[Index Jeux] Jeu d'écriture : Pour jouer sur les maux !

Pour les gens qui ont simplement envie de discuter sans souhaiter faire passer d'information particulière.
le jean moulant
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par le jean moulant »

Les fables de la fonte-haine

-Le corbard et le renaud
-Le poison et le corps mourant
-La tordue et les deux connards
-Aime les membres, et laisse thomas!
-Le loup prenant le renard, et par devant le singe.
-Phébus éborgnée
-Le mâle marié
-Le vicelard et l'anne
-Le vieillard et l'étroit jeune homme
-L'aigle et le p'tit bout
-Le long et le ras
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Why
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par Why »

Bernard Pivot avait sorti un livre : "100 mots à sauver'
Je me suis essayée à ce texte
Pour le fun
Et un jour je tenterai les 100 expressions
Au secours !

Au secours ! A moi les argousins des Belles-Lettre ! Il faut sauver les mots ! Ces mots dont j’use et abuse alors que, parait-il, ils se meurent après que leur maison, dictionnaires centenaires, les aient expulsés ou, pour le moins, signé leur avis de fin de vie par manque de considération.
Délestée de si beaux atours , que sera alors la communication : un langage basique ? Dénué d’émotion , de rire , de sourire voire même de précision ?
Ici , ces mots sont aimés . Saperlipopette étant notre préféré . Aucun n’est suranné et celui-ci fut répété a l’envie , à chacune des quatre babillardes , progéniture d’une mère bancroche qui n’en reste pas moins la première , à bailler à ses filles quelque vocabulaire .
Barguigner n’est pas dans mes façons et c’est avec un plaisir croquignolet que je me plais à lancer un concours de synonymes afin de jouir des mots qui disent si bien la vérité de nos idées , les subtiles nuances de notre émotivité. C’est bath, et les béjaunes qui, séduits par mes belles ,me seront présentés , n’échapperont ni à mes billevesées ni aux brocards des sœurs qu’aucun brimborion ne saurait éloigner du plaisir de taquiner le chéri de l’une . Et surtout, quand vient le temps de la brune , si propice aux silences, les mots ici restent dans la danse, une danse vive et joyeuse de bons mots se faisant révérence .
La cagoterie n’est pas notre fort et ici les carabistouilles des cautèles sont offenses que nous réservons aux clampins. Les coquecigrues débagoulent ici de jour comme de nuit , y compris au déduit afin que, séant , il y ait toujours de la vie . Derechef vous pensez que nous ne savons que plaisanter. Diantre en quoi cela serait-il fâcheux si ce qui est à faire reste fait !
L’on peut s’ébaudir de notre joie de vivre mais déjà trop nombreux sont les capons qui ne pensent qu’à s’esbigner face aux joies de la vie . Le bonheur a pourtant aujourd’hui bien du mal a s’extraire des étaliers sanglants que sont devenues tant de régions du globe. C’est un faix bien lourd à porter que toute cette misère . J’ai donc opté pour l’humour afin de tout de même préserver l’amour . Juste combat mais au combien quotidien face à ces faquins de politiques qui font du peuple une armée de fesse-mathieu plus promptes à pleurer sur leur sort qu’à se sourire l’un l’autre. Fi ! Ce ne sont ni fla-flas ni postures de flambards et maints grands flandrins de ma connaissance seraient prêts à en témoigner .
Il nous faut prestement hisser fortifs car je me sens bien seule face aux gandins de l’informatique aux génitoires stériles de littéraires motivés à sauver le baccalauréat L , las de leur goguenardise .
Ces gommeux ont-ils a jamais perdu le goût de la goualante , sombres victimes de l’électronique et de parents ayant préféré jouer, qui à la gourgandine post-soixante-huitarde ,qui au grimaud pressé de jeter sa gourme avec quelques précédentes. Ce ne sont que gueux que ces parents-là qui omirent d’adjoindre aux petits pots, la juste quantité de mots qui aurait assoiffé à vie leur progéniture de connaissances, de mots pourtant fort utiles à combattre les maux de notre société.
Ce n’est pourtant pas devenir hommasse que de parfois renoncer aux charmes de la simple apparence pour frapper à l’huis des mots qui, vaillants soldats, luttent contre l’ignorance.
Icelui, icelle, qui omet de vivre les mots, devient, sans coup férir, à son tour, un soldat de l’armée de jean-foutre qui, tels des jocrisses déprivent jouvenceaux et jouvencelles de tous les plaisirs de la langue…moins riche chaque jour qu’un mot nous quitte, oublié même avant que de mourir, occis par l’amnésie de tout un chacun.
