[Index Cinéma] Pour parler de cinéma...
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Re: Pour parler de cinéma ...
"Avengers : Infinity War" est un film qui fait pas mal consensus il me semble.
Sinon tu as "l'île aux chiens" de Wes Anderson que j'ai trouvé très très cool.
Sinon tu as "l'île aux chiens" de Wes Anderson que j'ai trouvé très très cool.
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Re: Pour parler de cinéma ...
Il y a bien longtemps que je n'ai pas vu ce film :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Pour parler de cinéma ...
J'ai beaucoup apprécié l'île aux chiens moi aussi.
D'ailleurs, j'ai découvert récemment que le film The plague dogs de Martin Rosen ferait partie des inspirations de Wes anderson pour ce film.
Un très beau film, assez violent psychologiquement, qui parle d'expérimentation animale. (non, vraiment, ne mettez pas les enfants devant. sauf si vous voulez les traumatiser à vie, c'est vous qui voyez )
trailer: https://www.youtube.com/watch?v=7B90X7NchOs
D'ailleurs, j'ai découvert récemment que le film The plague dogs de Martin Rosen ferait partie des inspirations de Wes anderson pour ce film.
Un très beau film, assez violent psychologiquement, qui parle d'expérimentation animale. (non, vraiment, ne mettez pas les enfants devant. sauf si vous voulez les traumatiser à vie, c'est vous qui voyez )
trailer: https://www.youtube.com/watch?v=7B90X7NchOs
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Re: Pour parler de cinéma ...
Pas que les enfants, je l'ai vu adulte et j'ai eu le plus grand mal à m'en remettre. C'est sans doute le film le plus noir et le plus désespéré que j'aie jamais vu, et pourtant j'ai la réputation d'avoir des goûts "sinistres"...Lyra a écrit :Un très beau film, assez violent psychologiquement, qui parle d'expérimentation animale. (non, vraiment, ne mettez pas les enfants devant. sauf si vous voulez les traumatiser à vie, c'est vous qui voyez )
C'est absolument atroce mais ça n'empêche pas qu'on le trouve souvent au rayon enfants/famille.
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Re: Pour parler de cinéma ...
Tu as raison, tout comme Le tombeau des lucioles (qui m'a profondément déprimé et fais verser toutes les larmes de mon corps), ce film a de quoi perturber fortement à tout âge.
c'est profondément agaçant cette tendance, surtout occidentale, à penser que le cinéma d'animation est forcément pour les enfants...ce qui s'accompagne d'ailleurs souvent d'un dénigrement des biens culturels destinés aux enfants...
voici une critique illustrée de ce dénigrement que je trouve très bien faite : http://timtimsia.blogspot.com/2015/06/s ... s.html?m=0
je me rappelle notamment d'un critique du journal le Figaro qui prétendait que la hausse du nombre d'adultes allant aux séances de cinéma pour des films d'animations sans avoir d'enfant comme "excuses/alibi" serait le signe d'une infantilisation de la société...en mentionnant Vice Versa en plus !
C'est oublier que, déjà, pas mal de films d'animation destinés aux enfants contiennent plusieurs niveaux de lectures qui peuvent parler aux plus âgés et que les enfants pourront comprendre en revoyant le film plus tard...et qu'ensuite effectivement, l'animation de dessin n'est qu'une technique de cinéma et ne conditionne pas la cible du film et son sujet.
Je pense par ailleurs, ce n'est que mon avis très subjectif de personne qui a toujours été plus attirée en général par les films d'animation que les autres films, qu'un film d'animation peut-être bien plus impactant qu'un film en live action. Le graphisme peut devenir un élément-clé dans la façon de raconter l'histoire, être complètement personnalisé, adapté pour amplifier les propos du film...ne garder que les éléments-clés pour susciter l'émotion...
J'espère que mes propos sont suffisamment clairs
D'ailleurs, je conseillerai bien le film "Le garçon et le monde" de Alê Abreu, un film avec un style graphique très riche. Il mélange crayons, pastels à l'huile, collage, peinture...les images vont de dessins "naïfs" sur fond blanc à des décors très élaborés...
