens là.
C'est pas évident. Ils sont rares. Mais c'est aussi grâce à eux qu'on peut avoir une vie heureuse et épanouie.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"