Oui, j'en parlais, tu penses bien ! Ca dépend des gens en fait, mais à 20-25 ans, de toute façon, si on me jugeait, je ne m'en rendais pas compte. Les gens devaient juste s'écarter subtilement de moi.RedMacbeth a écrit : Bon. J'ai aucune envie de changer de thématique, MAIS je peux tout à fait faire deux versions. Une pour moi et mon comapgnon et une, euh, plus grand public !
Faut encore que je trouve. On m'a proposé Gobelins et Seigneur des Ténèbres mais c'est tout de suite moins sérieux, plus parodique, et je trouve ça gênant. Jouer un truc avec sérieux permet de prendre aussi la mesure de la chose. Quelque chose à voir avec l'art...
Ouh, tu as du pas mal être jugée également en en parlant, si tu en parlais.lulamae a écrit :Je comprends aussi qu'on soit parfois fasciné(e) davantage par les personnages de "méchants" dans les films (Darth Vador) que par les héros, ou avoir des intérêts spécifiques sombres : j'ai lu tout ce que je pouvais à une époque sur les vampires, j'ai vu un maximum de films d'exorcismes...). Ensuite, chacun a une tolérance particulière envers ces sujets, selon son vécu, son histoire familiale, sa sensibilité...
Oui, c'est un peu ça. Ma tolérance est grande pour à peu près tout, SAUF si la personne ne sait pas de quoi elle parle (des blagues sur les trans, mais mal faites parce que confondus avec travesti, qui véhiculent une mauvaise perception et l'amplifient, par exemple.)
C'est surtout valable pour les vampires, parce que les films d'exorcisme, c'était plutôt une fascination pour le personnage du prêtre exorciste. Quoique, même dans Dracula, j'étais aussi et surtout fan de Van Helsing et de sa méthode et incorruptibilité, comme je l'ai été de Abraham Setrakian dans la série The Strain. Non pas les beaux héros, mais les vieux sages (comme Gandalf) !
Il existe des romans sur la formation du mal, faits de telle sorte qu'ils en deviennent fascinants, parce qu'ils permettent d'entrer dans la logique des Nazis : je pourrais citer Les Bienveillantes, mais je ne l'ai pas lu, il y a aussi La Mort est mon métier de Robert Merle, ou La Part de l'Autre d'Eric-Emmanuel Schmitt. Pour autant, ces romans ne font pas l'apologie de la doctrine hitlérienne.