Les commerçants
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Les commerçants
Bonjour,
Ca m'ennuie un peu d'ouvrir un topic pour ça mais je n'sais pas où le mettre, puis il est possible/probable que certains rencontrent les mêmes soucis.
Dans mon cas, il s'agit du buraliste (je sais que fumer est mal, et que la solution serait d'arrêter, mais là n'est pas le sujet).
J'ai boycotté le buraliste le plus proche de chez moi parce qu'il parlait beaucoup trop, et allait à celui un peu plus loin. C'était un couple.
Tout se passait bien, "Bonjour, merci, au revoir" ni plus, ni moins. Le perfect.
Sauf qu'ils ont vendus, ça doit faire 3 ou 4 mois maintenant.
Le bureau de tabac a été racheté par un mec... encore pire que le premier.
Il parle tout le temps, quand on arrive devant lui, il met les mains sur les hanches, demande si ça va, si les vacances se passent bien, parle du temps qu'il fait, demande ce que je fais etc - il fait ça avec tout le monde.
Ca occasionne beaucoup de stress, le pire a été quand j'ai acheté un jeu à gratter et qu'il a dit "allons bon, voilà qu'elle joue elle maintenant". Je voulais prendre un ticket de loto en plus, que du coup, je n'ai pas pris.
Et j'ai commencé à paniquer, je ne comprenais plus ce qu'il me disait avec ma carte "avec ou sans contact", bref il y a eu un gros quiproquo.
Je n'y suis pas retournée depuis.
Je vais donc à un autre encore plus loin, et c'est exactement le même genre de gars Oo (d'ailleurs, même physiquement les trois se ressemblent ; la cinquantaine, grisonnant, grand et svelte).
Le souci, c'est que, d'une part, le troisième est tout de même à 10 minutes en vélo, d'autre part que je ne peux plus retourner chez le deuxième (ni chez le premier) car il va forcément faire un commentaire/poser des questions sur mon absence.
Donc je me retrouve à devoir faire 10 minutes à vélo pour des clopes ; là ça va, c'est l'été, mais quand il pleuvra... :s
Puis pour me retrouver avec un gars pareil que celui qui est à 1 minute de chez moi à pieds.
Il est ici question d'un bureau de tabac, mais c'est valable pour les supermarchés aussi.
Sur les 5 caissiers/caissières, j'en boycotte deux et préfère faire la queue que tomber sur elles ; sauf quand, malheureusement, elles disent "vous pouvez passer ici".
Une parce qu'elle parle beaucoup trop, une autre parce qu'elle fait dérouler le tapis trop vite, ce qui ne me laisse pas le temps d'organiser mes victuailles, ce qui ensuite me fait paniquer quand je dois les remettre dans le sac.
Bref, si vous rencontrez aussi des soucis avec les commerçants, faites-en part, ça aide un peu de ne pas se sentir seul.
Cordialement,
Ca m'ennuie un peu d'ouvrir un topic pour ça mais je n'sais pas où le mettre, puis il est possible/probable que certains rencontrent les mêmes soucis.
Dans mon cas, il s'agit du buraliste (je sais que fumer est mal, et que la solution serait d'arrêter, mais là n'est pas le sujet).
J'ai boycotté le buraliste le plus proche de chez moi parce qu'il parlait beaucoup trop, et allait à celui un peu plus loin. C'était un couple.
Tout se passait bien, "Bonjour, merci, au revoir" ni plus, ni moins. Le perfect.
Sauf qu'ils ont vendus, ça doit faire 3 ou 4 mois maintenant.
Le bureau de tabac a été racheté par un mec... encore pire que le premier.
Il parle tout le temps, quand on arrive devant lui, il met les mains sur les hanches, demande si ça va, si les vacances se passent bien, parle du temps qu'il fait, demande ce que je fais etc - il fait ça avec tout le monde.
Ca occasionne beaucoup de stress, le pire a été quand j'ai acheté un jeu à gratter et qu'il a dit "allons bon, voilà qu'elle joue elle maintenant". Je voulais prendre un ticket de loto en plus, que du coup, je n'ai pas pris.
