Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Les repas ne me gènent pas outre mesure. Mais les cadeaux ... Je trouve cela ridicule.
Acheter un truc inutile à un autre qui lui va acheter un autre truc inutile ou dont on se fout.
J'ai tenté d'expliquer cela et on m'a répondu que ça fait toujours plaisir de recevoir un cadeau. Là, je suis resté sans réponse et senti pris en otage.
Et quand on ades enfants ... La galère car tout le,monde veut les gâter. Il faut gérer la famille qui n'entend rien et après se plaignent que les enfants ont trop de jouets.
C'est hallucinant.
Quand au sapin .... Je trouve ça moche et encombrant.
Acheter un truc inutile à un autre qui lui va acheter un autre truc inutile ou dont on se fout.
J'ai tenté d'expliquer cela et on m'a répondu que ça fait toujours plaisir de recevoir un cadeau. Là, je suis resté sans réponse et senti pris en otage.
Et quand on ades enfants ... La galère car tout le,monde veut les gâter. Il faut gérer la famille qui n'entend rien et après se plaignent que les enfants ont trop de jouets.
C'est hallucinant.
Quand au sapin .... Je trouve ça moche et encombrant.
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Moi j'ai tellement vidé mon entourage que c'est le trop de solitude qui m'inquiétait. Je croyais que vous parliez du jour de l'an. Avec la famille, maintenant j'assume. Je me tais même si on me parle. Autiste ? Ben voilà, je l'aurai pas volé.









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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Je jour de l'an, hors de question de faire un repas avec des inconnus, dans une salle des fêtes, une boite et attendre minuit pour sauter de joie.
Tout ça pour juste des chiffres qui changent ?
Une occasion surement de picoler, de se frotter, de péchot .... Sinon, à quoi bon.
Tout ça pour juste des chiffres qui changent ?
Une occasion surement de picoler, de se frotter, de péchot .... Sinon, à quoi bon.
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
pécho = verlan de "choper" (attraper), on en apprend tous les joursphiligram a écrit :de péchot ....

TSA de type syndrome d'Asperger (03/2017) + HQI (11/2016).
4 enfants adultes avec quelques traits me ressemblant, dont 1 avec diagnostic TSA et 1 au début du parcours de diagnostic.
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Encore un post intéressant...
J'adore ce qu'on appelle "l'esprit de noël" et je suis assez nostalgique des souvenirs de petite enfance malgré les désagréments qu'ils occasionnaient.
Aujourd'hui, j'ai réussi à m'isoler suffisamment pour n'avoir aucun noël à préparer, et c'est réconfortant. Cette tranquillité.
En revanche, j'appréhende ce que je ressentirai peut-être lorsque la ville sera éteinte et que chacun sera en famille à profiter de ces rares moments, de plus en plus rare, de proximité et de partage.
Il y a tous ces désagréments à gérer, c'est vrai, mais tirez en parti, essayez de profiter au mieux de ces instants,
si la tranquillité fais du bien, moi je souffre de ne pas être "normale" dans ces moments là, de ne pas partager comme il se doit
la joie commune aux autres... j'ai l'impression de rater quelque chose, d'en être exclue de facto et ça ramène a de bien plus mauvais souvenirs...
En réalité ma nostalgie est surfaite, mes noëls, je l'ai passé seule, derrière la porte où s'amusaient tous les cousin(e)s et ma grande soeur, moquée à l'heure des danses et des chorégraphies de boysband par mon manque totale de coordination, mais il n'empêche que j'étais là, j'appartenais à une famille, je participais à quelque chose, à ma manière....
Je comprends tous les efforts que ça demande, tout l'épuisement que ça implique, toutes les difficultés rencontrées... mais je vous enjoins à les mettre en perspectives de ce que vous avez, aussi, à y gagner... en fait, il s'agit de s'autoriser la différence, pas besoin de vivre ces fêtes "comme tout le monde", l'important est de les vivre "avec le monde"...
