
alors l'humeur étant bonne , je me dis dois-je rentrée dans les ordres?


Spoiler : :
ha bon se serais une bonne définition me concernant alors et des jolie motsne pas ressentir le besoin de relations amoureuse, je crois que certains de ceux qui le vivent appellent cela "a-romantique"- et revendiquent que cette disposition soit pensée comme une particularité, et pas comme un manque ou un trouble, encore moins une maladie.
ne pas ressentir de désir sexuel "cul", certains appellent cela "asexuel", et pareil, revendiquent que ce soit une caractéristique pas un manque ou un trouble ou une maladie.
Est-ce de cela que tu avais envie de parler?
et ben voila, sauf que moi je suis pas croyant mais Athée ! , donc je devrais mentir et je ment trés mal car vous savez , c'est pas naturel pour nous , le monastère oui comme je disait ,sauf que je suis pas croyant ....... je suis entièrement d'accord avec ce que tu dis, violence, compétition, , chagrin etcCurieusement, cela me semble plus "humain" que d'être fortement guidé par tout ce qui se joue pour la séduction, relation sexuelle, reproduction. Et tout ce que cela génère de compétition, chagrins, violences, etc.
Parfois je me dis que si dieu existe il devrait avoir la possibilité de me rendre croyant pour que je puisse entrer dans un monastère !... Mais je n'ai jamais eu de réponse : soit il n'existe pas, soit il n'a pas d'empathie pour moi et ma demande si sincère.
aussiL'autre également ne me paraît pas indispensable, j'apprécie les autres, cependant, ils ne me manquent pas, je ne souffre pas de leur absence, je pense pouvoir me construire sans eux, sans leur avis..
je suis entièrement d'accord avec sa sa me pose pas de souci , se qui me pose souci c'est qu'ils croient détenir la vérité et que seul leurs visions reste valide donc pleine de vérité ; ya rien a faire j'adhère pasL'autre également ne me paraît pas indispensable, j'apprécie les autres, cependant, ils ne me manquent pas, je ne souffre pas de leur absence, je pense pouvoir me construire sans eux, sans leur avis..
J'ai constaté que pour la plupart des gens, cette relation est la condition même de leur équilibre emmotionel, de leur réussite privée, publique et professionnelle.
Oh que oui!!!Bubu a écrit :Je ne recherche plus ce genre de relations, mais quand ça arrive, c'est plutôt sympa.
Bonjour scorame. C'est pareil, j'ai souvent été lasse d'entendre dire qu'il y avait une sorte de "formule" à suivre pour l’équilibre, le progrès..scorame a écrit :je suis entièrement d'accord avec sa sa me pose pas de souci , se qui me pose souci c'est qu'ils croient détenir la vérité et que seul leurs visions reste valide donc pleine de vérité ; ya rien a faire j'adhère pas.
Djinpa a écrit :Je crois bien plus à la fraternité issue d'un effort commun pour construire un projet ponctuel, et j'ai plus besoin de fraternité que de relation amoureuse.
Bon bah alors par rapport à ce que tu dis, première nouvelle je ne suis finalement pas neurotypique xD. En fait, je ne pense pas qu'on puisse enfermer les gens dans des cases comme ça (même entre aspis et neurotypiques) chacun est différent et je connais beaucoup de neurotypiques qui fonctionnent pour certaines choses comme les aspies(pas besoin de vraies relations, parle avec les gens sans être dans le besoin, se passerait bien d'eux, mais trouve quand même que leur présence est agréable/enrichissante/intéressante). Après c'est aussi une question d'expérience/d'habitude. Certaines personnes ont été habitué ou ont réussi parce que c'était plus simple pour eux que pour d'autres personnes (et souvent très tôt) à aller vers les autres, à leur parler et à souvent être entouré de personnes. Et c'est parce que elles ont toujours connus ça, qu'elles ne peuvent pas s'imaginer ne pas avoir besoin des autres. Parce que cela serait contraire à ce quelles ont vécus, et donc un peu contraire à elles mêmes.cléa a écrit :Bonjour scorame. C'est pareil, j'ai souvent été lasse d'entendre dire qu'il y avait une sorte de "formule" à suivre pour l’équilibre, le progrès..scorame a écrit :je suis entièrement d'accord avec sa sa me pose pas de souci , se qui me pose souci c'est qu'ils croient détenir la vérité et que seul leurs visions reste valide donc pleine de vérité ; ya rien a faire j'adhère pas.
J'ai du mal à concevoir comment cet équilibre doive se puiser en l'autre.
Un autre sensé coacher son prochain.
J'ai souvent pensé que les autres ne misaient pas assez sur leurs propres ressources.
Pensé que s'ils cherchaient leur énergie en l'autre, cela les freinait..
Voir que certains manquaient de maturité.
Aujourd’hui, je me dis simplement qu'aspis et neurotypiques n'ont pas les mêmes paramètres, d'ou les malentendus de deux univers qui ne voient pas les couleurs de la même façon. Tout paraît tellement évident à l'un comme à l'autre que souvent, les deux partenaires ont l'impression que l'autre ne veux pas comprendre.
et maintenant, je peux voir, comprendre que l'affection est pour le neurotypique aussi vitale et évidente que dormir ou manger, un moyen de s'améliorer, et peut être plus encore...
Bonjour Roman. Il s'agit bien sûr d'un paramètre parmi d'autres qui sont davantage significatifs d'un TSA mais il est constaté que les problèmes relationnels et donc affectifs sont bien plus fréquents dans la population TSA que générale.Roman a écrit : Bon bah alors par rapport à ce que tu dis, première nouvelle je ne suis finalement pas neurotypique xD. En fait, je ne pense pas qu'on puisse enfermer les gens dans des cases comme ça (même entre aspis et neurotypiques) chacun est différent et je connais beaucoup de neurotypiques qui fonctionnent pour certaines choses comme les aspies(pas besoin de vraies relations, parle avec les gens sans être dans le besoin, se passerait bien d'eux, mais trouve quand même que leur présence est agréable/enrichissante/intéressante). Après c'est aussi une question d'expérience/d'habitude. Certaines personnes ont été habitué ou ont réussi parce que c'était plus simple pour eux que pour d'autres personnes (et souvent très tôt) à aller vers les autres, à leur parler et à souvent être entouré de personnes. Et c'est parce que elles ont toujours connus ça,