Et j'ai commencé à paniquer, je ne comprenais plus ce qu'il me disait avec ma carte "avec ou sans contact", bref il y a eu un gros quiproquo.
Je n'y suis pas retournée depuis.
Je vais donc à un autre encore plus loin, et c'est exactement le même genre de gars Oo (d'ailleurs, même physiquement les trois se ressemblent ; la cinquantaine, grisonnant, grand et svelte).
Le souci, c'est que, d'une part, le troisième est tout de même à 10 minutes en vélo, d'autre part que je ne peux plus retourner chez le deuxième (ni chez le premier) car il va forcément faire un commentaire/poser des questions sur mon absence.
Donc je me retrouve à devoir faire 10 minutes à vélo pour des clopes ; là ça va, c'est l'été, mais quand il pleuvra... :s
Puis pour me retrouver avec un gars pareil que celui qui est à 1 minute de chez moi à pieds.
Il est ici question d'un bureau de tabac, mais c'est valable pour les supermarchés aussi.
Sur les 5 caissiers/caissières, j'en boycotte deux et préfère faire la queue que tomber sur elles ; sauf quand, malheureusement, elles disent "vous pouvez passer ici".
Une parce qu'elle parle beaucoup trop, une autre parce qu'elle fait dérouler le tapis trop vite, ce qui ne me laisse pas le temps d'organiser mes victuailles, ce qui ensuite me fait paniquer quand je dois les remettre dans le sac.
Bref, si vous rencontrez aussi des soucis avec les commerçants, faites-en part, ça aide un peu de ne pas se sentir seul.
Cordialement,
Non-diag.
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Re: Les commerçants
Oui et tous les jours.
La caisse du supermarché, j'en ai déjà parlé une fois. Je dois observer qui est à la caisse, car il y a une caissière qui me raconte sa vie.
Et pour être commerçant, il ne faut pas être autiste
Le but est de vendre, et la norme est d'être conviviale, dans le sens blablater. Donc, c'est un peu normal d'avoir des commerçants un peu commères.
Il y a aussi le coiffeur.
Et les restos.
J'ai été surpris de voir les commentaires sur un resto que j'ai trouvé super bien, et bon. Les gens critiquaient en majorité la patronne et les serveurs : froids, peu conviviaux, désagréable ... Peu la cuisine.
Moi j'ai aimé justement la discrétion de la patronne. En effet, elle est timide. Et puis elle est scandinave. Alors servir dans le sud n'est pas le plus simple pour elle.
J'ai mis de très bons commentaires et précisant que ceux qui aiment les tapent dans le dos, les grands gestes, la galéjade et les grandes gueules seront déçus !!
Cet été au resto, j'ai eu le contraire. Des serveurs à parler pour dire n'importe quoi et même des choses désobligeantes.
Et j'ai eu aussi à acheter une cuisine ... Là, on est dans le théâtre, avec de mauvais acteurs. Les ficelles sont grosses et ça en devient ridicule. Mais pas mal de gens aiment cela. Marchander, jouer avec les commerçants.
Et pire encore, c'est lorsque devant soit il y a une personne qui parle au commerçant. Tu attends avec des 1 euros pour payer ta baguette et ça dure 1/2 heure. La personne se retourne, te voit mais au contraire, t'invite implicitement à te joindre à leur conversation. Là ... envie de hurler : "paye ta baguette et fais pas chier !".
La caisse du supermarché, j'en ai déjà parlé une fois. Je dois observer qui est à la caisse, car il y a une caissière qui me raconte sa vie.
Et pour être commerçant, il ne faut pas être autiste
Le but est de vendre, et la norme est d'être conviviale, dans le sens blablater. Donc, c'est un peu normal d'avoir des commerçants un peu commères.
Il y a aussi le coiffeur.
Et les restos.
J'ai été surpris de voir les commentaires sur un resto que j'ai trouvé super bien, et bon. Les gens critiquaient en majorité la patronne et les serveurs : froids, peu conviviaux, désagréable ... Peu la cuisine.
