Cette définition pour considérer une personne comme surdoué est extrêmement restrictive et omet énormément de personnes qui le sont bel et bien. Si l'on se base uniquement sur le Qi total, beaucoup de hpi n'atteignent même pas ce seuil et de fait ne sont plus considérés comme tel.Manichéenne a écrit :Non, le contraire : une personne avec un QI de 140 a forcément un ou plusieurs indices au dessus de 130. Donc ceux qui affirment qu'on peut parler de HPI si un seul item dépasse les 130 (ce qui n'est pas communément admit) considèrent forcément aussi une personne de 140 de QIT comme surdouée.
C'est le cas quelle que soit la définition du QI, l'officielle (deux écarts-type) ou les variantes plus ou moins restrictives.
La limite des 130 de QI total est une construction statistique et faite en opposition par symétrie à ce qui est considéré comme le seuil de la déficience (70, sois deux écarts types en dessous de la moyenne statistique, 100). Il s'agit aussi de la limite la plus communément admise.
De plus, plus de 95% des personnes surdouées n'ont pas de QI total.
Il est dommage qu'en France on se limite toujours au seul critère du quotient intellectuel actuellement.
(se référer aux trois liens postés dans mon précédent message).
Voici un petit extrait d'article provenant de ce site :
http://www.surdoue.fr/le-haut-potentiel ... omment-877
Et voici à quoi ressemble la plupart du temps un profil de personne hpi aux différents subtests:Pourtant, aux États-Unis, le texte législatif de référence (Marland, 1972) décrit une personne à haut potentiel comme une personne qui possède un haut niveau de performance (potentiel ou réalisé) dans un ou plusieurs de ces champs :
capacités intellectuelles générales
aptitudes académiques spécifiques
capacité de pensée créative
capacité de leadership
capacité artistique
capacité psychomotrice
Source : http://www.surdoue.fr/
(à lire l'article WISC V : pour un abandon progressif du Q.I. total)
Si ma réponse est totalement hors propos, je la supprimerai.