Le lupanar lui-même, écrin des muses de nos plus grands poètes, nous crie aujourd’hui : « macache ! Allume donc ton ordinateur si tu veux, de par le monde, avec quelques mots en poche, t’en aller, voyager ! »
Les joues mafflues des enfants s’imposent rapidement en bajoues blafardes d’adolescents victimes des manants, promptes à délester de leur énergie initiale, ces jeunes affamés d’aventures désormais virtuelles, alimentés d’encas gras et salés, gras et sucrés, overdoses caloriques devant l’écran, calées. Pauvres hères, pourtant, qui ne minciront jamais si aucun mâtin, Mâtin ! ne les éduquent enfin afin qu’ils ne deviennent jamais de trop sombres mâtins.
Les effluves matutinales des cités n’ont jamais été melliflores et même dans les quartiers chics, les mirliflores ne prennent plus le temps de quelques mômeries, pressés qu’ils sont, chaque jour, de retrouver bureaux, écrans, claviers, souris, apportant, outre la salaire, moult maux de tête, pires que ceux que poivrades entre amis eurent jamais provoquées. Ils s’opiniâtrent pourtant, ces jeunes, sur la fausse lumitescence de leurs écrans multiples. Et les métros, les RER, modernes pataches s’emplissent ainsi chaque matin, de peccamineux et peccamineuses fuyant pauvrettes et mendigots qui espèrent pourtant rencontrer la charité parmi tous ces pékins, grippe-sous pressés, craignant davantage ceux qu’ils pensent pendards des cités de banlieue que les péronnelles aux calicots chatoyants qui pétunent aux terrasses, qui leur soutireront pourtant bien plus s’ils se laissent charmer.
Ainsi, l’on ne potine plus, l’on n’en a plus le temps. Toujours faire plus et plus vite ! Et dès potron-minet, l’on court et puis vite l’on travaille, vite, afin de rentrer enfin allumer son propre ordinateur afin de pouvoir tout de même rencontrer, l’on y croit, l’âme sœur par le biais de mythiques mais bien tristes priapées.
Les purotins en sont à quia. Comment lutter devant tant de bienfaits de la modernité ?
Les rafles de radeuses n’ont plus n’y pourront puisqu’elles n’attirent plus, trop réelles qu’elles sont, que quelques rastaquouères en retard sur leur temps, pour leur plus grand bonheur.
Les petits-maîtres sont désormais adeptes de ribotes surgelées et de ribaudes virtuelles. Cela s’organise si bien, pourquoi cesserait-il de tourner virtuellement ce monde en réchauffement ?
Les robins se frottent les mains, les ruffians jubilent. Même les culs-terreux possèdent un ordinateur et chacun y laisse sa monnaie, se faisant proprement déplumer en toute légalité. Les avocats se sont spécialisés, depuis, en droit des sociétés.
Saperlipopette, (je vous l’avais dit que c’était mon préféré), la sapiens a fait fuir les mots et je me verrais octroyer le surnom de « scrogneugneu » si, lui aussi, ce pauvre mot, ne faisait pas partie de morts.
Il sied maintenant, aussi bien à la lueur du Septentrion qu’à celle de la Croix du Sud, de posséder l’usage d’une signature électronique plutôt que celui d’un beau stylo. Subséquemment, les suivez-moi-jeune-homme ne sont plus que les titrages affriolants de blogs et autres sites personnels, journaux intimes virtuels, que les tire-laine créent sans vergogne, satisfaits de voir l’oseille abouler par le biais de la CB, elle-même virtualisée.
L’on se toque de ce dont on se moque, l’on se moque de ce dont on se toque, si bien que même le dernier des torche-culs, sur le net, pourrait bien être vendu.
Il suffit d’un beau site, plein de rodomontades, rédigées de la main de maître d’un filou, tranche-cul, pour vendre aux badauds du genre nouveau, tout et n’importe quoi, aux enchères pourquoi pas. Les trottes-menus cliquent désormais l’adjugé-vendu du maillet pansu d’autrefois.
Tout cela fiche la venette, car même les maladies atteignent nos ordinateurs et si ce n’est pas un virus qui attaquent notre disque dur, ce seront les encyclopédies médicales en ligne qui feront de simples hypocondriaques, de véritables valétudinaires.
Ce ne sont ni broutille ni vétille et me dire vétillarde, moi qui serais plutôt paillarde, ce serait vraiment me laisser aller, aller à laisser les mots me manquer. Je suis pourtant bien désolée de voir que des écrans qu’ils soient d’ordinateurs ou de télévisions, jaillissent, sans aucune invitation, plus de vits, de mal, de sombres pensées que de joie , de bonheur et de gai. Où va le monde, où va donc notre société puisque, voyant le facteur dans notre rue passer, l’on se questionne, osez dire que cela n’est pas vrai, « s’arrêtera-t-y ? s’arrêtera t-y pas ? », souhaitant vivement qu’il ne le fasse pas puisque seulement des factures et non pas des mots doux et tendres il nous déposera.
Why
Asperger HP
Certifiée conforme depuis .... longtemps