Moi j'ai aimé justement la discrétion de la patronne. En effet, elle est timide. Et puis elle est scandinave. Alors servir dans le sud n'est pas le plus simple pour elle.
J'ai mis de très bons commentaires et précisant que ceux qui aiment les tapent dans le dos, les grands gestes, la galéjade et les grandes gueules seront déçus !!
Cet été au resto, j'ai eu le contraire. Des serveurs à parler pour dire n'importe quoi et même des choses désobligeantes.
Et j'ai eu aussi à acheter une cuisine ... Là, on est dans le théâtre, avec de mauvais acteurs. Les ficelles sont grosses et ça en devient ridicule. Mais pas mal de gens aiment cela. Marchander, jouer avec les commerçants.
Et pire encore, c'est lorsque devant soit il y a une personne qui parle au commerçant. Tu attends avec des 1 euros pour payer ta baguette et ça dure 1/2 heure. La personne se retourne, te voit mais au contraire, t'invite implicitement à te joindre à leur conversation. Là ... envie de hurler : "paye ta baguette et fais pas chier !".
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Re: Les commerçants
En général, le personnel des kiosques et autres caisses de magasin que je "croise" ne fait pas la papote. On se contente de faire bip, puis de régler la monnaie.
Le personnel français des caisses et des kiosques plus bavard que celui en Suisse ?
Il est vrai que, quand on lit les commentaires (par exemple sur TripAdvisor), il est marrant de se dire que certaines caractéristiques (du personnel, du lieu) sont vues comme des qualités par certaines personnes, comme des défauts par d'autres personnes.
Le personnel français des caisses et des kiosques plus bavard que celui en Suisse ?
Il est vrai que, quand on lit les commentaires (par exemple sur TripAdvisor), il est marrant de se dire que certaines caractéristiques (du personnel, du lieu) sont vues comme des qualités par certaines personnes, comme des défauts par d'autres personnes.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Les commerçants
Ah, les commerçants ! Je les fréquente très très très peu, je vais rarement dans les bars (et toujours pour le boulot), je fais mes courses une fois par semaine, je fais 99% de mes achats non alimentaires en ligne.
MAIS j'ai habité 5 ans en plein centre-ville piétonnier. Cauchemar.
Je pensais que ça me donnerait un certain anonymat, c'était sans compter sur le caractère bavard de certains commerçants.
Une en particulier, qui me guettait le matin et le soir... Elle n'était pas désagréable mais franchement, moi, le matin, je n'ai AUCUNE envie de m'arrêter pour causer météo avec quelqu'un dont j'ignore jusqu'au prénom... Elle prenait prétexte sur mon chien (qui heureusement n'est pas sociable, c'est contagieux semble-t-il, lol) pour faire la conversation. A la fin je faisais un détour pour ne pas avoir à la voir. En plus elle m'a fait la tronche pendant dix jours en me voyant passer avec un sandwich non acheté chez elle... Du coup je me suis sentie obligée de lui acheter une salade un peu plus tard, ce que j'ai amèrement regretté parce que...bah...quand j'achète une salade composée, je m'attends à avoir autre chose que de la salade verte et deux bouts de fromage. Je n'y suis jamais retournée, et elle est devenue moins joviale !!
Et sinon dans la même catégorie (car pour moi ce sont des commerçants) il n'y a rien de pire que le COIFFEUR.
La dernière fois, allez savoir pourquoi, il m'a pris l'idée de faire des mèches (chose que je n'avais plus faite depuis 6 ans) en plus de ma coupe. Malédiction, ma coiffeuse habituelle (femme d'un collègue de travail) était en arrêt. Je me suis retrouvée avec une coiffeuse bavarde qui ne savait visiblement pas gérer l'huître figée sur son fauteuil que j'étais, et qui a eu l'air ultra perplexe quand je lui ai demandé d'arrêter cet horrible fauteuil massant. "Ah bon, vous n'aimez pas les massages ???" Ca ne l'a pas empêchée de me faire un massage du cuir chevelu cinq minutes après. Arg.
