[Index Humour] Le coin des citations...

[Lia]

J aime bien

[Bubu]

"Science sans conscience n'est que ruine de l'âme" Rabelais

[Bubu]

Le but ultime des religions est de vaincre la peur de la mort.
Plagiat d'un philosophe moderne.

[misty]

"Il n’y a plus de grands maîtres, voilà le vrai malheur de notre temps. Le chemin de nos cœurs est couvert d'ombre. Il faut écouter les voix qui semblent inutiles, dans les cerveaux encombrés par les canalisations des égouts, (...). Dans les cerveaux, il faut faire entrer le bourdonnement des insectes. Il faut emplir nos yeux et nos oreilles de choses qui soient le début d'un grand rêve... Il faut nourrir le désir et étirer notre âme dans tous les sens comme un drap."

Andreï Tarkovski "Nostalghia" (1983)

[Rem 82]

[Rem 82]

[MlleHulotte]

Oh... c'est beau...

[freeshost]

Entre le four et le moulin, le pain brûle et les grains se piétinent. Tu te fais alors rouler dans la farine à force de trop vouloir mettre la main à la pâte.

[Rem 82]

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[Rem 82]

"Si vis pacem, para bellum"

[freeshost]

Si tu veux laper, prépare Lager.

La solitude est un rempart contre l'esclavagisme.

Vivez seuls. Vivez autonomes. Vivez libres.

[freeshost]

Vous connaissiez : Nunc est bibendum. C'est maintenant qu'il faut boire.

Place au suivant : Nunc est ridendum. Maintenant, il faut rire.

[Autrey]

C'est si vrai....

[Nanouille]

Ta citation me rappelle quelque chose Autrey.
J'ai toujours eu en moi depuis que je les ai lus ces 3 mots du poème de William Wordsworth, The Daffodils : "that inward eye". L'oeil tourné vers l'intérieur. Un poème qui commence d'ailleurs par "I wandered lonely as a cloud".
Je le comprends d'autant mieux aujourd'hui...

[Autrey]

Les mots de ce poeme sont beaux.....On pourrait créer sur ce forum un topic sur la poesie, sur la poesie des autres et de la sienne.

J’errais solitaire nuage,
Qui vogue haut sur monts et vaux,
Quand d’un coup je vis une foule,
Un essaim dansant de jonquilles ;
Le long du lac et sous les arbres,
Dix mille dansant dans la brise.

Près d’elles les vagues dansaient,
Mais brillaient moins qu’elles n’étaient gaies ;
Ravi ne peut qu’être un poète
En si riante compagnie :
Je scrutai, scrutai, sans savoir
Quel trésor leur vue me confiait :

Car souvent lorsque je m’allonge
Que je sois rêveur ou pensif,
Elles brillent° pour l’œil intérieur,
Félicité des solitaires,
Et de plaisir mon cœur s’emplit
Et danse parmi les jonquilles.