Joyeuses fêtes
J'adore ce qu'on appelle "l'esprit de noël" et je suis assez nostalgique des souvenirs de petite enfance malgré les désagréments qu'ils occasionnaient.
Aujourd'hui, j'ai réussi à m'isoler suffisamment pour n'avoir aucun noël à préparer, et c'est réconfortant. Cette tranquillité.
En revanche, j'appréhende ce que je ressentirai peut-être lorsque la ville sera éteinte et que chacun sera en famille à profiter de ces rares moments, de plus en plus rare, de proximité et de partage.
Il y a tous ces désagréments à gérer, c'est vrai, mais tirez en parti, essayez de profiter au mieux de ces instants,
si la tranquillité fais du bien, moi je souffre de ne pas être "normale" dans ces moments là, de ne pas partager comme il se doit
la joie commune aux autres... j'ai l'impression de rater quelque chose, d'en être exclue de facto et ça ramène a de bien plus mauvais souvenirs...
En réalité ma nostalgie est surfaite, mes noëls, je l'ai passé seule, derrière la porte où s'amusaient tous les cousin(e)s et ma grande soeur, moquée à l'heure des danses et des chorégraphies de boysband par mon manque totale de coordination, mais il n'empêche que j'étais là, j'appartenais à une famille, je participais à quelque chose, à ma manière....
Je comprends tous les efforts que ça demande, tout l'épuisement que ça implique, toutes les difficultés rencontrées... mais je vous enjoins à les mettre en perspectives de ce que vous avez, aussi, à y gagner... en fait, il s'agit de s'autoriser la différence, pas besoin de vivre ces fêtes "comme tout le monde", l'important est de les vivre "avec le monde"...
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En attende d'un premier rendez-vous au CRA.
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Pour la partie en italique, cela correspond tout à fait à ce que je pensais avoir compris mais que je n'arrivais pas à expliquer aussi clairement à quelqu'un dernièrement.Pearple89 a écrit :si la tranquillité fais du bien, moi je souffre de ne pas être "normale" dans ces moments là, de ne pas partager comme il se doit la joie commune aux autres... j'ai l'impression de rater quelque chose, d'en être exclue de facto et ça ramène a de bien plus mauvais souvenirs...
Oui...il y en a quelques uns qui y arrivent et j'en suis admirative parce que ce n'est pas simple dans cette société.Pearple89 a écrit :en fait, il s'agit de s'autoriser la différence
Edit / reformulation.
Modifié en dernier par Aby le samedi 23 décembre 2017 à 23:47, modifié 1 fois.
" Etre différent, c'est normal ! "
Maman d'un ado, diagnostiqué TSA (AHN) en janvier 2016,
à l'âge de 9 ans - TDA confirmé par les tests en mars 2017
Egalement épouse d'un homme au fonctionnement "atypique".
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
ça y est, c'est fait, l'arbre de Noël c'était aujourd'hui et je ne regrette pas d'y être alléecbb44 a écrit :bon, je vais sans doute faire tapisserie comme évoqué par hazufel mais je vais quand même suivre ton conseil et surtout la partie où tu suggères de ne pas rester trop longtempsNanar02 a écrit :Comme tu dis c'est l'occasion de découvrir les collègues.
Rencontre ceux qui t'ont recruté pour qu'ils te présentent tes futurs collègues, aprés tu n'as pas à rester tout le temps.
Il faut à la fois te ménager mais découvrir l'endroit où tu vas travailler te permettra d'e^tre moins stressé le grand jours.
En tout cas 2018 commence bien![]()
c'est vrai que je serai peut être moins stressée pour le premier jour de travail et que je pourrai en profiter pour poser quelques questions
l'année commence bien ... je sais pas encore, à voir, je le saurai après quelques semaines ou mois