Mais pas que ... Alors pour tenir le coup
Hennezh a venn Hennezh a c'hell[ oder When there is a will There is a can

Enfin, Most of the time ...
le jean moulant
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par le jean moulant »

Dans un autre genre;il y a aussi les lettres anciennes qui me font bien rire. Je me suis amusée a en créer quelques unes.

félicien mon bien-aimé,
je n'en puis plus de chagrin depuis que votre fiacre s'est éloigné,me privant de votre tendre présence..
votre coeur fut-il donc si cruel pour m'abandonner de façon si cavaliére, moi qui vous ai offert ma vertu?
oh mon adoré, puissiez-vous me revenir, je me languis de vos audacieux baisers.
n'avez-vous donc plus toute votre raison pour abuser de ma candeur de la sorte?
Préférez-vous à ma naîveté le dévergondage des femmes de mauvaise vie, de petites vertus?
mon tendre, puissiez-vous avoir pitié de cette abîme de douleur oû vous m'avez jetée.
mes songes n'ont pour images que votre décadente personne; mes lévres ne murmurent que votre nom.
pourrais-je un jour oublier...ma triste existence pourra-t-elle retrouver le droit chemin?
Pourrais-je enfin trouver un mari convenable, loin de tous vos badinages?
mon cher et tendre, vaut-il mieux ne point se revoir?
adieu mon amour, ne cesseront jamais mes tourments de ces doux instants volés.




















eugénie





















Eugénie ma bien-aimée,
ne vous affolez donc point, je m'en suis allé à la ville afin de vous assurer une existence digne devotre rang, digne de votre beauté.
Bientôt je m'en viendrais vous chercher tel un preux chevalier sur son blanc déstrier.
j'humecterais votre doux visage de chastes baisers, telle la rosée du printemps sur la glycine en fleur.
je prierais votre pére de m'accorder votre main.
comment pouvez-vous imaginer, ma douce colombe, que je puisse abuser de votre innocence?
Mon amour pour votre candide personne met mon coeur en charpie.
Ces donzelles de petites vertus ont fait exulter mon corps , mais ont laissé mon coeur exsangue de tous sentiments.
nos libertains badinages dans la couche paternel m'ont laissé un goût de paradis.
je me dois de faire de vous une honnete femme, ma douce.
puissiez-vous avoir désormais l'esprit tranquille
Diagnostic enfin en cours...
le jean moulant
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par le jean moulant »