Un concept assez classique de récit initiatique, un enfant qui part à la recherche de son père et découvre le monde, la société de consommation..., mais raconté différemment, avec un point de vue brésilien (découverte des favelas, champs de coton, usine de vêtements...). sans paroles (enfin il y en a d'une certaine façon, mais c'est du brésilien inversé).
c'est profondément agaçant cette tendance, surtout occidentale, à penser que le cinéma d'animation est forcément pour les enfants...ce qui s'accompagne d'ailleurs souvent d'un dénigrement des biens culturels destinés aux enfants...
voici une critique illustrée de ce dénigrement que je trouve très bien faite : http://timtimsia.blogspot.com/2015/06/s ... s.html?m=0
je me rappelle notamment d'un critique du journal le Figaro qui prétendait que la hausse du nombre d'adultes allant aux séances de cinéma pour des films d'animations sans avoir d'enfant comme "excuses/alibi" serait le signe d'une infantilisation de la société...en mentionnant Vice Versa en plus !
C'est oublier que, déjà, pas mal de films d'animation destinés aux enfants contiennent plusieurs niveaux de lectures qui peuvent parler aux plus âgés et que les enfants pourront comprendre en revoyant le film plus tard...et qu'ensuite effectivement, l'animation de dessin n'est qu'une technique de cinéma et ne conditionne pas la cible du film et son sujet.
Je pense par ailleurs, ce n'est que mon avis très subjectif de personne qui a toujours été plus attirée en général par les films d'animation que les autres films, qu'un film d'animation peut-être bien plus impactant qu'un film en live action. Le graphisme peut devenir un élément-clé dans la façon de raconter l'histoire, être complètement personnalisé, adapté pour amplifier les propos du film...ne garder que les éléments-clés pour susciter l'émotion...
J'espère que mes propos sont suffisamment clairs
D'ailleurs, je conseillerai bien le film "Le garçon et le monde" de Alê Abreu, un film avec un style graphique très riche. Il mélange crayons, pastels à l'huile, collage, peinture...les images vont de dessins "naïfs" sur fond blanc à des décors très élaborés...
Un concept assez classique de récit initiatique, un enfant qui part à la recherche de son père et découvre le monde, la société de consommation..., mais raconté différemment, avec un point de vue brésilien (découverte des favelas, champs de coton, usine de vêtements...). sans paroles (enfin il y en a d'une certaine façon, mais c'est du brésilien inversé).
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Re: Pour parler de cinéma ...
Un film important politiquement je pense : "Unsane" ("paranoïa" pour le titre français) , de Steven Soderbergh, un film que je considère au final comme une très pertinente critique des abus des systèmes médicaux de santé mentale.
Avec Claire Foy, de la série "The Crown".
(attention, film difficile)
Paranoïa, de Steven Soderbergh
edit (ajout) : Résumé succint du film :
traduction à partir de https://www.flickeringmyth.com/2018/03/ ... hs-unsane/ (désolé, il est tard et j'ai la flemme de réécrire un résumé )
traduction
"Une jeune femme quitte sa ville natale afin d'échapper à un passé sombre [notes : un harcelement sexuel qui ne s'est jamais arrêté] et débuter dans un nouveau travail.
Mais, quand elle est internée sans consentement dans une institution de santé mentale, elle se retrouve en face de sa némesis - mais s'agit-il de la réalité ou de ses hallucinations ?
Alors que personne ne semble prêt à la croire, et la justice incapable ou récalcitrante à lui venir en aide, elle doit affronter ses peurs de face.
À l'aide de points de vues changeants et d'un scénario terrifiant, "Paranoïa" pose des questions sur notre perception de la réalité, notre instinct de survie, et le système qui est supposé prendre soin de nous."
Avec Claire Foy, de la série "The Crown".
(attention, film difficile)
Paranoïa, de Steven Soderbergh
edit (ajout) : Résumé succint du film :
traduction à partir de https://www.flickeringmyth.com/2018/03/ ... hs-unsane/ (désolé, il est tard et j'ai la flemme de réécrire un résumé )
A young woman leaves her hometown to escape a troubled past and begin a new job. But when she is involuntarily committed to a mental institution she is confronted by her greatest fear — but is it real or just her delusion? With seemingly no-one ready to believe her and the authorities unable or unwilling to help, she must confront her fears head on. With twisting perspectives and a shocking narrative, Unsane asks questions about our perception of reality, our survival instinct and the system that is supposed to take care of us.
traduction
"Une jeune femme quitte sa ville natale afin d'échapper à un passé sombre [notes : un harcelement sexuel qui ne s'est jamais arrêté] et débuter dans un nouveau travail.
