omega a écrit :Vi, c'est déjà pas évident de se comprendre par messages croisés, et si en plus tu mets 3 plombes comme moi à écrire une réponse...
Ouai, et parfois comme là quant je répond pas ça continue a travailler jusqu'à ce que je pose un truc. D'ailleurs je suis toujours pas sur d'avoir compris le sens dans lequel tu utilisais les phrases que j'ai relevé.
omega a écrit :manu a écrit:La capacité d'abstraction évolue.
Ah bon?
C'est un vaste sujet, mais plutôt que d'entrer dans des logique physiologique complexe j'ai envie d'élargir le sujet a ce qu'on fait présentement.
Un film, un livre, une histoire archivé, retrouvable, tout ça c'est de l'abstraction. Internet c'est une couche abstraction qui évolue de façon exponentielle.
C'est une part de l'humanité, un organe de l'espèce.
omega a écrit :Ca, on en a encore quelques uns sous la main à étudier ... ils se font rares, certes.
Je ne pense pas, j'ai plutôt tendance a croire qu'on est physiquement très semblable aux exemple dont tu parle, que les homme depuis très longtemps sont plus évolué que les représentations qu'on s'en fait voir que, c'est là ou tu semble en venir, qu'il y a une dégradation de ce qu'on est individuellement apte a faire (y'a a pas beaucoup d'entre nous qui serrait capable de survivre dans une forêt, alors que nos ancêtre l'ont fait durant des millénaires. Ok tout ça.
Mais dapuis la situation qui reposait sur les mécanismes dont tu parle (et qui sont toujours bien vivant en nous) il y a une couche supplémentaire. La personne, la culture, la société, l'histoire porte le poids de ceux qu'elle laisse tomber, surtout quant elle les laisse tomber. On vie ensuite avec, dans le déni ou la lucidité, mais avec, forcément avec.
Donc le schéma d'airer l'autre pour l'autre c'est abscons, révolu, en tout cas insuffisant.
Il y a maintenant une part commune, l'accompagnement est réciproque autour d'une problème commun.
Dans mon message effacé j'avais cité l'exemple de benasayag qui explique que quant on fait expulser des enfants en situation irrégulière d'une classe c'est l'ensemble de la classe qu'on traumatise.
C'est autant les personnes touchées que l'entourage qui alternativement où dans des rôles installés entrent dans le déni ou œuvre a éviter les traumatismes. L'aidant est parfois celui qu'on crois aidé, parfois, voir souvent, le mourant forge celui qui reste, et parfois il le dessoude jusqu'à ce qu'il cède ou qu'il décède en premier.
omega a écrit :En quoi est-ce nécessaire à la survie de l'espèce?
Depuis l'émergence des religions on apprend a gérer ce qui dans chaque traumatismes individuelle vas s'inscrire dans le collectif. C'est des goutte d'eau, mais c'est la matière de notre espèce aussi. Et là je rejoint en plein le sujet premier, qui explique que l'émotion nous fait ...