Puissiez-vous avoir désormais l'esprit tranquille, afin de pouvoir préparer en toutes quiétudes nos épousailles.
un fiacre me ménera bientôt à vous, notre existence ne sera que joie et volupté, avec puis-je l'espérer une nombreuse descendance.
bien à vous, ma douce Eugénie.

votre bien-aimé félicien



séraphine ma pécheresse,
Ne m'en veuillez point, mon coeur pour l'étérnité vous appartient.
dame Eugénie n'est pour moi qu'un pis-aller, nos épousailles que de sinistres noces de convenance,ne serais-je toujours à ses yeux qu'un vulgaire gueux?
Lors de nos stériles ébats, toute ma libidineuse langueur se nourrit de notre folle passion.
oserais-je nourrir le secret espoir que ma semence puisse avoir engendré le fruit de nos amours?
bientôt pourrais-je grace à mes étrennes acquérir une diligence.
attendez-vous le coeur battant d'idées romanesques, la venue de mon cocher?
je vous aimasse tant que mon plus cher désir est de faire de vous une femme du monde.
vos sabots je changerais contre de délicates chaussures de vair, vos guenilles je transformerais en robes de bal.
bientôt ne passerez-vous plus pour une cattin aux yeux des braves gentes, ne fréquenterez-vous pkus la lie de la société.
vous serez esclave de ma concupiscence, ô chére petite coquine, que ces pensées me sont douce!
Cependant une sinistre pensée ne me laisse en paix...ne vous lasserez-vous pas de ma pauvre personne, ne passerais-je pas à vos yeux pour un peu glorieux baladin?

Avec tout mon amour

félicien, votre passionné amant


désolée pour les fautes de frappes.

ai une vieille tablette
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freeshost
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par freeshost »

Je vois que je ne suis pas le seul à manier le verbe, qui s'est fait chair, très cher ! Notamment le verbe à Tim.

Vive le langage verbal ! :lol:

Toutefois, quand un policier verbalise, on sort des noms d'oiseaux, des gros mots.

Des mots démodés ? Et que penses-tu des mots des modé' (rateurs, lavons, les ratons laveurs !) ? :mrgreen:
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.

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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par le jean moulant »

J'aime beaucoup les mots en siens, mais je préfére les mots en tient. :lol:
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par freeshost »

Ah ! Je suis flatté que tu préfères les beaux et miens. :mrgreen:
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par le jean moulant »

Un tient vaut mieux que deux mains :lol:
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par freeshost »

Après deux mains, mon cellulaire devrait s'y retrouver. What's up ? Wazzah !
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par le jean moulant »

Je n'ai plus de mots! T'y vas Sion? :lol:
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par freeshost »

J'ai toujours l'appât Sion !
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par le jean moulant »

Brandir les obstacles?

Pour avançer un être ne doit se punir, sous peine capitale.
Profiter de tout, et surtout des gens de spectacle...les truies sont vivantes lorsqu'elles se remuent contre des taureaux, sans pour autant les blesser.
Il faut apprendre à garder le coeur battant, sous peine d'être un jour abattu...se construire comme un âne a deux pieds, sous peine d'être un jour encombré d'un âne à dentier.
Et les morts a rides tancés dans un moment d'humour devraient être bannis, comme ceux qu'ils ont étés de leur vivant...sans déclaration d'amour.
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par freeshost »

Préfères-tu le mort mont ou la morte Adèle ?
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par le jean moulant »

J'aime le mort aux dents et la mort sûre :lol:
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Re: Pour jouer sur les maux !

Message par freeshost »

Quelques autres que nous avons partagés sur Whatsapp avec le pull orange et cie. :mrgreen:

Il a amené ses prédécesseurs près de ses sœurs.

Ah ! Ces taux ! Ah ! Ces tares !

Il y a ce convoi... qu'on ne voit pas.

Et le sale ami, tu veux que je le serve là ?

Fast end for use.

Trouves-tu cela plaie-sang ?

Évitons que ça : cent flammes !

