Extrait de l'article initial du Guardian : http://www.guardian.co.uk/science/2010/ ... brain-scanMafayann59 a écrit :ont-ils testés toutes les formes d'autisme ? Les adultes-tests ont-ils déjà un suivi et lequel ?
Je me demandai juste si avec un suivi spécifique le scanner était différent en fonction des progrès de l'autiste. Mais bon je ne suis pas médecin.
En tout cas je suis d'accord avec vous encore un syndrome qu'on veut essayé de guérir comme une jambe qu'on se serait cassée.
No comment ou comment faire du fric sur le malheur des autres.
Avec une remarque de ce type, on est encore loin d'un rapport entre le suivi et une trace matérielle de ce suivi dans le cerveau. Encore très loin ...Ecker a constaté qu'il y avait une corrélation entre la sévérité de l'autisme de la personne et la taille de la différence de structure observée dans leurs images du cerveau, par rapport au groupe contrôle. "Nous pouvons voir que, sur la base de la scintigraphie cérébrale, certains cerveaux sont tout simplement retrouvés très loin du cerveau de « contrôle », alors que certains sont plus comme les contrôles, et alors que l'autisme ne serait pas si grave."
Autres extraits de la critique publiée par Carl Henegan :
Pour obtenir un résultat utile, une étude diagnostique doit inclure un large spectre du trouble, de léger à grave. Une étude doit également avoir des résultats indépendants, de comparaison aveugle des tests (dans ce cas, le scan du cerveau) avec un étalon de référence (les tests actuels pour l'autisme) parmi une série consécutive de patients suspects (mais ne le sachant pas) d'avoir le désordre cible et la réplication des études dans d'autres contextes
Dans cette publication, il ne s'agit que de favoriser le diagnostic : pas de chercher à "guérir" le syndrome. Mais nous savons tous qu'un diagnostic précoce permet une meilleure adaptation [condition favorable, mais pas suffisante]."Certains experts affirment que de nouvelles recherches seront nécessaires avant que la nouvelle technique puisse être largement utilisée."
Dans une communication directe par email du Dr Ecker, elle déclare: «C'est actuellement ignoré comment ces valeurs se généralisent à l'ensemble de la population, et à travers toutes les dimensions du spectre autistique, c’est pourquoi nous avons clairement indiqué que nous ne sommes pas encore prêts à faire notre approche disponible dans le NHS [service national de santé en GB] pour l'instant. "