Mais, quand elle est internée sans consentement dans une institution de santé mentale, elle se retrouve en face de sa némesis - mais s'agit-il de la réalité ou de ses hallucinations ?
Alors que personne ne semble prêt à la croire, et la justice incapable ou récalcitrante à lui venir en aide, elle doit affronter ses peurs de face.
À l'aide de points de vues changeants et d'un scénario terrifiant, "Paranoïa" pose des questions sur notre perception de la réalité, notre instinct de survie, et le système qui est supposé prendre soin de nous."
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Re: Pour parler de cinéma ...
Je ne sais pas si ce fil est le plus approprié, puisqu'il s'agit bien de cinéma, mais du lieu plus que des films.
En naviguant sur Tamis, j'ai découvert l'association Ciné-ma différence.
En naviguant sur Tamis, j'ai découvert l'association Ciné-ma différence.
Aller au cinéma : un acte banal mais qui, pour certains, paraît impossible ou se transforme en épreuve. Ciné-ma différence rend le cinéma accessible à des enfants et adultes autistes, polyhandicapés, avec un handicap mental, ou des troubles psychiques, qui en sont privés en raison de leur handicap. Des séances chaleureuses et adaptées où chacun, avec ou sans handicap, est accueilli et respecté tel qu’il est.
Lilas - TSA (AHN - Centre Expert - 2015)
Mes romans :
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- Ma dame aux oiseaux
- Galaxies parallèles
- Les enfants de la lune rouge
- Et à venir prochainement La pie baladeuse
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Re: Pour parler de cinéma ...
Ça a l'air super comme initiativeLilas a écrit : ↑jeudi 16 août 2018 à 9:54 Je ne sais pas si ce fil est le plus approprié, puisqu'il s'agit bien de cinéma, mais du lieu plus que des films.
En naviguant sur Tamis, j'ai découvert l'association Ciné-ma différence.Aller au cinéma : un acte banal mais qui, pour certains, paraît impossible ou se transforme en épreuve. Ciné-ma différence rend le cinéma accessible à des enfants et adultes autistes, polyhandicapés, avec un handicap mental, ou des troubles psychiques, qui en sont privés en raison de leur handicap. Des séances chaleureuses et adaptées où chacun, avec ou sans handicap, est accueilli et respecté tel qu’il est.
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Re: Pour parler de cinéma ...
Vu qu'il a été mentionné la télé réalité,
J'ai l'intention d'être candidat pour le prochain Sucrette Story. La nouvelle saison.
Vous savez, l'émission produite par Une-de-molle.
J'ai hâte.
J'ai l'intention d'être candidat pour le prochain Sucrette Story. La nouvelle saison.
Vous savez, l'émission produite par Une-de-molle.
J'ai hâte.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
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Re: Pour parler de cinéma ...
The Guilty excellent 1er film Danois. Gustav Möller a bâti son scénario sur 1 idée imparable :1 huis clos aux urgences de police, 1appel d'1femme enlevée... le hors champs sonore.
Une Pluie Sans Fin: 1ère œuvre lorgnant sur le "Film Noir": 1 chef' sécu' d'1 vieille usine en Chine obsédé par la résolution d'1 série de meurtres.Ruptures de rythmes,atmosphère pluvieuse sublimée par la réa' et la photo qui rappelle "Seven",des séquences mélancoliques... A voir....
Une Pluie Sans Fin: 1ère œuvre lorgnant sur le "Film Noir": 1 chef' sécu' d'1 vieille usine en Chine obsédé par la résolution d'1 série de meurtres.Ruptures de rythmes,atmosphère pluvieuse sublimée par la réa' et la photo qui rappelle "Seven",des séquences mélancoliques... A voir....
Diagnostiqué en 2009 (à 21 ans)
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Re: Pour parler de cinéma ...
À propos du dernier film de Spike Lee :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Pour parler de cinéma ...
Un documentaire passé cette semaine sur Arte :
Je n'ai pas trouvé le lien de replay habituel, mais il est
disponible sur CapTVty, et également visible ici :
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Spoiler :
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).