D'abord, tu débutes. Ensuite, tu débites. Plus tard, tu débats. À la fin, tu débectes.

Nous rions tout haut ce à quoi beaucoup de personnes sourient en silence. :mrgreen: :lol:

Les expressions au poil et à poil ont perdu du poil de la bête.

Qu'on prenne qui pourra.

Amène au rez les règles.

Ovaire et contre toux !

Veux-tu du Johannisberg (un vin blanc) ? Do you want to join iceberg ?

Tes désirs sont désordre.

As-tu compris ce qu'ont pris les cons qui prient ?

Sciemment ou patiemment ? Un con si amant !

Faut qu'on y aille, faucon niais !

Conne athée ? Chat qui rit ? Scène des roses ? Riz baie riz ?

De qui parle Pierre ? D'Alain !

Et si nous passions l'hiver dans les bains (à Yverdon-les-Bains) !

Le vent tonne à Venthône. Il y a les murs raz à Muraz. On descend à Monthey ? J'ai à peine zélé à Appenzell. Si tu veux baiser, va à Frauenfeld (le champ des femmes). Autrement, teste Rohrschach.

Tu veux voir le vieux village ? Va à Altdorf !

Le paradoxe, c'est que Constance ne veut pas à aller à Constance. Quel cirque, Constance !

On est loin du cirque acadien circadien.

- Oh ! Marie ! Si tu savais... tout le mal... que l'on m'a fait...
- Oh ! Johnny ! Si tu savais... tout le mal... que je t'ai fait...

Ton ombre est là ? Tu ris, Anna ?

- San Goku, t'as vu son g'os cul ?
- Et sa g'osse gosse ! :lol:

Tu te souviens du club d'or au thé ?

C'est ainsi que les inconnus devinrent célèbres.

Arrête de flipper avec ton dos fin.

Mets le rose, please !

L'infamie Adams !

Sex in the city ?

Boeuf-fille contre laie-vampire.

Ça m'fait marrer, ces filles qui disent qu'elles s'en battent les couilles. Elles ne pourront jamais avoir de couilles en or ! :lol:

- le pull orange :
Un mec discute avec son pote.
- Ça va très mal ces temps-ci. Ma femme passe ses soirées à faire le tour des bars !
- Elle est alcoolique ?
- Non, elle me cherche !

- freeshost :
Une meuf discute avec sa cop' :
- Trop la dèche ! Mon mari fait le tour des bars tous les soirs !
- Il est alcoolo ?
- Non, il cherche une autre meuf !

Qui veut chanter loin ménage son armature. :mrgreen:

Quel bar à thym !

Le panier de l'amène âge-ère se réduit avec le pouvoir d'achat (comme pot de chagrin...). L'épouvante aux enchères prend l'as en sœur. Faites vos jeux. Rien ne va plus. Les jeux sont faits. Il n'y a plus de raison. Ton papier, tu ne l'envoleras pas au paradis. Ce n'est pas anodin. Par Odin !

Qui a cuvé a vécu.

Et ils densifièrent les dents si fières.

Entre ma foi et mon foie, faut pas se fier aux genres.

Je suis gavé par le foie d'canard. Waah !

La démocratie est un jeu de lois ; la dictature est un jeu du pendu... ou du Pang dû, selon l'époque...

Vous avez aimé le film Arrête-moi si tu peux ? Vous allez adorer la suite Arête moisie, tu pues !

La bière de Namur est un amour de bière.

Dora l'ex pleurait triste.

Ya ben du monde qui veut donner le la... en dents de scie, voilà l'bémol ! Ils nous rendent las et lasses... hélas...

"Quand on tombe dans la marmite, c'est pas la joie sur le moment. Mais ce qui ne tue pas rend plus fort." Obélix

Quelle est la différence entre le cortège et le solfège ?
Le solfège nécessite un cours de notes ; le cortège coûte la note des cours.

Dans une soirée bien abreuvée, certains disent à d'autres :
- Vous buvez trop donc vous faites des bêtises.
Les autres rétorquent :
- Ceux qui ne boivent jamais ne font jamais de bêtises.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.

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