J'ai passé quasi deux heures dans le salon, avec l'envie furieuse de me sauver du salon avec mes bigoudis en alu sur la tête. ^^ Et au final, comme une gourde, je me suis retrouvée à lui demander quand même s'il y avait un shampoing pour entretenir les mèches. "Ah mais bien sûr !" Et la voilà qui me détaille les produits, et qui m'annonce d'un air désolé qu'il n'y a plus le produit de la marque du salon (le moins cher) et qu'il ne reste plus que ça, ça, ça... Normalement, quand je suis en pleine possession de mes moyens, je suis prêt de mes sous. Mais là, la fatigue des 2 heures, la socialisation, la migraine qui montait (merci les produits), la hâte d'en finir : je me suis sentie obligée de choisir, et j'ai grillé 40 euros dans un fichu shampoing dont je me suis servie cinq fois depuis juin.
Pour les caissières, j'ai tendance à errer en bordure de caisse pour choisir THE caissière la moins susceptible de me causer. Je fais souvent mes courses là où habitent mes parents et je fuis une caissière en particulier, infecte, qui a travaillé pour la même association que ma mère et a visiblement très envie de se mêler de ma vie. "Ah, on passe le weekend chez papa-maman !" "ah, on a acheté du chocolat !" "ah, on fait attention à ses finances !" (quand je donne mes sacro-saints bons de réduction) Le problème, c'est que je ne reconnais pas les visages, et que généralement quand je cherche à l'éviter...bah je file droit vers sa caisse. Ouin.
MAIS j'ai habité 5 ans en plein centre-ville piétonnier. Cauchemar.
Je pensais que ça me donnerait un certain anonymat, c'était sans compter sur le caractère bavard de certains commerçants.
Une en particulier, qui me guettait le matin et le soir... Elle n'était pas désagréable mais franchement, moi, le matin, je n'ai AUCUNE envie de m'arrêter pour causer météo avec quelqu'un dont j'ignore jusqu'au prénom... Elle prenait prétexte sur mon chien (qui heureusement n'est pas sociable, c'est contagieux semble-t-il, lol) pour faire la conversation. A la fin je faisais un détour pour ne pas avoir à la voir. En plus elle m'a fait la tronche pendant dix jours en me voyant passer avec un sandwich non acheté chez elle... Du coup je me suis sentie obligée de lui acheter une salade un peu plus tard, ce que j'ai amèrement regretté parce que...bah...quand j'achète une salade composée, je m'attends à avoir autre chose que de la salade verte et deux bouts de fromage. Je n'y suis jamais retournée, et elle est devenue moins joviale !!
Et sinon dans la même catégorie (car pour moi ce sont des commerçants) il n'y a rien de pire que le COIFFEUR.
La dernière fois, allez savoir pourquoi, il m'a pris l'idée de faire des mèches (chose que je n'avais plus faite depuis 6 ans) en plus de ma coupe. Malédiction, ma coiffeuse habituelle (femme d'un collègue de travail) était en arrêt. Je me suis retrouvée avec une coiffeuse bavarde qui ne savait visiblement pas gérer l'huître figée sur son fauteuil que j'étais, et qui a eu l'air ultra perplexe quand je lui ai demandé d'arrêter cet horrible fauteuil massant. "Ah bon, vous n'aimez pas les massages ???" Ca ne l'a pas empêchée de me faire un massage du cuir chevelu cinq minutes après. Arg.
J'ai passé quasi deux heures dans le salon, avec l'envie furieuse de me sauver du salon avec mes bigoudis en alu sur la tête. ^^ Et au final, comme une gourde, je me suis retrouvée à lui demander quand même s'il y avait un shampoing pour entretenir les mèches. "Ah mais bien sûr !" Et la voilà qui me détaille les produits, et qui m'annonce d'un air désolé qu'il n'y a plus le produit de la marque du salon (le moins cher) et qu'il ne reste plus que ça, ça, ça... Normalement, quand je suis en pleine possession de mes moyens, je suis prêt de mes sous. Mais là, la fatigue des 2 heures, la socialisation, la migraine qui montait (merci les produits), la hâte d'en finir : je me suis sentie obligée de choisir, et j'ai grillé 40 euros dans un fichu shampoing dont je me suis servie cinq fois depuis juin.