je n'ai pas fait tapisserie car tout le monde parlait à tout le monde, et finalement je suis restée 4 heures


au final ça s'est bien passé et je me suis sentie plutôt bien, peut être parce qu'il y avait les conjoints et les enfants (un peu moins d'une centaine) donc ça faisait très familial, le père noël était passé et leur avait amené des jouets et des chocolats, ça m'a fait bizarre d'assister à un arbre de Noël, le dernier remonte à l'école primaire il y a une trentaine d'années

il y a aussi le fait que je n'ai pas rencontré de personne "hostile", grande gueule ou trop sûre d'elle ou alcoolisée ou trop familière ou je ne sais quoi d'autre qui me met mal à l'aise, tous ceux que j'ai rencontrés étaient des gens simples et accessibles, avec des enfants apparemment sages et bien éduqués
je ne fais pas encore officiellement partie de la société mais j'ai déjà rencontré plein de gens sympas et reçus des cadeaux de la société (viande, vin, chocolat et autres douceurs) et c'est surprenant, ça fait plaisir et ça fait du bien au moral

j'espère que les fêtes se passeront aussi bien pour vous

diagnostiquée asperger - fortement suspectée de fibromyalgie - traitée pour dépression
les limbes de mes nuits sont plus belles que vos jours (Jean Racine & FFF)
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Moi ce qui me contrarie un peu à Noël c'est justement que c'est le moment des regroupements de famille, de la joie et de la bonne humeur (en théorie bien sûr), des petits gâteaux préparés ensemble dans la cuisine, du partage des cadeaux etc, et que je vais me retrouver comme chaque année au repas de Noël avec mes parents et mon frère, comme n'importe quel dimanche de l'année. La seule différence sera dans l'assiette.
Le noyau de ma famille a toujours été replié sur lui-même et mes parents invitent très rarement des gens à la maison, ce qui n'est pas pour me déplaire évidemment mais ça ne m'a certainement pas aidée à développer mes facultés sociales.
Quand j'étais petite ma grand-mère faisait des réveillons gargantuesques avec toute la famille qui duraient jusque tard dans la nuit. Je ne me souviens pas comment je le vivais mais parfois ça me manque.
Du coup j'ai un sentiment contradictoire, par rapport à la plupart des aspies qui se demandent comment survivre aux fêtes de fin d'année moi je n'ai même pas à me poser la question. Et je trouve ça un peu triste en fait. Quand vous êtes invités à une fête de Noël au bureau ou par votre famille, au moins vous avez l'illusion d'un sentiment d'appartenance à un moment donné, même si c'est pénible à supporter pour des tas de raisons qui nous appartiennent. On n'est jamais content de ce qu'on a n'est-ce pas!
Le noyau de ma famille a toujours été replié sur lui-même et mes parents invitent très rarement des gens à la maison, ce qui n'est pas pour me déplaire évidemment mais ça ne m'a certainement pas aidée à développer mes facultés sociales.
Quand j'étais petite ma grand-mère faisait des réveillons gargantuesques avec toute la famille qui duraient jusque tard dans la nuit. Je ne me souviens pas comment je le vivais mais parfois ça me manque.
Du coup j'ai un sentiment contradictoire, par rapport à la plupart des aspies qui se demandent comment survivre aux fêtes de fin d'année moi je n'ai même pas à me poser la question. Et je trouve ça un peu triste en fait. Quand vous êtes invités à une fête de Noël au bureau ou par votre famille, au moins vous avez l'illusion d'un sentiment d'appartenance à un moment donné, même si c'est pénible à supporter pour des tas de raisons qui nous appartiennent. On n'est jamais content de ce qu'on a n'est-ce pas!
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Je suis content que ce soit bien passé pour toit cbb44 au moins tu sera un peu moins stressé quand tu commencera ton boulot.
Je partage ton point de vue Nanouille , mais ne regrettons pas non plus l'époque ou nous surportions plus le bazard des fêtes car concentrés sur les jouets ?
Je partage ton point de vue Nanouille , mais ne regrettons pas non plus l'époque ou nous surportions plus le bazard des fêtes car concentrés sur les jouets ?
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Parfois, faire des efforts vaut la peine ...cbb44 a écrit :ça y est, c'est fait, l'arbre de Noël c'était aujourd'hui et je ne regrette pas d'y être allée

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
J'appréhende énormément les fêtes de fin d'année ! Je n'aime pas du tout les réunions de famille, et cette tradition hyper rigide du 24 décembre, où il faut manger pendant 3 heures des plats douteux, et subir des conversations qui n'en finissent pas....
Comme j'aimerai rester chez moi et manger comme d'habitude, au calme...
Le seul point positif est de voir mes enfants "s'émerveiller" devant les sapins et les pères Noël. Cette magie les rend heureux, alors cela m'encourage à faire des efforts. Je sais qu'ils seront heureux en déballant leurs cadeaux.
Mais quelle corvée pour moi ! Je commence déjà à stresser.
Comme j'aimerai rester chez moi et manger comme d'habitude, au calme...
Le seul point positif est de voir mes enfants "s'émerveiller" devant les sapins et les pères Noël. Cette magie les rend heureux, alors cela m'encourage à faire des efforts. Je sais qu'ils seront heureux en déballant leurs cadeaux.
Mais quelle corvée pour moi ! Je commence déjà à stresser.
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Vivement Mardi que j'aille au boulot 

Diagnostiqué Asperger 01/04/2019
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Je trouve parfois des excuses pour ne pas m'y rendre ou pour m'y rendre seulement vers la fin.
Genre : "Avec des copains, nous avons prévu d'aller au marché de Noël à Strasbourg le dimanche 24 décembre 2017. Je vais arriver durant la soirée."


Genre : "Avec des copains, nous avons prévu d'aller au marché de Noël à Strasbourg le dimanche 24 décembre 2017. Je vais arriver durant la soirée."



Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Pour survivre aux fêtes de fin d'année ? Une grotte, loin de toute civilisation humaine (quoique je n'aurais rien contre un peu de Wifi), beaucoup de livres, de chocolats et d'autres trucs agréables à manger (seul intérêt de cette fin de mois de décembre, la profusion de friandises de toutes sortes) et de la patience...
Sinon, moins j'ai d'engagements à remplir durant cette période mieux je me porte ! Heureusement je ne croule jamais sous les invitations (un avantage d'être socialement hors jeu).
Sinon, moins j'ai d'engagements à remplir durant cette période mieux je me porte ! Heureusement je ne croule jamais sous les invitations (un avantage d'être socialement hors jeu).
Beurrevolant c'est quand même moins poétique que Butterfly
Diagnostiqué aspie depuis le 11/09/2017
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Re: Comment survivre aux fêtes de fin d'année ?
Cette année, je suis en arrêt maladie, donc je ne peux pas quitter mon département, ce qui me permet de couper un peu des ondes négatives de mes parents.
Maman de R (20 ans, atypique), N (18 ans, Asperger) et A (8 ans, TSA).
Moi même THPI et Asperger
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