Pour les caissières, j'ai tendance à errer en bordure de caisse pour choisir THE caissière la moins susceptible de me causer. Je fais souvent mes courses là où habitent mes parents et je fuis une caissière en particulier, infecte, qui a travaillé pour la même association que ma mère et a visiblement très envie de se mêler de ma vie. "Ah, on passe le weekend chez papa-maman !" "ah, on a acheté du chocolat !" "ah, on fait attention à ses finances !" (quand je donne mes sacro-saints bons de réduction) Le problème, c'est que je ne reconnais pas les visages, et que généralement quand je cherche à l'éviter...bah je file droit vers sa caisse. Ouin.
pré-diagnostic établi en 2012 (à 30 ans passés) par une psychologue comportementaliste - pas de démarche d'officialisation auprès du CRA prévue dans l'immédiat
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Re: Les commerçants
Y'a pas la solution de garder ses écouteurs dans les oreilles et de ne pas écouter ce qu'ils disent ?
Juste leur dire « Bonjour, je veux ça, merci, au revoir » ?
(ça fait peut-être mal élevé, mais au moins le message est clair : "Ne me faites pas chier à vouloir me causer !")
Juste leur dire « Bonjour, je veux ça, merci, au revoir » ?
(ça fait peut-être mal élevé, mais au moins le message est clair : "Ne me faites pas chier à vouloir me causer !")
Enfin diagnostiquée Syndrome d'Asperger à 36 ans ! et TDA(H) à 38 ans !
http://hors-competition.over-blog.com
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Re: Les commerçants
.....................:
Modifié en dernier par Pupuce le mardi 14 novembre 2017 à 22:19, modifié 1 fois.
Officiellement non-autiste
"J'aurais pas été besoin" Nikos Aliagas, philosophe grec des Lumières
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Re: Les commerçants
J'évite les caisses où les clientes aiment bavarder avec les clients. Je les regarde faire avant de m'engager sur la file. Je suis déjà fatiguée d'entrée de voir son corps se tourner vers moi. lol
J'évite un boulanger qui m'a montré une photo 'de sa nouvelle acquisition'. C'était une femme.
J'évite le commerçant en bas de chez moi avec qui je 'papotais' amicalement, au mépris de mon énergie oui mais au moins ça brisait la solitude le temps d'une heure. Mais un jour, il m'a écrit, beaucoup écrit. SMS. La panique m'a fait fuir.
Je boycotte beaucoup de monde oui. lol
J'évite un boulanger qui m'a montré une photo 'de sa nouvelle acquisition'. C'était une femme.
J'évite le commerçant en bas de chez moi avec qui je 'papotais' amicalement, au mépris de mon énergie oui mais au moins ça brisait la solitude le temps d'une heure. Mais un jour, il m'a écrit, beaucoup écrit. SMS. La panique m'a fait fuir.
Je boycotte beaucoup de monde oui. lol
Diagnostiquée sur le Spectre de l'Autisme
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- Prolifique
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Re: Les commerçants
Rainbow, perso je ne sors jamais sans mon casque, mais une fois que c'est à mon tour de passer à la caisse, je l'enlève, question de politesse.
Non-diag.
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Re: Les commerçants
Ah bah si c'est possible . On joue à la marchande, on joue la comédie, on dépense une énergie folle à argumenter, blablater, et en rentre chez soi le soir complètement vidé, prostré. Mais on ne tient pas bien longtemps à ce rythme-là.philigram a écrit :pour être commerçant, il ne faut pas être autiste
Le but est de vendre, et la norme est d'être conviviale, dans le sens blablater. Donc, c'est un peu normal d'avoir des commerçants un peu commères.
Avec les commerçants je suis polie, question de principe. Mais si je vois que j'ai affaire à des commères je reste muette, j'acquiesce en esquissant un sourire forcé, et je regarde ailleurs. En général ça les calme direct.
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Re: Les commerçants
Moi j'ai plutôt l'expérience inverse avec les buralistes : des personnes très désagréables qui daignent à peine te répondre ou avec mepris quand tu poses une question.
Je ne sais pas si c'est parce que j'ai eu la chance de tomber sur des gens aigris qui n'aimaient pas leur métier, ou si c'est moi qui leur inspirait cela.
(Je ne fume pas, mais je me suis passionnée à une époque pour les données des courses de chevaux, et y jouait de temps en temps).
Je ne sais pas si c'est parce que j'ai eu la chance de tomber sur des gens aigris qui n'aimaient pas leur métier, ou si c'est moi qui leur inspirait cela.
(Je ne fume pas, mais je me suis passionnée à une époque pour les données des courses de chevaux, et y jouait de temps en temps).
Lilas - TSA (AHN - Centre Expert - 2015)
Mes romans :
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- Ma dame aux oiseaux
- Galaxies parallèles
- Les enfants de la lune rouge
- Et à venir prochainement La pie baladeuse
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Re: Les commerçants
J'ai dû changer mes horaires de boulangerie à cause de ça. J'allais chercher mon pain de la semaine le dimanche à 7h, histoire de ne croiser personne. C'était le patron qui servait, ça s'est très bien passé pendant des mois. Jusqu'à ce qu'il commence à papoter avec moi (mais quelle idée, j'ai l'air de vouloir papoter, moi?).
"Ah, il fait froid se matin", "il y eu du vent hier soir", "qu'est-ce que vous faites de beau aujourd'hui?", etc.
Maintenant j'y vais le samedi, ou le dimanche après 8h, car je tombe sur l'employée qui se comporte convenablement avec moi...
Dans la campagne normande, les commerçant ont tendance à être bavards.
C'est vrai qu'à Paris, je n'ai (presque) jamais eu de problème. Les buralistes et les boulangers ne sont pas aimables.
Ils sont parfaits pour moi.
"Ah, il fait froid se matin", "il y eu du vent hier soir", "qu'est-ce que vous faites de beau aujourd'hui?", etc.
Maintenant j'y vais le samedi, ou le dimanche après 8h, car je tombe sur l'employée qui se comporte convenablement avec moi...
Dans la campagne normande, les commerçant ont tendance à être bavards.
C'est vrai qu'à Paris, je n'ai (presque) jamais eu de problème. Les buralistes et les boulangers ne sont pas aimables.
Ils sont parfaits pour moi.
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Re: Les commerçants
Tu veux qu'on papote un peu autour d'un verre ?
Autrement, tu leur dis que "faut qu'j'aille au boulot".
Autrement, tu leur dis que "faut qu'j'aille au boulot".
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
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Re: Les commerçants
"Ah, d'accord Monsieur.freeshost a écrit :Autrement, tu leur dis que "faut qu'j'aille au boulot".
Et alors, vous faites quoi comme boulot?
Vous travaillez dans quel coin?
Ah oui, je connais, mon beau-frère habite par là-bas.
Il a un chien.
Vous avez des animaux?"
Et cætera...
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Re: Les commerçants
Ou tu prends ton pain, tu paies, et dis juste "merci, au revoir".
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
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Re: Les commerçants
Lol on dirait moi "il/elle n'est pas aimable. Il/elle est parfait, j'irai là !".
Mon coiffeur était comme ton boulanger, il parlait très peu, puis chemin faisant, il s'est mis à blablater, et il semble ne pas y avoir de retour en arrière possible, une fois que le pli est pris.
Ne reste que la fuite (ou envoyer paître, mais ça je n'en suis pas capable).
Mon coiffeur était comme ton boulanger, il parlait très peu, puis chemin faisant, il s'est mis à blablater, et il semble ne pas y avoir de retour en arrière possible, une fois que le pli est pris.
Ne reste que la fuite (ou envoyer paître, mais ça je n'en suis pas capable).
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